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6 novembre 2025 4 06 /11 /novembre /2025 20:41
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6 novembre 2025 4 06 /11 /novembre /2025 18:46

 

Guerre et escalade monÉtaire.

Le dollar, et ses tenants vivants, est le maître d’œuvre

(Réflexion sur un article d'Yves Dimicoli, lien dans ce texte)

 

Guerre monétaire, guerre économique générale incluant la guerre monétaire, et guerre armée, vont de pair.

 

Leur escalade mutuelle-réciproque, de même.

 

L’escalade monétaire peut être considérée comme l’avant-garde, le cœur opérationnel de la guerre économique générale, généralisée, globalisée,  et de la guerre armée de position et d’attaque, nucléaire possible, leur mondialisation, leur escalade, en relation réciproque, dialectique,

 

On se pose la question, jusqu’où ira l’escalade militaire et jusqu’ou l’humanité pourra la supporter pour que sa régression relative ne devienne pas absolue ?

 

La BRI (1) nous donne ( « pour nous », à son insu, pour le capital, « pour soi ») des indices de « jusqu’où » est-elle supportable.

 

Ce n’est pas « la Chine » qui est à l’avant garde de cette escalade, mais au contraire elle tente de maintenir et faire progresser  son développement dans un effort conjoint des BRICS et de l’orientation de Shangaï.

 

Ceci n’est pas une déclaration de sainteté de la Chine ou pas, de la NEP d’aujourd’hui ou pas (Le capital c’est le capital, et le taux de profit maximum immédiat c’est le taux de profit maximum immédiat), ni de qui que ce soit « ami » ou pas, mais une alerte sur un mouvement terrestre humain, ses possibilités de développement et ses dangers d’écroulement (lire l’édito de Denis Durand).

 

A toute tentative de développement et d’affranchissement ne serait-ce que très relativement de la domination du dollar, Trump, qui n’est que le représentant du capital dominant, le plus puissant encore, le plus meurtrier, le plus réactionnaire aux tentatives de santé sociale, et de santé de la personne dans la société, hausse d’un cran sa volonté de domination.

 

Un cran c’est peu dire, alors que pour tout un chacun se révèle même dans les infos voilées, déformées que nous recevons de nos « médias Bolloré et consort », tout ce qu’il contient d’anti-coopérations et d’anti-cohérence mondiales, nationales ; et individuelles, de l’homme producteur, du salarié, de « l’actif de l’INSEE » ou pas ; dans l’état du système et de sa crise autocréée et auto développée par le capital lui-même, dans lequel nous vivons, que nous subissons. En économie, celle de la baisse tendancielle du taux de profit et de suraccumulation-dévalorisation du capital de longue durée.

 

Le système crée sa crise et pas le citoyen qui en est prisonnier dans son besoin de survie quotidienne, des plus simples besoins aux plus complexes, dans leur unité de processus de développement inégal en santé naturelle ou pas, ou socialement malade.

 

Le capital crée le citoyen tel qu’il se retrouve,  socialement malade. Timon d’Athènes nous en prévenait déjà, à plus forte raison dans le paroxysme de notre système actuel.

 

Cette guerre monétaire où le dollar, et ses tenants vivants, est le maître d’œuvre, est décrite dans l’article d’Yves Dimicoli d’« Economie et politique » de ce mois (sur ce blog).

 

Evidemment ce n’est pas le premier article qu’il écrit sur la question, depuis des décennies, avec les économistes communistes et Paul Boccara;  il y en a tant eu qu’il faudrait rappeler.

 

Mais voici celui-ci en lien : 

 

Stablecoin : une arme de dollarisation numérique

 

Il s’agit d’une cryptomonnaie, d’un cryptoactif, une monnaie entre les mains de Trump et du capital US et de son usage guerrier, d’escalade d’agressivité, de domination.

 

Petite remarque au passage, la condamnation « morale » de nos élites politiques des effets de la mondialisation, à laquelle ils oublient d’ajouter le qualificatif de « capitaliste », sur les petits commerces, le commerce mondial, ses dérives. Leur moralité est unilatérale, à sens unique, dans le sens qu’il faut pour le capital d’ici et d ‘ailleurs pour mettre à mal tout développement et désigner le-les boucs émissaires.

 

La morale nécessaire, son utilité et sa fertilité sociale ne peut être à sens unique, un sens unique qui si nous ne le dénonçons pas aggravera la guerre monétaire, la guerre économique générale incluant la guerre monétaire, et la guerre armée.

 

Au fait : où en est, où en sont Amazon, les GAFAM, le CAC 40, etc. pour le petit et grand commerce et autres conséquences sociales-asociales, amorales.

 

06/11/2025 17:49:47.

(1) Banque des règlements internationaux.

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6 novembre 2025 4 06 /11 /novembre /2025 09:11

 

57. SUITE DE « FÉTICHE / FÉTICHISME » pour éclaircissement. Les deux articles s’interpénètrent et ne vont pas l’un sans l’autre.

 

Un fétiche est un réel concret constitué par des liaisons neuronales constituées dans le mouvement de la pensée-travail et en mouvement lui-même.

 

Cette relation neuronale est une représentation du réel qui prétend absurdement à un pouvoir sur le réel sans action directe, mécanique sur le réel. Elle imagine dans cette représentation un réel inexistant extérieur à elle-même, au corps soi, au corps social de la personne, de l’individu dans la société.

 

Elle imagine autre chose qu’une représentation, mais un objet concret extérieur à soi-même, en ignorant le fait, la réalité, l’acte de représentation.

 

A « l’autre bout » de la contradiction, « l’erreur » du marxisme vulgaire est d’ignorer la réalité du fétiche en tant que réel, pour n’admettre que le fétichisme sous sa forme religieuse, représentation mentale du « sauveur » conçue comme une forme non seulement mentale, mais concrète et extérieure à soi.

 

Cet « extérieur » à soi du religieux qui n’est donc qu’une représentation psychique, désadhérence conceptuelle « sans retour » historique et non potentiellement « éternelle »,  rejoint paradoxalement le matérialisme mécaniste lui-même inconscient du phénomène du transfert mental, et donc le reproduit en commun.

 

Cet « extérieur » à soi du religieux, « sauveur » de la détresse humaine, en prétendant s’opposer au « matérialisme tout court », le rejoint, tout en prétendant ou croyant le combattre en tant que « danger social » pour la pensée et la santé de soi et de la société, danger pour l’homme et son existence cosmique.

 

Il y a inversion des dangers physiques et psychiques et négation de l’unité de leur relation réciproque, « âme et corps dissociés » ce qui n’est pas par contre sans danger réel pour le processus d’humanisation ; « coupure » artificielle d’avec son substrat travail-pensée-production-satisfaction des besoins et de leur évolution.

 

L’ignorance de ce que sont matérialisme dialectique et matérialisme mécaniste, forces contraires sociales en unité et identité de processus social en santé ou pas, est le fond de la confusion idéaliste.

 

Le matérialisme mécaniste est de fait un idéalisme, sa négation interrompue.

 

Cet « extérieur » à soi commun au religieux et au matérialisme mécaniste constitue pour l‘un et pour l’autre tout en se combattant réciproquement, la promotion d’une pensée qui s’oppose au matérialisme dialectique ; et qui le combat tout autant en tant que « danger social », considéré absurdement comme danger pour l’homme et son existence cosmique. Ce sont deux extrémités non dialectiques, sœurs ennemies. « L’immédiateté » illusoire du matérialisme mécaniste est une opposition au processus d’humanisation au même titre que l’idéalisme philosophisme concret-psychique et son lien conservateur opposé à la transformation en santé sociale ; stérilisation relative mais réelle de cette transformation.

 

Cet « extérieur » à soi religieux combat le matérialisme dialectique qu’il estime être un danger social un danger pour l’homme et son existence cosmique.

 

Cet « extérieur » à soi religieux comme son corolaire « laïque » tout aussi idéaliste sont deux extrémités non dialectiques-sœurs ennemies constitutives du stalinisme entre autreset de tant de dogmatisme et du dogmatiste local-global contribuant à la perduration d’un obscurantisme dont les conséquences économiques, politiques, civilisationnelles font corps avec les limites que constitue notre crise de longue durée.

 

La contradiction idéalisme/matérialisme tient à cette contradiction sociale et se concrétise dans la contradiction Capital/Travail de notre système économique et social, et la-sa lutte dans le « réel extérieur » comme dans « nôtre tête » : unité-identité contradictoire acte pensé/acte physique.

 

Les deux articles s’interpénètrent et ne vont pas l’un sans l’autre.

 

Pour Salvien de même, le 06/11/2025 08:56:44.

 

Page 290 du recueil :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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5 novembre 2025 3 05 /11 /novembre /2025 07:59

 

56. Fétiche/fétichisme.

technique fasciste ou progressite. Condition objective et subjective de la révolution sociale en sante sociale.

 

 

Fétiche contre fétichisme, contradictoirement  :

 

On peut parler de communisme vulgaire et de marxisme vulgaire au sens d’une utopie anticipatrice en gésine, en formation mentale, encore ignorante des conditions nécessaires de sa mise en œuvre.

 

En ce sens ce marxisme vulgaire est plus proche du matérialisme mécaniste que d’un développement dialectique matérialiste de l’interprétation du réel à partir de nos perceptions, de leur étude dans le mouvement des connaissances et des techniques humaines qui permettent son processus : technique, besoin, conscience, affect ; technique-besoin-conscience-affect-technique en cycle social travail-pensée.

 

La formation hegelienne de Marx et de la partie la plus avancée du mouvement ouvrier dans les recherches pluridisciplinaires, donne à la rédaction de « Das Kapital » son contenu à la fois physique et psychique.

 

L’action sur la réalité matérielle est associée à l’action sur la représentation de la réalité matérielle, ce qui constitue une avancée dans le processus de conception de la transformation du monde au sens de la 11ème thèse sur Feuerbach ; et sur le dépassement de la conscience de soi limité à soi, socialement et individuellement malade vers une conscience sociale au sens de la 6eme thèse, en santé sociale suffisante pour procéder.

 

La partie du chapitre sur la marchandise traitant du « caractère fétiche de la marchandise et son secret » est là pour affirmer le concept et la catégorie de « fétiche » dans le capital réel et pas seulement la description abstraire, écrite, de son mouvement.

 

Un fétiche est un réel concret constitué par des liaisons neuronales constituées dans le mouvement de la pensée-travail et en mouvement lui-même.

 

Cette relation neuronale est une représentation du réel qui prétend absurdement à un pouvoir sur le réel sans action directe, mécanique sur le réel. Elle imagine dans cette représentation un réel inexistant extérieur à elle-même, au corps soi, au corps social de la personne, de l’individu dans la société.

 

Elle imagine autre chose qu’une représentation, mais un objet concret extérieur à soi-même, en ignorant le fait, la réalité, l’acte de représentation.

 

A « l’autre bout » de la contradiction, « l’erreur » du marxisme vulgaire est d’ignorer la réalité du fétiche en tant que réel, pour n’admettre que le fétichisme sous sa forme religieuse, représentation mentale du « sauveur » conçue comme une forme non seulement mentale, mais concrète et extérieure à soi.

 

Cet « extérieur » à soi du religieux rejoint paradoxalement le matérialisme mécaniste tout en prétendant faire une part, un sort, à la pensée qui s’opposerait au matérialisme et qui combattrait le matérialisme en tant que danger social, danger pour l’homme et son existence cosmique.

 

La contradiction idéalisme/matérialisme tient à cette contradiction sociale et se concrétise dans la contradiction Capital/Travail de notre système économique et social, et la-sa lutte dans le « réel extérieur » comme dans « nôtre tête » : unité-identité contradictoire acte pensé/acte physique.

 

Ainsi l’idéalisme philosophique et religieux rejoint mutuellement, réciproquement, le matérialisme vulgaire, mécaniste, primitif.

 

Ainsi la question se pose de la relation de ce mouvement matériel neuronal, sa relation quantique, d’intrication quantique cosmique, question posée dans les articles précédents (et dans le processus de pensée multimillénaire de la société marchande et multimillionnaire dans le processus d’humanisation travail-pensée, de l’homo habilis à nous-mêmes aujourd’hui) sur l’intrication quantique-cosmique et l’existence humaine quantique dans ce réel local-global ; la croyance, pas la foi, croyance cosmique empirique-scientifique historique, relative au moment-durée d’un état du processus humain dans le processus cosmique ; et de la force quantique d’un fétiche en tant « qu’élément » intriqué dans le quantique, le réel.

 

Ainsi se rejoignent paradoxalement un « athéisme » dans le religieux et une croyance historique dans le matérialisme, mouvement mental inachevé dans le processus de la conscience de la nature sur elle-même.

 

Je me représente bien, j’ai conscience, combien cette question se rapproche de l’idéalisme et de l’empiriocriticisme qui a hanté même le bolchevisme ce qui n’était pas étonnant dans l’inachèvement grossier et national plus qu’international bien qu’y tendant, de ce courant historique d’instant-durée de pensée.

 

Je me représente je danger de chuter dans le mysticisme, la religiosité et l’idéalisme philosophique, contre la philosophie du devenir, contre la dialectique matérialiste.

 

Mais elle n’y tomber pas, au contraire, elle fait entrer la représentation mentale, psychique, du réel dans la lutte sociale de transformation sociale.

 

La connaissance du concept, de la catégorie philosophique et la réalité du fétiche, qui est un réel de la pensée et nous habite toutes tous, à notre insu, relativement (ou pas relativement : mysticisme) ne peut que faire progresser la nécessité et l’efficacité de la lutte des classes, ici et dans le monde, vers une société de coopération et de cohérence en santé suffisante dans le mouvement continu-discret de l’humanisation, de la conscience cosmique de l’homme en tant que conscience de la nature sur elle-même ; processus local terrestre dans le processus global cosmique ; et notre raison d’être en tant que besoin de développement, croissance, évolution-complexification-condensification (réorganisation continue-discrète, quantique de soi-même dans la société et dans le cosmos, en unité et identité contradictoire).

 

L'abstraite évidence de la musique nous parle en langue "fétiche".

 

Il ne faut pas confondre mysticisme et superstition, même s'ils convivent. Le capital, l’argent qui hante la pensée sociale quotidienne de l’échange marchand, de notre système, est on ne peut plus matérialiste-mécaniste dans la défense du profit maximum immédiat (P/C), et il nous en communique le contenu physique-mental, il en communique le contenu quel que soit notre « niveau » social dans le système d’accumulation A-M-A’, y compris au niveau le plus bas de misère.

 

Notre santé physique-mentale est liée à celle de la société. La crise qui affecte et que contient réciproquement la baisse tendancielle du taux de profit affecte aussi celle de notre intérêt psychologique ; régression relative civilisationnelle dans le processus civilisationnel.

 

Cela est dur à vivre et n’aide pas à l’issue de la crise sinon dans une possible catharsis paroxysmique, empirique-scientifique ; unité-identité contradictoire de développement.

 

Mercredi 05/11/2025 06:50:04.

 

 

DERNIERS ARTICLES SUR LA CONSCIENCE DE SOI ET LA CONSCIENCE SOCIALE

 

 

Ce sont des pages du recueil :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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4 novembre 2025 2 04 /11 /novembre /2025 17:54

 

Publié une première fois

le 01/11/2025 07:24:21

 

53. REPRISE ET SUITE DE NOVEMBRE / LE XXIème SIECLE HUMAIN/SUITE DE 1844.

 

La notions d’intrication quantique est une notion DE PHYSIQUE constatant positivement l’unité de mouvement des mouvements cosmiques.

 

Cette unité, naturelle, constatée, induit le postulat du mouvement des connaissances sur le cosmos qui en permet la conscience en gésine et en croissance.

 

Le XXIème siècle humain c’est à la fois le besoin vital et l’incapacité (provisoire ?) d’une conscience suffisante de l’intrication cosmique et sa conséquence : la conscience « dans » l’humain de la nature sur elle-même, en infinité d’essais au même titre QUE la constitution de  « l’agglomération » cosmique des particules » OU la constitution biologique non-consciente de l’entité chimique à l’origine de la vie sur terre Ou l'évolution de la cellule au corps OU de l'animal à l'homme (1) OU la constitution de cités d’accumulation post-révolution néolithique…..

 

Le XXIème siècle humain en est encore aux essais viables ou pas.

 

Unité de l’instant et de la durée. (Mon essai balbutiant sur « Epître aux citoyens » de 2001).

 

Les multiples crises du XXIème siècle,  de la climatique d’origine humaine à celle induisante de suraccumulation-dévalorisation du capital de nôtre système, la crise de croissance de l’humanisation-travail-pensée, non suffisamment régulée (en santé sociale in-suffisante), dans une civilisation non régulée (en santé sociale in-suffisante) sont de l’ordre de cette conscience en gésine, encore insuffisante.

 

La conscience est une propriété intrinsèque du cosmos, en intrication in-finie et à l'infini de sa globalité. Une propriété « universelle » en processus que les-la civilisation(s) humaine(s) a besoin de s’approprier pour perdurer dans l’évolution-croissance-complexification-condensification cosmique globale.

 

Bis : Le XXIème siècle humain en est encore aux essais viables ou pas.

 

C’est un essai à réussir, c’est notre tâche quotidienne-continue-discrète du siècle, car il dépend en partie du processus et de la volonté de notre conscience. Quelle importance ? Cet essai est le nôtre individuel, de la personne et collectif, personne-collectif, (pas de personne en tant qu’entité existante concrète sans collectif, sans social) qui appelle à l’instinct de survie, de la personne à la société à l’intrication terrestre-cosmique.

 

Tel que "je" vous (le) dis-t, c’est la propriété baignante, imprégnante de conscience globale qui n’est en rien une forme de folie, si tant est que la folie ne soit pas qu’un dérèglement bien matériel du corps-soi, du corps-conscience en processus en transition physico-psychique, raté ou pas.

 

Pour Salvien prolongé, le 01/11/2025 07:24:21.

 

(1) Dans la philosophie idéaliste et religieuse, il y a négation relative du substrat animal tout court chez l’animal humain en évolution : négation conceptuelle relative et générale de l’évolution. C’est en reconnaissant et comprenant la constitution et l’héritage de ce substrat que l’humanité a commencé, commencé un peu,  à différer le besoin immédiat de l’individu dans l’espèce, vers-dans la satisfaction collective de la société humaine, du clan préhistorique paléolithique puis néolithique à la société de clan terrestre local-global en voie de constitution qui est la nôtre : pas encore possible mondialisation communiste de la croissance-diversité terrestre globalisée, condensifiée (réorganisation continue-discrète).

 

C’est en reconnaissant et comprenant la constitution et l’héritage de ce substrat animal que devient possible sa négation de sa négation, sa positivation, le dépassement de l’aliénation de soi dans celle de la production "confisquée" marchande puis capitaliste, son produit, les gestes physiques-psychiques et de transmission de cette production, et héritage de longue durée des gestes de production des biens vitaux et leur croissance-complexification-condensification, celle du même mouvement local-global (en santé sociale-terrestre-cosmique suffisante).

 

La pensée structuraliste qui nous habite et que nous combattons ou pas nous amène à « rectifier » sans cesse nos conception globalisantes oublieuse de la croissance cosmique de la diversité.

 

Nous replacer-resituer dans l’évolution du galet aménage de l’homme habilis vers la chaîne automatisée-numérisée d’assemblage et l’organisation horizontale-verticale sociale qui la permet, « de la mine à la vente-distribution » nous donnera les clefs de compréhension d’une autre organisation sociale possible en santé sociale suffisante, dépassant l’état de maladie finale du système capitaliste incapable d’atteindre ni la mondialisation ni la santé sociale suffisante de cette mondialisation,  pour perdurer en tant qu’organisation de l’humanisation continue-discrète.

 

La pensée dialectique de passage de la non-contradiction à la contradiction, qui entre aussi relativement en processus dans la pensée idéaliste est un besoin, un outil du besoin de conscience.

 

Page 282 de :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

 

VOIR aussi : https://pierre-assante.over-blog.com/2025/10/le-quantum-poeme.mars-2007.html

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4 novembre 2025 2 04 /11 /novembre /2025 09:17

 

55. INSTINCT de CONSERVATION et CAPITAL

 

La contradiction et l’unité-identité naturelle entre individu d’une l’espèce et son espèce en mouvement-naissance-transformation continue et discrète, quantique, est une contradiction féconde et fertile.

 

Elle permet le développement, la complexification et la condensification (Réorganisation continue et discrète, quantique) individuels de l’instinct de conservation, et sa transmission-intrication à l’organisation biologique de l’espèce. La « conservation » physique est issue de la stabilisation relative de-des « premières » entités chimiques stables, consommatrices et reproductives (vivantes) après la longue évolution cosmique, essais-créations infinis qui les ont produites

 

Le processus de conscience, de la gésine au développement progressif, issu de la naissance et de la complexification du travail-pensée, de l’humanisation, fait « passer » l’homme à un stade nouveau de l’instinct de conservation et de sa-ses contradictions.

 

La contradiction se situe dans la perception dramatique de la fatalité objective et de la subjectivité des besoins vitaux et de la mort dans la transmission générationnelle, la complexification de l’humanisation.

 

Sur le plan religieux il s’agit de la résurrection et de l’obéissance aux nécessités. La réduction du temps de travail, dans les possibilités relatives qu’elle donne aux choix d’activité provoque la croissance exponentielle et tout aussi fertile de cette contradiction. La dichotomie subjective conservatrice, frein et limite historique-provisoire du mouvement d’humanisation, besoins/mort, est le propre du religieux, comme celle du corps/esprit, pensée/société.

 

Le besoin actuel, au stade des forces productives c’est de remettre sur ses pieds cette contradiction inversée mentalement par-dans l’unité de pensée dialectique matérialiste, dans sa réalité matérielle concrète naturelle-sociale, du développement possible du dépassement de l’aliénation marchande, capitaliste et du CMMnİgF final.

 

La numérisation n’est pas qu’une affaire technique mais une affaire civilisationnelle objective et subjective, physique et affective, unité du physique et de l’affect, particulaire-biologique-psychique.

 

L’inversion subjectivité/objectivité est intriquée à l’abstraction de-par la marchandise, celle de la valeur d’usage et de la valeur marchande,  valeur d’usage/valeur marchande ou l’achat prend le dessus sur l’usage, sur l’usage en fonction des besoins, leur développement, leur complexification.

 

Créer une unité contradictoire non antagonique en rétablissant sur ses pieds la contradiction objectivité/subjectivité est de l’ordre des luttes sociales et des luttes de classes dépassant-abolissant la marchandise au profit du produit et de son usage. Il ne s’agit pas d’une transformation-miracle qui tiendrait du religieux, mais d’un processus d’humanisation continué et discret, quantique, en situation de santé sociale insuffisante,  mais pas fatalement mortelle, au sens que nous donnons à la fatalité ; à la différence des individus, espèces, civilisations fatalement mortels mais transmissibles en unité cosmique, matérielle évidemment.

 

« L’éternité » cosmique matérialiste, l’autocréation processuelle naturelle-sociale non de la conscience de soi, limitée à soi, mais de la conscience sociale, c’est notre « résurrection » dialectique.

 

La marchandise première, en première et dernière instance, dans notre système issu du long développement et complexification générationnel du mode de production et d‘échange marchand, étant, dans le capital par lui-même, la force de travail humaine, capital elle-même et échange de capital.

 

La dissymétrie et le déséquilibre,  la dissymétrie-déséquilibre constitue le mouvement, mais à l’excès-insuffisance (contradiction à terme) tue le mouvement. C’est cet excès-insuffisance qui habite l’échange dans le capital, qui fait que les besoins sociaux sont mis en contradiction antagonique et réduits (relativement mais suffisamment pour détruire relativement puis absolument la santé sociale) à la production-reproduction du capital, sa valeur et sa mesure, ses-leurs limites  systémiques.

 

Pour Salvien dépassé, le 04/11/2025 07:25:25.

 

C'est une page de :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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3 novembre 2025 1 03 /11 /novembre /2025 17:48

 

52 LA PUISSANCE

DU LIBERALISME :

 

Sur le recul des idées communistes et des partis communistes.

 

Transformations fascistes des forces productives.

 

 

Une meilleur compréhension et explication des transformations du monde, des forces productives de la multitude des rapports sociaux locaux-globaux aurait peut-être, sans doute, peu fait.

 

Le succès des partis communistes ou « du travail » dans leur adéquation contradictoire avec une critique du libéralisme, mettant en œuvre un processus contradictoire de transformation du système qui développe le libéralisme, sa croissance exponentielle et celle de son incohérence et anti-coopération sociale individuelle et collective, n’était spatiotemporellement sans doute pas à maturité du système.

 

Je ne parle pas d’une prise de pouvoir « communiste » dans le système pouvant mettre en œuvre une accélération de la maturité vers des possibles transformations qualitatives, en santé sociale, et les progrès sociaux que cette mise en œuvre inclue. Ce qui pouvait se passer et s’est passé en partie, contradictoirement avec les régressions par rapport aux objectifs et premières expériences de 1871, de 1917 (1) etc. et leurs suites. Avec ce que cela a impliqué dans les luttes interactives mondiales : fronts populaires, libérations relatives de forces productives par abaissement relatif ponctuel du coût du capital, et du colonialisme direct, etc…

 

Il ne s’agit pas seulement de libérer les forces productives techniquement, mais de réviser de fond en comble les rapports sociaux « entre eux » (ce n’est pas une tautologie, mais un rapport réciproque pré-décrit possible ou pas) et avec la nature, en unité organique de fonctions, ce que ne peut faire une prise de pouvoir sans processus scientifique, affectif, économique et politique y correspondant.

 

Je renvoie aux analyses de Marx et d’Engels sur les conditions de transformation dans l’inadéquation croissante entre le processus des forces productives et l’état d’organisation économique, politique, institutionnelle de la société correspondant au passé des forces productives. Il faut avoir en tête les transformations fascistes des forces productives.

 

Ce qui était valable en tant qu’utopie anticipatrice, dans cette analyse pour le capital dans l’industrialisation mécanisée, l’est tout autant dans le principe, le postulat, pour l’industrialisation numérisé, ses échanges, ses institutions nouvelles, ses modes de pensée scientifiques, philosophiques, culturels, dans le mode global de pensée du système.

 

Constater le recul des idées communistes et des partis communistes ce n’est pas y renoncer, c’est agir en fonction du réel ici et maintenant en procédant à la transformation dès aujourd’hui.

 

Le petits et grands meilleurs résultats des communistes dans la transformation inouïe de la société ne sont que la flamme à entretenir, faire grandir et coordonner localement-mondialement.

 

L’iskra était le titre du journal social démocrate russe. L’étincelle ne peut se propager sans la critique de la russification du début du siècle denier et « l’apprendre, s’instruire » du 3eme congrès de la troisième internationale resté sans lendemains suffisants.

 

S’instruire-apprendre, « mot d’ordre », n’est pas de l’ordre de se faire plaisir, mais de l‘utopie opérationnelle à introduire dans nos actes et comportements. C’est l’anticipation généralisée de toute société future, terrestre-cosmique viable.

 

Pour faire un grand mouvement il faut qu'une multitude de trajets individuels se croisent, ce qu'il faut-faudrait favoriser. C'est le contenu social et sa pertinence sociale qui permettent le croisement. Cette banalité est voilée dans l'apparence du système qu'il auto-entretient. Et cela sert-il à quelque chose de dire cela ? Ou seulement à se faire plaisir ? En trompant les autres on ne peut que tromper et se tromper soi-même. Sans chercher et transmettre le contenu social et sa pertinence sociale le principe est inutile. Bon travail aux savants engagés !

 

Pierre, le 30/10/2025 09:15:03,

 

(1) à publier le 7 novembre 2025, double date anniversaire...

 

 

Page 281 de :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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2 novembre 2025 7 02 /11 /novembre /2025 13:20

 

54. La CHRONOLOGIE SOCIALE et La SEF, « sécurité d’emploi et-ou de formation »,

 

Aucun mode de production et d’échange n’est « pur », mais contient une dominante.

 

La chronologie sociale comme toute chronologie naturelle-cosmique est causale-aléatoire, ce qui signifie pour notre compréhension qu’un enchainement naturel-social-psychique lui-même dépend d’une infinité d’évènements individuels-collectifs-sociaux perceptible et imperceptibles que la volonté peut influencer, donnant les coups d’épaules aux sauts de qualité possibles, avec ou sans effets mécanique attendu ou pas.

 

Dans mes réunions syndicales nationale et locales, j’avais coutume de réponde aux yaka-yfokon : ce n’est pas nous qui produisons le vent, mais c’est nous qui l’utilisons pour mouvoir le bateau bien ou mal dans la direction souhaitée ou pas.

 

Mes traits d’union (-) sont les traits d’union graphiques gramsciens indiquant l’unité des « composantes » d’un mouvement, l’unité du mouvement et de ses développements inégaux.

 

Je ne mets pas de 1, 2,3 etc. afin de ne pas donner à cette liste l’aspect d’une chronologie sociale figée, post-écriture personnelle du réel, mais pour la citer telle qu’elle s’est développée apparemment dans le processus d’humanisation « au-delà » de l’animal et dans le développement du travail-pensée, et aurait pu se « dérouler » tout à fait différemment, de même le-les développements futurs possibles de l’humanisation.

 

La propriété au sens de qualité, à rechercher dans nos utopies sociales antécédentes à la construction concrète future, est la santé sociale suffisante pour procéder, ce qui n’a pas été le cas dans les essais légitimes et généreux de dépassement de l’achat de la force de travail par-dans une propriété des moyens de production différente que celle de l’accumulation A-M-A’ ;  cause mutuelle, contradictoire, aléatoire, de l’arrêt sans doute de l’expérience réciproque contradictoire achevée,  mais pas fin de programmation absolue d’humanisation.

 

Car les essais de processus socialiste (et pas communiste, mais par des communistes, malgré leur lien processuel, leur unité contradictoire) ont bien été une tentative floue et aléatoire de dépassement de l’achat de la force de travail. Faute de savoir(s) et de rapport(s) de force, l’aboutissement des années 1980-90 ne réduit pas à néant le besoin de ce dépassement, de celui de dépassement de l’obsolescence de l’achat de la force de travail, que manifeste la force de la lutte contre la reforme des retraites, période d’activité « non-contrainte », achetée dans la période de vente individuelle, sociale et collective « passée » d’ « activité » au sens de l’INSE et par la vente par les « actifs » présents de leur force de travail.

 

Ceci dans l’intrication globale locale-mondiale des moyens et du cycle élargi du mode de production-échange-consommation-production, consommation productrice et production consommatrice (Marx 1857) notion empirique-abstraite d’une réalité concrète, à préciser par-dans l’étude quantitative-qualitative du capital, de ses mouvements locaux-globaux,  de son processus.

 

Il est plus facile de le dire après qu’avant, surtout si nous ne le « voyions ni ne voyons » pas ou plus, et les censeurs sont souvent des conservateurs de l’état existant du mode de production et d’échange en fin de parcours et tendant rapidement à l’obsolescence.

 

Transformation-révolution technique fascisante parce que sans révolution sociale (Gramsci).

 

Les essais légitimes et généreux de dépassement de l’achat de la force de travail et des conditions de leur succès c’est la tâche de ce XXIème siècle de production et d’échange numérisés ; majoritairement car aucun moyen ni mode de production et d’échange n’est pur (bis). Il contient ses multiples substrats physiques-psychiques sociaux mêlés ; des essais à mettre en œuvre au-delà de l’accumulation A-M-A’, au-delà de l’aliénation du travail du produit et de l’usage du produit du travail, rapprochement continu des besoins sociaux et de leur développement, croissance, complexification-condensification (réorganisation continue-discrète).

 

XXIème siècle de production et d’échange numérisés ; majoritairement, car le « lit de Platon » technique-psychique-social, de production de l’objets particuliers « dans » l’organisation sociale reste celle de « l’invention artisanale », de la production mentale, travail-pensée, permettant la production physique du fameux lit. Production physique-mentale des objets et de leur assemblage social décrit par l’ergologie ouvrière et progressiste ; une organisation du travail révolutionnaire, post-taylorienne, communiste, d’autonomie relative de la personne dans celle de l’entité locale et globale humaine de production-échange : l’autogestion non comme formule mais mouvement progressif continu-concret (quantique).

 

Le, les développement(s) futur(s), développent aussi leurs propres dominantes, le mouvement de dépassement de ces propres dominantes de mode de production et de domination de classes ici et maintenant, dans l’humanisation continue-discrète et son dépassement cosmique d’espèce.

 

Aucun mode de production et d’échange n’est « pur », mais contient une dominante technique-sociale :  civilisationnelle.

 

Dans l’état du clan paléolithique on a pu observer un mode de production des ressources vitales simples et complexes, simples-complexes des forces productives de la ressource et de la consommation de ces ressources sans accumulation privée, même si l’accumulation privée comme la domination sociale et sexiste y sont en gésine et en substrat animal en unité du passé-présent-futur.

 

L’étude du pré-artisanat matriarcal communiste primitif de clan primitif, ayant produit causalement et aléatoirement plus tard l’artisanat marchand, l’étude de son invention matriarcale dominante est une grande réflexion du lien pensée-travail-humanisation, dépassement-abolition et acte différé humain-post animal, du développement des besoins.

 

Le clan mondial hyperlibéral et hyperprésidentiel en étant le développement contradictoire en fin de cohérence et coopération sociale despotique et de classes, cohérence-coopération, et création-antichambre des nouvelles coopérations-cohérences sociales en nouvelle santé sociale suffisante.

 

La connaissance des caractéristiques futures en gésine ne peut se séparer de celle du substrat passé, animal et social, dont nous avons déjà parlé et de l’utopie anticipatrice, capacité d’invention (travail-pensée) propre à l’homme qui contient ce futur causal et aléatoire, de même infiniment divers.

 

Dans cet « enchaînement-déchaînement » causal-aléatoire, les dominantes se sont modifiées dans les substrats et le nouvel existant.

 

Le mode de production dit asiatique ou dit d’esclavage généralisé de despotisme central, comme l’esclavage d’entrepreneur individuel grec ou romain, comme le féodalisme, comme la monarchie absolue de fin de féodalisme et de prémices industrielles-bourgeoises, n’ont pas contenu majoritairement l’achat de la force de travail.

 

La persistance millénaire du mode production asiatique d’Asie ou d’Eurasie ont crée des conditions particulières de notre temps comme les développements des modes de production d’Amérique latine etc….. y compris dans et pour l’achat de la force de travail.

 

Les zones de diffusion et de passage de l’homo sapiens d’Afrique dans l’espace terrestre, doublée de conditions d’usage de l’Energie fossile entre autres du XIXème-XXème, ont aussi marqué géopolitiquement-économiquement et dramatiquement, situation inouïe, notre XXIème siècle, et confirment les contradictions létales du mode de production terrestre dominant ici et maintenant. Et le rapport malade social-naturel, terrestre.

 

Le charbon de l’Angleterre préindustrielle et industrielle est un « élément » parmi les éléments et leurs composantes-résultantes, qui est au cœur de la compréhension géographique sociale et des développements des moyen(s) et mode de production.

 

La transition sans santé sociale suffisante c’est la marque des transformations de l’époque marchande multimillénaire issue de l’accumulation agricole néolithique. Situation « ordinaire » du processus cosmique qui recherche le non équilibre-non symétrie satisfaisante-satifaisant au mouvement ; à son existence et vie.

 

Les renaissances et réformes économico-religieuses ont reproduit ont reproduit « au niveau supérieur » l’accumulation et la propriété privées.

 

L’achat de la force de travail, le salariat est la propriété-qualité, la qualité propre au capitalisme, l’accumulation capitaliste, sa maladie de suraccumulation-devalorisation du capital en cours de crise sans retour …….

 

Le « travailleur libre » du capital, n’est pas la fin de l’aliénation et des caractéristiques de l’aliénation citées plus haut. La libération de l’achat-vente de la force de travail, c’est le cœur du « Manifeste du parti communiste » de Marx et Engels et du mouvement ouvrier et intellectuel, ouvrier-intellectuel de 1848, en plein évènement conjoint de libération de la bourgeoisie elle-même du féodalisme-monarchique absolu, contradiction toujours présente dans le compromis historique capital/travail, ses avancées sociales, ses limites et ses avenues et sentiers borgnes inviables et invivables.

 

Il n’y a pas, ici et maintenant de travailleur libre dans le capital, quelle que soient ses transformations technique et psychiques, limitées, sans dépassement de l’achat de la force de travail, qui nourrit le cycle d’accumulation du capital, sans lequel le capital « meurt de faim de capital».

 

Mais dépasser-abolir l’achat de la force de travail, le salariat, qu’il soit local ou concentré mondialement et la collecte de plus-value locale-globale de même, du C.M.M.n.İ.g.F. (1), et sa santé insuffisante, sa maladie de production et des besoins sociaux, demande une poursuite du processus d’humanisation, de la pensée-travail.

 

La « sécurité d’emploi et de formation et de revenu » est un processus qui peut permettre ce dépassement-abolition, conservation-transformation, à condition de ne pas la considérer comme une simple réforme du mode de production capitaliste ; ce « doit » être un inconnu en santé sociale et individuelle, sociale-individuelle, à inventer, ce qui pose problème  à notre mentalité à la fois d’espérance conservatrice contradictoire.

 

Pesanteur du passé dans le présent. « Le mort saisit le vif ». « Perduration » des idées et des affects issus de conditions passées existantes dans le présent et les projets.

 

Quel effort sur l’existant présent et son contenu-substrat-prémices, instant et durée, instant-durée contradictoire en unité et en identité, unité-identité.

 

C’est bien la tare originale du socialisme et du communisme institutionnels de 1875 et post 1875 « de Gotha », et de ses actes de réforme et des répressions subies : l’incapacité conceptuelle d’imaginer le mouvement dans et au-delà du système en cours dénoncé, dont la manifestation quotidienne de notre destin nous paraît tout aussi immuable que le lever et le coucher du soleil qui ne sont d’ailleurs ni lever ni coucher, mais le mouvement de rotation de la terre sur elle-même et de nous avec elle.

 

La SEF, « sécurité d’emploi et-ou de formation », c’est le processus de transfert-transformation graduel et radical du capital vers la résolution des besoins sociaux et leur croissance-complexification-condensification, transfert local-global, terrestre-cosmique,  robinet dans le cycle actuel malade ouvert vers les activités humaines ne pouvant être assouvies par le taux de profit et dépassant progressivement par transfert de qualité de la Valeur, le besoin de taux de profit ; dépassant en quantité-qualité, de même et dans le même mouvement, la mesure de la Valeur-TTSMN (2) dans la croissance quantitative-qualitative exponentielle la mesure-dissolution de la valeur : l’activité sans dimension est une vue de l’esprit, une double abstraction, réel abstrait et représentation du réel abstrait,  et un projet relatif à l’infini mais croissant à l’infini. Processus humain « dans » le processus cosmique en unité.

 

Projet magnifiquement humain du mouvement de la conscience de la nature sur elle-même (Marx, 1844).

 

Evidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire certes, mais sans l’imaginer, l’inventer, pratiquer radicalement et progressivement (expression de Frédéric Boccara), pas de transformations mais mort de l’existant sans héritage à exploiter dans un nouveau non encore accédé ; négation du « non », du « pas » accédé.

 

« Les hommes ne résolvent que les questions qui se posent à eux ».

 

La question qui se pose à eux, dans les licenciements industriels-commerciaux-gestionnaires de la numérisation capitaliste (ne pas oublier le qualificatif de « capitaliste » sinon, ça ne veut rien dire), dans la progressions des politiques d’austérité et de misère, et les protestations, manifestations-grèves légitimes et nécessaires, c’est la réponse juste, physiquement-psychiquement, si leur qualité dépasse « l’amélioration » social-démocrate et chrétien-démocrate d’un existant qui n’est plus opérationnel, ni la protestation, ni l’existant.

 

‎Dimanche ‎2 ‎novembre ‎2025, ‏‎06:20:32.

 

(1) Voir articles précédents et « école d’économie néomarxiste de régulation systémique ».

 

(2) Temps de travail social moyen nécessaire à la production d’une marchandise, et de même de sa consommation dans la valeur marchande de la marchandise force de travail et sa mesure abstraite, la monnaie quelle soit d’argent, de papier ou numérique, et étrangère à soi, à la satisfaction immédiate du besoin et du désir issu du besoin, désir « appétit de l’esprit ».

 

 

Ceci est la page 283 de :  :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

 

VOIR aussi : https://pierre-assante.over-blog.com/2025/10/le-quantum-poeme.mars-2007.html

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2 novembre 2025 7 02 /11 /novembre /2025 09:55
CHAINE de PRODUCTION NUMERIQUEMENT AUTOMATISEE. LIRE le RECUEIL : CLIQUER SUR L'IMAGE

 

SOMMAIRE pages 292-296

"heresie et ESPERANCE quand même" 

LE LIEN :

https://pierreassante.fr/dossier/ESPERANCE_QUAND_MEME.pdf

 

 

… Il y a souvent pour ne pas dire toujours convergence, rapport dialectique en aller-retour des évènements et des crises économiques et politiques conjointes. Le capital s'appuie sur ses propres crises dans les évènements qu'elles suscitent … (« Gouvernable ou pas ? » page 79).

 

… 1. De la crise économique décennale à la crise systémique de longue durée.

 

... 2. De l’industrie mécanisée à l’industrie numérisée.

 

3. De la démocratie bourgeoise, libérale, à l’administration capitaliste directe.

 

4. Les hommes et le climat.

 

5. La crise de la gestion communale in fine….

… La révolution communiste c’est celle du temps de travail dans la révolution numérique et de la formation « professionnelle » et générale sur l’état du monde naturel et social, dont la révolution monétaire de l’économie néomarxiste de régulation systémique est l’entrée en processus salvateur des hommes et du climat… (« Crise de l’emploi », page 113).

 

6. LA CRISE DES RETRAITES, AU CŒUR LE LA CRISE GOUVERNEMENTALE, LIEE A CELLE DES REVENUS ET DE L’EMPLOI, C’EST LA CRISE DE L’ACHAT DE LA FORCE DE TRAVAIL. Page 263.

 

7. PENSEE DU SOCIALISME ET DU COMMUNISME. Page 270.

 

N.B. j’attire l’attention du lecteur sur les notions de « croissance-complexification-condensification » exposées dans ce journal et les précédents.

 

LIRE : CLIQUER SUR L'IMAGE

 

 

 

SOMMAIRE pages

292-296

"heresie et ESPERANCE 

quand même" 

 

LE LIEN :

https://pierreassante.fr/dossier/ESPERANCE_QUAND_MEME.pdf

 

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1 novembre 2025 6 01 /11 /novembre /2025 07:49
Reçu de Marie Dalenga, je crois, si je ne me trompe pas

 

MARIE DALENGA

 

Du bon usage de la justice.

 

Du bon usage d’un crash.

 

            Le 23 octobre, la une de Nice matin est consacrée au »récit du crash évité de peu à Nice », avec une photo des pistes et un sous titre : "le rapport basé notamment sur les échanges, minutes par minutes, entre la tour de contrôle et l’avion qui a failli se crasher sur un autre, le 21 septembre dernier, a été rendu public. Il accrédite la piste d’une erreur du pilote Nouvelair ". C’est pas une infox mais…ce qui restera c’est la mise en accusation du pilote de la compagnie tunisienne. L’article est plus clair. Le Bureau Enquête Accident a rendu un  "rapport préliminaire" : cette enquête "a pour unique objectif l’amélioration de la sécurité aérienne" et "n’a pas pour but de déterminer les fautes ou responsabilités"  . Le BEA se demande "comment l’équipage du vol Nouvelair a pu avoir la conviction de poser son avion sur la piste 04L". Le rapport mentionne les perturbations météorologiques, la visibilité qui s’abaisse et pointe aussi "la différence d’intensité des balisages lumineux des deux pistes". Il évoque aussi l’inversion des pistes de décollages et d’atterrissages sur l’aéroport niçois, "contrairement aux usages". Le BEA "a eu connaissance d’autres événements au cours desquels des équipages auraient confondu les pistes…" Le pilote pas seul en cause, ça va pas faire plaisir à Ciotti ! Les contrôleurs ont fait leur travail ? Tant pis pour les militaires d’Estrosi. Le re-ministre Tabarot qui a su profiter de l’occasion pour annoncer une dotation supplémentaire aux contrôleurs et leur imposer un badge biométrique se tait... Pour remédier aux défauts de l’aéroport on attendra la fin des enquêtes en cours: on respecte le droit ! Derián èstre roges coma de pebrons !

 

Du bon usage des infos

 

            Le 24 octobre, le 20heures de TF1  ouvre sur le procès de la meurtrière de Lola, l’affaire Grégory, les squatteurs, le permis de conduire des seniors, les détectives privés à la recherche des vélos volés en Angleterre... La France a peur aurait dit Gicquel ! Le journal évoque les travaux lancés par Trump à la Maison Blanche. Quel mégalo, celui-là ; c’est pas chez nous qu’un président utiliserait un "pognon de dingue" pour des travaux de prestige. Ce 20H se termine par le parler des mains italien. Quel rapport avec l’actualité ? Ce jour le parlement discute du budget. La veille, Zucman, l’inventeur d’une taxe controversée a donné son avis sur ce qui semblait pouvoir devenir un compromis : "2 %, c’est vraiment le minimum syndical" pour "faire entrer les milliardaires dans le champ de la solidarité nationale". C’est pas une info parce qu’il le disait dans l’Humanité ? Le même jour le ministre des Affaires étrangères du Polisario a confié à l'AFP qu’il était prêt à négocier "un pacte d'association libre qui pourrait ressembler à la proposition du Maroc", mais seulement si la population sahraouie le valide par référendum. Le référendum, c'est ce que prévoit l'ONU depuis 1991 et que refuse le Maroc. C’est pas de l’info parce que le groupe Bouygues investit et délocalise au Maroc ? Droit à l’info ou droits des oligarques ? Un bèu mantèu cuerbe lo brut.

 

Du bon usage du droit

 

            "La force du droit demeure plus que jamais l’un des piliers sur lesquels repose notre société"  déclarait  Sarkozy le 12 janvier 2012 à l’Élysée. Aujourd’hui, reconnu coupable d’association de malfaiteurs pour avoir laissé ses collaborateurs discuter d’un financement occulte de sa campagne présidentielle de 2007, il fustige  la justice. Cela a même choqué un ancien garde des sceaux macroniste, pourtant peu amène avec cette institution : «“Démolir l’institution judiciaire dans son ensemble, sans discernement, c’est inquiétant[...] C’est une injure à l’État de droit, dont on a pourtant besoin." Le droit, l’info, enjeux de lutte des classes ? Zo, bolegan !  Viva lo cambiament vertadier !

 

Marie Dalenga,

"Le patriote côte d'azur"

 

VOIR : https://pierre-assante.over-blog.com/2025/10/le-quantum-poeme.mars-2007.html

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29 octobre 2025 3 29 /10 /octobre /2025 18:27

 

Philippe Aghion ou les égarements du social-libéralisme

Denis Durand

Publié le 29 octobre 2025

 

Philippe Aghion a eu la chance d’avoir des parents communistes. Ce n’est toutefois pas sa jeunesse militante qui l’a aidé à mériter le « prix Nobel d’économie », ou plutôt, le prix de sciences économiques décerné par la Banque de Suède dans le but, disent les mauvais esprits, de faire croire au monde entier, l’espace d’une journée, que l’économie serait une science de la nature comme la physique ou la chimie, et non une science des sociétés humaines dans leur développement historique.

 

De fait, le professeur au Collège de France et son collègue Peter Howitt ont été récompensés pour avoir mis en équations les vues du penseur austro-américain Joseph Schumpeter, aussi réactionnaire que génial, qui attribue aux « entrepreneurs » et à leur œuvre de « destruction créatrice » le mérite du progrès économique au cours de l’histoire du capitalisme.

 

Il est tout aussi vrai que Philippe Aghion se réclame d’une philosophie politique un peu différente, se voulant attentive à concilier le pouvoir des « entrepreneurs », y compris quand ils jouissent d’un monopole, avec le bien-être général ; en somme à s’attacher à ce que le « renard libre », une fois entré dans le « poulailler libre », y fasse le bonheur de ses occupantes.

 

C’est, peut-on penser, ce qui l’a conduit à jouer un rôle de conseiller du Prince, auprès de François Hollande, puis d’Emmanuel Macron qu’il avait côtoyé, sous Sarkozy, au sein de la commission Attali « pour la libération de la croissance française », et dont il a fortement inspiré le programme économique. Vu les effets économiques et sociaux des politiques menées par les deux derniers locataires de l’Élysée, on ne s’étonne donc pas de retrouver son influence dans des inventions aussi perverses que celle du CICE, ou de le voir présider, en 2024, le « Front économique » du MEDEF avec Patrick Martin.

 

De l’adhésion aux défunts modèles suédois ou danois à la justification, au XXIe siècle, des politiques inspirées par les exigences les plus féroces du capital, il n’y a qu’un pas que l’économiste couronné en 2025 n’est pas le premier à avoir franchi, et que son soutien récent à la « suspension » de la réforme des retraites n’a nullement remis en cause.

 

Denis Durand

Article publié dans CommunisteS, numéro 1060 du 29 octobre 2025.

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28 octobre 2025 2 28 /10 /octobre /2025 20:57

 

 

 

51. ACTIVITÉS, ACTIVITÉ.

 

 

La masse de l’activité des personnes humaines n’a jamais été aussi éloignée des besoins immédiats de la personne humaine. Abstraction de l’activité et abstraction du mode de pensée constituent une irrationalité commune, une aliénation, en unité, jamais atteinte par l’humanité. J’ai écrit « éloignées » en non scindées. Cet état n’est pas seulement lié au mode de production et d‘échange et sa crise de suraccumulation-dévalorisation du capital. Il possède son autonomie relative qui la distingue, comme dirait Marx, à l’instar de son commentaire sur les idées, auquel j’ajouterai l’autonomie relative des sentiments, en unité et en développements inégaux. La chanson exprime aussi cela, inconsciemment et irrationnellement. La religion est l’opium des peuples, elle joue le même rôle que toute drogue, soulage mais ne résout pas. C’est aussi l’expression de la détresse humaine comme dit Marx : l’expression de la détresse humaine non mesurable est aussi une activité liée au système, et autonome du système, mouvement des forces contraires, de leur unité et de leur IDENTITÉ. Connaitre ce qu'est "la Valeur d'Echange" est nécessaire à la transition du mode de production capitaliste vers un autre, mais ne suffit pas. Je suis un croyant cosmique ; j’essaye ; cosmos matériel au sens de Eftichios Bitsakis. Je n'en ai pas crainte. Qui n’est pas croyant me jette la première pierre.

 

Pierre Pour Salvien. 28/10/2025 20:17:50

 

P.S. Pour faire un grand mouvement il faut qu'une multitude de trajets individuels se croisent, ce qu'il faut-faudrait favoriser. C'est le contenu social et sa pertinence sociale qui permettent le croisement. Cette banalité est voilée dans l'apparence du système qu'il auto-entretient. Et cela sert-il à quelque chose de dire cela ? Ou seulement à se faire plaisir ? En trompant les autres on ne peut que tromper et se tromper soi-même. Sans chercher et transmettre le contenu social et sa pertinence sociale le principe est inutile. Bon travail aux savants engagés !

 

Page 280 de :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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28 octobre 2025 2 28 /10 /octobre /2025 09:19

 

 

LE QUANTUM (poème).

Mars 2007.

 

4.

la trajectoire de l’individu dans l’espèce

donne l’image de cette double vérité

dans tout existant

 

5

seul le type du mouvement

transmet l’apparence de l’onde ou celle du corpuscule

 

suite sur ce lien :

https://pierreassante.fr/dossier/quantum.pdf

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28 octobre 2025 2 28 /10 /octobre /2025 08:58

 

 

 

 

 

 

 

"ON AVANCE

 

ON  AVANCE

 

ON  AVANCE,

 

c'est une

 

évidence,

 

on

 

avance

 

....  !"

 

 

 

 

ci-contre

un article de

La Marseillaise,

du

27 octobre 2025.

 

 

 

du blogueur : 

SOMMAIRE pages

281-285

"heresie et 

ESPERANCE 

quand même" 

 

LE LIEN :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

 

 

et aussi :

 

1) 50. ZUCMAN.

 

2) LE QUANTUM (poème). Mars 2007.

 

 

 

 

 

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28 octobre 2025 2 28 /10 /octobre /2025 08:08
Extrait de "THEORIES SUR LES CRISES de suraccumulation ..." Paul BOCCARA.

 

 

50. ZUCMAN.

 

 

Une des accumulations quantitatives, dans l’accumulation quantitative, parmi tant d’autres possibles et effectives, dans une transition-régression-transition du processus continu-discret contenant-conduisant au saut quantitatif-qualitatif ???

 

Zucman c’est notre Necker du moment (Page 351 des « Théories sur la plus-value », Marx, tome 1). Mais dans un contexte à la fois comparable mais tellement différent : santé relative du capital à son extension mondiale du XVIIIème et baisse tendancielle du taux de profit---suraccumulation-dévalorisation du capital de longue durée du XXIème.

 

Les solutions de Necker ne pouvaient en aucun cas résoudre les contradictions et la crise du féodalisme devenu  royauté absolue et antichambre du pouvoir de la bourgeoisie et du capitalisme. Idem aujourd'hui pour le C.M.M.n.I.g.F., capitalisme monopoliste mondialisé numériquement informationnalisé globalement financiarisé.

 

Et Limites du Compromis Historique Capital/Travail.

 

27/10/2025 08:53:29.

 

Page 280 de :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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27 octobre 2025 1 27 /10 /octobre /2025 00:02

 

 

POST SCRIPTUM à (1) :

 

 

Toute chose crée son contraire. C’est cela l’autocréation naturelle et humaine.

 

Le Bauhaus est ce que la Révolution d’Octobre pouvait faire si elle ne se s’était pas empêtrée dans le pouvoir, impuissance, contraire négatif sans dépassement, "n'atteignant" pas la négation de la négation.

 

Le Bauhaus n’est pas la santé sociale parfaite qui d’ailleurs n’existe pas, mais une avancée provisoire, comme tout existant dans l’autocréation et son contenu passé-présent-futur en unité organique.

 

La Revolution d’Octobre allait à « l’initiation initiale » vers ça, révolutions-désaliénation féministe et de l’enfance naissance-transmission, révolutions comprises dans celle de classe, auxquelles elle a donné un coup d’arrêt dans les prémices de sa déviation économique et politique, théorique-pratique, que « rattrapait » la NEP si elle n’avait pas été elle-même non développée, liquidée ; liquidation du processus du moment de l’alliance sociale ouvrière-paysanne historique au centre.

 

La « composition sociale » historique de la révolution continentale de 1848 décrite par Marx dans « Les luttes de classes en France », nous ne l’avons pas suffisamment, pour ne pas dire si peu, développée et étudiée dans notre temps historique local-global, terrestre-mondial, ici et maintenant

 

Assurer le déséquilibre minimum vital non excessif de mouvement, sinon socialement pathologique : principe et postulat de l’existant social et naturel, social-naturel, vital, vivable et viable.

 

Le pathologique, social dans le pathologique naturel est une réalité contradictoire, des forces contraires locales-globales, de leur unité-identité organique,  dans le processus cosmique qui est surmonté dans l’infinité des échecs d’autoconstitution et de réussites d’autoconstitution qui aboutissent de ces échecs-croissance-complexification-condensification.

 

C’est ce qui constitue la loi naturelle sociale créatrice tant qu’elle assure un processus en santé cosmique suffisante pour procéder, ce en quoi constitue aussi l’infinité d’échecs et de réussites de l’instant-durée. Régressions dans la progression ou régressions dans la régression, négation limitée à elle-même, inviable.

 

Infinité d’échecs et croissance progressive de réussite vers-de l’infinité spatiotemporelle.

 

L'autogestion des personnels dans la rapidité de réorganisation continue-discrète des hôpitaux au covid initiant-galoppant est une auto-création humaine en santé sociale suffisante pour procéder ; à développer ou à tuer !

 

Dimanche 26/10/2025 23:41:13.

 

(1) https://pierre-assante.over-blog.com/2025/10/vous-pouvez-vous-creuser-la-tete-autant-que-vous-le-desirez-sur-le-compromis-de-classes-pathologie-naturellle-et-sociale.html

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26 octobre 2025 7 26 /10 /octobre /2025 10:13

 

Vous pouvez vous creuser la tÊte autant que vous le désirez sur le COMPROMIS DE CLASSES, pathologIe naturelle et sociale.

 

Vous pouvez vous creuser la tête autant que vous le désirez, vous ne trouverez pas un compromis de classes durable, viable, assurant une santé sociale suffisante pour procéder.

 

Toutes les sociétés de classes ou pas ont fait place à un transformation qualitative ou sont mortes.

 

Il n’y a pas de transformation continue sans transformation qualitative micro-méso-macro.

 

Un processus est à la fois continu et discret (quantique), continu-discret en unité organique, dans l’évolution-croissance-complexification-condensification (réorganisation continue-discrète) que ce soit de la société humaine, si vieille pour nous mais si jeune pour la nature, le cosmos ; et si contenue dans l’instant-durée comme toute chose.

 

Les lois de la société et les lois de la nature sont les mêmes.

 

« L’erreur » du mouvement ouvrier, du mouvement général plus large de ceux qui vendent leur force de travail contre un revenu vital insuffisant en rapport au processus historique, est d’avoir privilégié abstraitement et objectivement, objectivement-subjectivement, soit la transformation continue soit la transformation par sauts (discrète, quantique), et la prise de pouvoir. Scinder les deux est impossible, et-mais ne peut pas assurer le déséquilibre minimum vital non excessif de mouvement, sinon socialement pathologique.

 

Le pathologique, social dans le pathologique naturel est une réalité contradictoire, des forces contraires locales-globales, de leur unité-identité organique,  dans le processus cosmique qui est surmonté dans l’infinité des échecs d’autoconstitution et des réussites qui aboutissent de ces échecs.

 

Auto-construction de la nature par elle-même, de la société humaine « dans » la nature par elle même, de l’homme par lui-même. Construction de l’existant « dans » l’existant.

 

L’une sans l’autrre ne peut exister dans un processus durable en santé diffusante pour procéder, ni le processus lui-même.

 

Les « conclusions » des bolchevicks les plus avancées, de Lénine lui-même dans le constat du troisième congrès de la deuxième internationale, de la NEP, et du besoin de s’instruire, s’instruire, s’instruire, de ses difficultés et échecs, en témoignent.

 

La « maturité des conditions » de transformation n’est pas unilatérale , mais dialectique et tient à la constitution du processus continu-discret, c’est à dire aussi et en unité organique, aux « sauts » micros, mésos, macros, « micros-mésos-macros » : « micros-mésos-macros » est une formule qui ne reflète pas suffisamment l’infinité dans le continu, donc l’infinité dans le discret. Bon !  Employons-le avec cette réserve essentielle.

 

L’idéologie du compromis de classes est largement représentée dans la démocratie chrétienne, quelle ait été le contenu révolutionnaire de classes, populaire, anti colonial du christianisme originel dans l’Empire et ses suites, qui a transformé les soldats de légions romaines en chrétiens, Constantin en usant, et le compromis de classes en retour puissant qui a conduit l’Empire à la décadence «économique, politique, culturelle-psychique, et à la chute en unité de mouvement.

 

L’évolution lente du moyen-âge a bien abouti à l’intrication-syncrétisation-matérialisation de l’idéologie monastique, de la propriété clanique germaine, à la naissance de forces productives nouvelles, la féodalité antichambre de la bourgeoisie et d’un nouveau mode d’accumulation privée, limité lui-même à la crise actuelle du capital concentré, centralisé, sa suraccumulation-dévalorisation locale-globale mortelle pour lui-même et pour une société qui ne s’en libèrerait pas.

 

La lutte des classes reste plus instinctive que scientifique, donc insuffisamment consciente, malgré l’apport du marxisme et du néo marxisme,  de son développement et de ses difficultés dans la mondanisation capitaliste rompant les structures nationales, leur organisation de production, gestion et de résistance, gestion-résistance.

 

Vous pouvez vous creuser la tête autant que vous le désirez, vous ne trouverez pas un compromis de classes durable, viable, assurant une santé sociale suffisante pour procéder. Vous perdrez résistance ou vous y succomberez, si tant est que vous y trouviez un intérêt immédiat qui n’est qu’une illusion létale en bout de parcours social et cosmique.

 

Que notre destin soit naturellement létal, n’empêche en rien le besoin cosmique, général, global-personnel-collectif-social, de santé naturelle-sociale suffisante pour procéder.

 

C’est votre résurrection continue-discrète, donc quotidienne.

 

L’aspiration au délassement de l’aliénation matérielle et morale, des biens de production et de leurs gestes de création-gestion, de travail non contraint du cycle A-M-A’ qui engendre la lutte du moment contre la reforme libérale-U.E.-mondiale-macroniste « des retraites », est une aspiration au bonheur et sa recherche qui fait de l’homme un animal « supérieur » à lui-même, de façon continue-discrète dans le processus continu-discret (quantique) de conscvienc de la nature sur elle-même.

 

Dépasser les illusions religieuses déistes et laïques, d’origine commune demande la connaissance religieuse. Bien des « athées », pas si athées que ça puisqu’ils discutent de l’exitance d’une existence inexistante sinon dans l’invention conceptuelle ne pouvant que rester à l’état de double abstraction, d’utopie sociale non anticipatrice, non opérationnelle, de déadhérence conceptuelle sans retour.

 

Même si une utopie non opérationnelle, de désadhérence conceptuelle sans retour peut être avec retour opérationnel ; peut être créatrice d’utopies conceptuelles opérationnelles multiples et diverses à l’infini dans le mouvement causal-aléatoire de l’infinité corpusculaire-ondulatoire ; corpusculaire-ondulatoire, expression qui donne une idée de notre pensée aristotélicienne de non-contradiction, éléate, de préhistoire de la pensée dialectique matérialiste, en unité organique ; réussite dans l’échec ;

 

Les « riches » et l’accumulation privée est une constante de la société marchande cristallisant et voilant le contenu concret, économique-politique-psychique du mode de production et d’échange, de l’accumulation issue de la révolution néolithique agricole technique et politique

 

Notre société n’est pas n’importe quelle accumulation privée, c’est celle de l’achat-vente de la force de travail, du salariat en voie d’une généralisation (la fameuse maturation) qui ne peut se produire de façon absolue ni se conclure que par son abolition ou par le recul-disparition d’une construction sociale millénaire et d’une humanisation-déshumanisation pas seulement morale, mais essentiellement objective, recul-disparition, ce dont nous sommes sur la voie et que nous devons dévoyer  au sens positif dans-par le communisme.

 

Le communisme, société sans classe, donc autre type d’accumulation, société de partage, issue d’un processus progressif et radical des forces productives techniques-psychiques matérielles dont la numérisation et l’automatisation post-capitaliste, en unité processuelle, peut libérer de l’aliénation dans laquelle nous vivons subie, sentie, suffisamment consciente ou pas.

 

Le communisme, mouvement de croissance-complexification-condensification continu-discret personnel-social-terrestre-cosmique.

 

Mes traits d’union quasiment constants : (-),  se veulent affirmer l’unité complexe du mouvement contradictoire et l’identité des forces contraires.

 

Si, dans l’enchaînement logique de la pensée, une nouvelle phrase ne « corrige » pas une phrase précédente (ou suivante dans leur unité), ni un article nouveau un article précèdent (ou suivant dans leur unité), le sens s’éteint.

 

Pour Salvien de Marseille « plus » de l’Empire Romain d’Occident, le vieux et le nouveau. 26/10/2025 08:36:59.

 

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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25 octobre 2025 6 25 /10 /octobre /2025 07:54

 

QUE NOUS RACONTE

cette semaine

 

MARIE DALENGA ?

 

 

 

Indignations

 

LE MATCH

Le match entre l’OGC Nice et Lyon a été arrêté quelques instants ce samedi  18 octobre. A la suite d’un malentendu ! L’arbitre, respectueux des consignes  nationales a demandé au speaker officiel de faire cesser les chants injurieux ( ˝Daesh, Daesh, on t’enc...˝) de la Populaire-Sud. Déjà, fin septembre, contre le Paris FC, le match avait été arrêté à deux reprises pour des chants homophobes. Le match a ensuite repris et l’arbitre est venu s’excuser à la fin . Le président de L’OGCN  qui a ˝extrêmement mal vécu ce moment˝ et n’a pas supporté ˝l’ultimatum  fait à notre speaker de prendre le micro pour faire cesser cette manifestation sous peine que le match ne reprenne pas ˝ menace : ˝ Nous ferons dès cette semaine tout le nécessaire auprès de la FFF pour que cela ne se reproduise jamais˝ . Il annonce son intervention auprès du directeur de l’arbitrage. Pauvre arbitre, il n’a pas mal entendu, il a simplement essayé de faire respecter les consignes nationales ! Que ne lui a-t-on précisé qu’au presque royaume niçois, il y avait des coutumes locales et que même les règles footballistiques étaient différentes. Que fagan la lèi,trovaram l’embròlh !

 

La compétition

Les supporters-experts-candidats à la mairie ne pouvaient rater l’occasion. Ils ont en commun de ne pas citer les  paroles des ˝ chants˝.  Ciotti a tiré le premier, « Depuis 2016, la populaire Sud et de nombreux supporters expriment ce que nous pensons tous : un message contre Daesh». Il a oublié de demander que l’arbitre soit suspendu en attendant la fin de l’enquête, et qu’on vérifie tous ses papiers et contrôles d’aptitude, comme pour les perturbateurs du trafic aérien. Qu’il pense ordurier s’il veut, mais pas en mon nom ! Toutes les occasions sont bonnes pour draguer sa zone de chalandise électorale, et tant pis pour les remugles sécuritaires et homophobes. A son tour, Estrosi regrette une ˝décision totalement incompréhensible, lors du match entre l’OGC Nice et l’OL, d’interrompre la partie [...]après le traditionnel chant de nos supporters de la Populaire sud contre Daech […] ˝ . Il ne demande pas des arbitres militaires, cette fois, mais....  La loi est égale pour tous, la décision n’est pas plus incompréhensible que les condamnations de ses gourous Sarkozy ou Médecin. Le ˝traditionnel chant˝ ? Le langage ordurier fait donc partie des traditions ? Pour Sarkozy et Trump peut-être… Et ce ˝nos supporters de la populaires sud˝ !  Not’bon maire est bien bon. Pour attirer quelques voix en flattant des comportements inacceptables partout? Ils pourrissent même un sport-spectacle où l’argent est déjà roi. D’une saca plena de carbon, non pòu sortir farina !

 

L’autre match 

Les deux rivaux ont recours à la peur du terroriste. Cela justifierait tout. Cultiver les réflexes identitaires, flatter de bas instincts, dans un stade, ça fait froid dans le dos.  Une procédure sur cet attentat court toujours.  L’instruction se poursuit sur la mise en danger d’autrui par violation manifestement délibérée d’une obligation réglementaire de sécurité ou de prudence, homicide et blessures involontaires. Certes, ancien Préfet, ancien Maire, ancien adjoint à la sécurité et Nice sont de simples témoins assistés. Mais le parquet de Marseille a demandé des investigations sur de possibles faux et usages de faux, dont certains pourraient avoir été produits par des personnes dépositaires de l’autorité publique ou en charge d’une mission de service public.  Les éléments accusatoires nouveaux proviennent d’un enregistrement d’un ancien premier adjoint d’Estrosi, passé depuis au RN. Tiens-tiens...  Instrumentalisation du sport, instrumentalisation de la justice, instrumentalisation de la démocratie ? Ou crise de ce monde capitaliste ? Zo, bolegan ! Viva lo cambiament vertadier !

 

 

Retrouvez-la dans

"Le patriote côte d'azur"

Chaque semaine !

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24 octobre 2025 5 24 /10 /octobre /2025 09:00

 

SOPHIE BINET. CGT.

« Il faut que les salariés

puissent intervenir

sur les choix stratégiques

des entreprises »

 

Sur ce lien :

https://www.economie-et-politique.org/2024/10/26/sophie-binet-il-faut-que-les-salaries-puissent-intervenir-sur-les-choix-strategiques-des-entreprises/

 

 

 

Concernant les propositions des économistes communistes

Sur ce lien :

https://www.economie-et-politique.org/

 

Voir du blogueur

Sur ce lien :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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24 octobre 2025 5 24 /10 /octobre /2025 06:56

 

l’achat-vente en unité et identité contradictoire de la force de travail.

La condamnation de Galilée est encore à l’ordre du jour de cette petite « Europe-Commission UE » et nations-UE du XXIème siècle.

 

 

Notre système de production et d’échange en voie de mondialisation en panne, gravement malade, tient sa puissance, sur la personne et les peuples, de l’achat et le vente de la force de travail, l’achat-vente en unité et identité contradictoire de la force de travail.

 

Y compris pour les zones géographiques de progrès, à l’intérieur-extérieur des zones de développement circonscrites ou diffuses, circonscrites-diffuses, comme des zones en régression, la nôtre entre autres.

 

Il n’y a pas de frontières aux contradictions du système ; et les nouvelles zones de développement géographique et internes à la géographie n’ont a pas de frontières à ces contradictions.

 

Cette puissance de l’achat-vente de la force de travail fait qu’il tient, le système, même dans sa crise catastrophique pour lui, les personnes et les peuples.

 

La grande extension du marxisme du XIXème siècle a été superficielle et s’est quasiment éteinte, du moins sous sa forme théorique indispensable à sa forme pratique. Sans l’unité des deux aucune n’existe.

 

La transformation de l’achat-vente de la force de travail n’a pas été mise en œuvre suffisamment pour ne pas dire tellement peu.

 

Le dépassement du taylorisme capitaliste comme du taylorisme du socialisme n’a pas eu lieu. La croissance de l’autonomie relative de la personne et des entités humaines constituées (autogestion) en mouvement n’a pas eu lieu.

 

La transition socialisme-communisme est aléatoire. La causalité de cette transformation est une utopie qui n’a pas rejoint lses capacités anticipatrices possibles; qui n’a pas rejoint le dépassement progressif suffisant de l’achat-vente en unité et identité contradictoire de la force de travail.

 

Le « S’instruire, s’instruire, s’instruire » du 3éme congrès de l’Internationale russifiée n’a pas eu lieu suffisamment ou si peu.

 

La transmission du marxisme quasiment éteinte.

 

Le marxisme peut-il renaitre de ses cendres ? Ce que peut laisser espérer l’existence faible et en progrès d’une économie politique néomarxiste dite de régulation systémique analysant ce qu’est devenu le capital du XXIème siècle et recherchant une transformation radicale et progressive de l’organisation locale et mondiale, locale-mondiale des forces productives.

 

Une organisation où l’homme maîtrise ses techniques et le mouvement des cultures liées en unité à ces techniques, en santé sociale suffisante pour procéder.

 

Le développement de nouvelles, grandes et puissantes zones de développement des forces productiques, leur quantité et leur qualité, quantité-qualité, peine à se frayer un chemin vers cette santé sociale suffisante.

 

La guerre économique et armée qui réduit les coopérations et les cohérences locales et mondiales de la mondialisation, locales-mondiales, est un obstacle majeur auto-engendré et développé par le capital.

 

Le conflit aux frontières de la Fédération de Russie cristallise l’opposition interne et externe de l’évolution des forces productives. Les sanctions démontrent l’incapacité du système de trouver la libération à ce blocage d’une évolution et santé sociale suffisante, à « l‘inertie » relative induite.

 

L’incapacité du capital de comprendre les effets de sa guerre sur lui-même, sur ses intérêts mêmes,  témoigne de son incapacité de comprendre ses propres contradictions et pour le moment, les nôtres en tant que personnes et en tant que peuples.

 

L’U.E. et ses forces matérielles et morales vieillissantes, à l’instar des Etats italiens avancés puis vieillissants économiquement-idéologiquement-internement, de la Renaissance du XVIème, et ses « leaders » d’aujourd’hui repliés sur eux-mêmes, sur leurs dogmes, font preuve de cette incapacité avancée.

 

La condamnation de Galilée est encore à l’ordre du jour de cette petite « Europe » XXIème siècle.

 

24/10/2025 06:12:16.

 

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/10/4eme-de-couverture-de-heresie-et-esperance-quand-meme-resume-au-sens-d-ernst-bloch-et-la-dictature-technologique-du-capital.html

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23 octobre 2025 4 23 /10 /octobre /2025 08:24
Note (1)

 

 

Cryptomonnaies, faillites des banques régionales,

bulle de l’IA… Les signaux d’un krach boursier imminent ?

 

BRUNO ODENT. L’Humanité. Jeudi 23 octobre 2025.

 

 

Bulles spéculatives sur l’intelligence artificielle ou les cryptomonnaies, faillites de banques régionales états-uniennes : les signes de fragilité se multiplient sur les marchés financiers, alors même que se profile la bombe de l’insolvabilité d’une montagne de « crédits privés ».

 

Le contrecoup de la financiarisation de l’économie mondiale, impulsée par les administrations états-uniennes successives comme par la majorité des dirigeants européens, alimente des craintes de plus en plus marquées d’imminence d’un krach à la dimension retentissante.

Le décalage entre les performances de l’économie réelle et celles, toujours plus boostées, de la sphère financière devient intenable. Wall Street, la Bourse de New York, épicentre de ce monde financier, représente aujourd’hui près du double (190 %) du PIB des États-Unis.

Des niveaux record de cours des actions ont été atteints à New York ou à Paris. Le Dow Jones pulvérise les 45 000 points. Et le CAC 40 plane au-dessus des 8 000 points, un peu comme si la valeur des titres boursiers pouvait totalement s’affranchir des aléas de la vie économique et sociale, de la stagnation française et européenne ou des signes de ralentissement de l’activité de plus en plus perceptibles outre-Atlantique.

 

Effet boule de neige

Mais dans l’histoire déjà longue des krachs financiers, l’euphorie précède justement les pires effondrements. En 2007-2008, les paris d’une hausse sans fin des valeurs des crédits immobiliers low cost, dits « subprimes », aux États-Unis ont conduit nombre d’investisseurs à s’endetter massivement pour tirer le maximum de profit de cette opportunité. Avant de s’apercevoir qu’ils ne valaient plus rien.

Ce qui va avoir aussitôt un effet boule de neige sur l’ensemble des marchés financiers et provoquer un séisme économique avec à la clé la pire récession enregistrée après guerre dans le monde occidental. Et une terrible addition présentée aux travailleurs des deux côtés de l’Atlantique comme à ces millions de citoyens états-uniens modestes accédant à la propriété dont le rêve s’écroulait.

Aujourd’hui, des mécanismes analogues sont à l’œuvre. De formidables bulles financières, résultats de la surévaluation des titres de tout un secteur, se sont formées et menacent d’éclater d’un instant à l’autre. L’engouement pour les titres de l’intelligence artificielle atteint ainsi des sommets. La seule capitalisation boursière de Nvidia dépasse les 4 000 milliards de dollars. Du jamais-vu de mémoire de trader. Sauf au tournant des années 2000, où un mouvement du même type en faveur des titres de l’Internet naissant allait provoquer… un krach mémorable.

Sur le même thème

Autre bulle financière, autre symptôme de la fragilité de tout un système : les cryptomonnaies viennent d’enregistrer un redoutable décrochage au lendemain d’une nouvelle annonce de Donald Trump visant à intensifier sa guerre commerciale contre la Chine. Le mécanisme est le même : une frénésie d’achats à grands frais des investisseurs, jusqu’à ce que s’accumulent leurs difficultés à rembourser les emprunts souscrits sur les marchés pour prendre le contrôle de la monnaie numérique dérégulée, source des mégaprofits tant désirés.

Enfin, dernier signal d’alerte retentissant : plusieurs banques régionales états-uniennes qui se sont emparées des dérégulations mises en place pour doper leurs activités viennent de faire faillite, incapables de faire face à une montagne de créances irrécouvrables.

 

Des substituts aux banques

Ces mécaniques sont d’autant plus redoutables que les prêts octroyés aux traders à la recherche de bonnes affaires ne sont plus désormais l’apanage des banques, qui, depuis le krach de 2008 et la retentissante faillite de Lehman Brothers, sont soumises à un minimum de règlements et de contrôles. Mais tout a été fait depuis lors pour libéraliser les marchés afin de permettre à de gros acteurs potentiels de se procurer les fonds désirés aux meilleures conditions.

Ces opérations extra-bancaires sont baptisées « private credit » (crédit privé). À la manœuvre, des supersociétés d’investissement : des fonds de pension, des multinationales. Elles peuvent se substituer aux banques pour prêter des sommes colossales sans intermédiaire.

L’un des experts les plus roués et les plus reconnus du système, James Dimon, chef de la plus grande banque des États-Unis, JPMorgan Chase, vient de mettre les pieds dans le plat lors d’une intervention à Miami au début de ce mois sur la gravité du danger qui se profile. Il reproche aux investisseurs du monde entier leur « sous-estimation systématique des risques ». Et il estime comme très probable d’enregistrer prochainement un krach massif sur les marchés.

Les réactions en chaîne provoquées par défaut du private credit mettraient en péril les équilibres d’entreprises, de fonds de pension, de compagnies d’assurances un peu partout dans le monde et pourraient devenir « un des problèmes les plus dangereux pour l’économie mondiale », précise James Dimon.

 

L’évolution du private credit est spectaculaire. Réduit à moins d’une centaine de milliards d’euros en 2010, il serait l’objet aujourd’hui d’au moins 2 200 milliards de dollars de transactions, selon les chiffres communiqués par la Banque des règlements internationaux (BRI), qui avoue cependant être sans doute bien en dessous de la mesure véritable du phénomène. Car, pointe-t-elle, il n’y a aucune obligation de déclaration pour l’octroi de tels crédits.

Les pourvoyeurs de private credit sont des stars de Wall Street comme Blackstone, Apollo ou Ares, dont les dirigeants sont très perméables à l’approche « libertarienne » des champions les plus ultras du capitalisme états-unien comme Elon Musk ou Peter Thiel, grand maître de la société de big data Palantir Technologies. Sous couvert de lutter contre une bureaucratie dommageable au talent des chefs d’entreprise et à leurs affaires, ils revendiquent de s’asseoir sur la moindre obligation de transparence, ou de garantie bancaire.

Une récente étude du Fonds monétaire international (FMI) souligne l’extrême fragilité de nombre d’utilisateurs du système de private credit : 40 % d’entre eux auraient des rentrées d’argent systématiquement inférieures à leurs dépenses. Le prochain krach est bien en phase d’approche.

 

BRUNO ODENT. L’Humanité. Jeudi 23 octobre 2025.

 

(1) Des niveaux record de cours des actions ont été atteints à New York ou à Paris.

 

Source : https://www.humanite.fr/monde/krach-boursier/cryptomonnaies-faillites-des-banques-regionales-bulle-de-lia-les-signaux-dun-krach-boursier-imminent

https://abonnement.humanite.fr/

 

Du blogueur : https://pierre-assante.over-blog.com/2025/10/4eme-de-couverture-de-heresie-et-esperance-quand-meme-resume-au-sens-d-ernst-bloch-et-la-dictature-technologique-du-capital.html

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22 octobre 2025 3 22 /10 /octobre /2025 07:00

 

CGIL.

Confédération Générale

Italienne du Travail

 

MANIFESTATION NATIONALE

À ROME

LE 25 OCTOBRE 2025

 

POUR CHANGER UNE POLITIQUE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE PROFONDÉMENT INJUSTE ET CONTRE-PRODUCTIVE, SOUTENIR, EN VUE DE LA LOI DE BUDGET 2026, UN AUTRE AGENDA SOCIAL AVEC LES PRIORITÉS SUIVANTES :

 

  • mettre fin à la course aux armements et faire avancer un engagement concret en faveur de la paix
  • Emportez l’argent là où il doit être : profits supplémentaires, bénéfices, loyers, grandes richesses, évasion fiscale et sociale ; arrêtez les impôts forfaitaires, les amnisties, les régularisations et les règlements.
  • financer et investir dans les soins de santé, l'éducation, les politiques en faveur des personnes non autonomes et handicapées, les politiques de logement, les politiques sociales, les transports publics et un plan extraordinaire pour l'emploi dans le secteur public
  • de restituer aux travailleurs et aux retraités le frein fiscal déjà subi, et de neutraliser le futur en indexant sur l'inflation à la fois les tranches et les prélèvements de l'Irpef ainsi que les seuils et les exonérations de l'ISEE
  • Renouveler toutes les conventions collectives publiques et privées pour augmenter le pouvoir d’achat, avec des exonérations fiscales sur les augmentations contractuelles et des pénalités (exclusion des incitations des entreprises) pour les contrats non renouvelés.
  • Salaire minimum légal, loi de représentation, rémunération équitable pour les travailleurs indépendants et les professionnels sans les limitations de la législation en vigueur
  • Protéger la santé et la sécurité au travail ; lutter contre l’emploi précaire, le travail à bas salaire, le travail non déclaré et l’exploitation du travail ; changer le système d’approvisionnement et lutter contre la sous-traitance ; réformer la législation du travail pour donner la priorité à un travail stable, sûr et protégé.
  • revalorisation intégrale des pensions, renforcement et prolongation du quatorzième salaire ;
  • Dépasser la loi Fornero ; introduire une pension contributive garantie pour les jeunes, les personnes ayant des contrats précaires et intermittents ; assurer la reconnaissance des emplois pénibles, physiquement exigeants et liés aux soins ; geler l’augmentation automatique de trois mois de l’âge de la retraite prévue pour 2027 ; égaliser les conditions d’accès aux indemnités de départ (TFR/TFS) et revoir les baisses des taux de performance des employés du secteur public.
  • Modifier la législation sur l’immigration, en commençant par l’abolition de la loi Bossi-Fini ; garantir la certitude des droits d’entrée à des fins de travail ; mettre en œuvre des processus d’intégration efficaces et une pleine participation grâce aux droits de citoyenneté ;
  • investissements et politiques industrielles pour les secteurs manufacturier, tertiaire et des services afin de lutter contre les délocalisations, de protéger l'emploi (notamment par des amortisseurs universels tels que le modèle Sure et l'interdiction des licenciements), de créer de nouveaux emplois de qualité et de réaliser la transition énergétique, environnementale et technologique du système productif
  • investissements, infrastructures et une véritable stratégie de développement pour le Sud

 

CONTINUER SUR LA VOIE SUIVIE PAR LE GOUVERNEMENT AGGRAVERA LES CONDITIONS MATÉRIELLES DE VIE ET ​​DE TRAVAIL DE L’IMMENSE MAJORITÉ DE LA POPULATION – À COMMENCER PAR LES TRAVAILLEURS, LES RETRAITÉS, LES JEUNES ET LES FEMMES – ET CONDUIRA À LA DESTRUCTION DE NOTRE PAYS.

MOBILISONS-NOUS POUR LA PAIX, LA DÉMOCRATIE, LE TRAVAIL, POUR PARVENIR À UN AUTRE MODÈLE DE DÉVELOPPEMENT SOCIALEMENT ET ENVIRONNEMENTAL DURABLE

 

Il s 'agit là d'une traduction automatique comportant des erreurs. Le texte original en italien :

https://www.cgil.it/campagne-e-iniziative/democrazia-al-lavoro-piattaforma-manifestazione-nazionale-25-ottobre-2025-ehx6ltea

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20 octobre 2025 1 20 /10 /octobre /2025 22:44

 

4éme DE COUVERTURE de "HERESIE et ESPERANCE quand même" (1)

 

 

« Résumé » au sens d’Ernst Bloch, 

et « La dictature technologique du capital »

 

Dans mes quelques 5000 pages comme celles-ci, beaucoup de répétitions utiles, d’erreurs sans doute, beaucoup de choses banales si ce n’est l’énoncé de grandes avancées, de découvertes fondamentales de chercheurs « marxistes » ou issus historiquement, objectivement-subjectivement, volontairement ou pas, de ce grand mouvement de pensée, d’une industrialisation mécanisée puis numérique automatisée issue elle-même du long processus multimillénaire du travail.

Grand mouvement de pensée étouffé par le système et ses hommes. « E pur si muove ! » 

Enoncé de grandes avancées dans la recherche de sortie de crise systémique, grandes avancées à faire connaitre et ostracisées; ostracisées dans et par un mode de pensée archaïque issu d’un mode de production et d’échange « moderne-obsolète ».

Des quelques 5000 pages comme celles-ci, quelques choses moins banales, dont voici non un bref résumé, mais quelques extraits intéressants, peut-être, je crois, j’espère, et des moments non superficiels du quotidien…

Quelques choses liant justement mode de pensée, mode de production et critique du mode production et de pensée, pour permettre la poursuite du processus d’humanisation,  possiblement infini, dans cette espèce pensante et la nature, cette espèce et ses suites possibles, processus continu « relatif » et par sauts « quantiques », les uns dans l’autre.

La dictature technologique du capital est la réponse sociale (et anti-sociale en unité), de longue date à notre « niveau de temps », au Manifeste du parti communiste de 1848.

Elle s’est affinée, renforcée et fait dire à un « grand » représentant du capital : « la lutte des classes existe et nous l’avons gagnée ».

N’empêche que la protestation salariale ne faiblit pas mais son talon d’Achille est sa faiblesse idéologique, le rapport insuffisant entre son état de dépendance du système, de la vente de sa force de travail et l’état de conscience d’un processus qui pourrait l’en libérer.

La dictature technologique du capital n’a pas débuté avec l’informationnalisation numérique, mais avec, 1) économiquement le taylorisme, le fordisme, la chaîne de production de Chaplin et 2) idéologiquement la radio, la télé, les médias électroniques, et 3) le tout aggravant au paroxysme la division de classe du travail, sa parcellisation, l’éclatement de la conscience du rapport entre travail et besoins sociaux.

La forme technologique informationnalisée numériquement en est l’aboutissement et elle est aussi la condition de la guerre de longue durée accompagnant « en miroir » physique, concret, la crise de longue durée de suraccumulation-dévalorisation du capital.

La maîtrise par le capital des réseaux mondiaux à domination US, du semi-conducteur au computer, à leur mise en réseau dans les GAFAM constituent la base actuelle de sa domination économico-religieuse sociale nouvelle.

Economie et idéologie forment un même mouvement dialectique de divers mouvements de la société, dont celui du salariat inclus en tant que force contradictoire dont la croissance qualitative est empêchée.

Contradiction entre capital et salariat dominé et technique limitée de la chaîne de production numérisée-automatisée tient au système lui-même, au capitalisme monopoliste mondialisé numériquement informationnalisé globalement financiarisé.

C’est bien cette contradiction qui met en danger le processus d’humanisation continue et quantique en unité, sans lequel l’existence de notre espèce elle-même est mise en danger.

Est-il important que cette espèce soit mise en danger ? Certes oui, elle est la croissance-complexification-condensification de la conscience de la nature sur elle-même et c’est la nôtre, au quotidien et au futur possible, pour qui a quelque peu l’instinct naturel de survie.

Aucune technique ne peut remplacer l’homme en tant que créateur de techniques, du travail et de l’invention, sur lequel repose le processus d’humanisation, de conscience de la nature sur elle-même, de son processus que nous constituons en part unie.

Je dédie immodestement cette réflexion à Giordano Bruno, qui pensait, au moment où l’Eglise condamnait Galilée et sa vision du système solaire, et mettait au bucher Giordano lui-même, qu’une multitude infinie de systèmes solaires existent dans l’univers.

 

ITE MISSA EST !  19/01/2024 05:32:30.

 

Ceci est la  4ème de couverture de

HERESIE et ESPERANCE quand même de mai 2024-octobre 2025, extraite du recueil de 2023 « CONSCIENCE DE LA CONSCIENCE »:

http://pierre-assante.over-blog.com/2023/11/conscience-de-la-conscience.les-4-points-ensemble.html

 

 

(1) Sur ce lien :

https://pierre-assante.over-blog.com/2025/06/heresie-et-esperance-quand-meme.html

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20 octobre 2025 1 20 /10 /octobre /2025 14:35

 

Nier le déterminisme n’est pas suffisant.

 

Nier le déterminisme n’est pas suffisant.

 

La négation de la négation (Aufhebung de Hegel-Marx) du déterminisme est attendue dans le mouvement de santé sociale suffisante pour procéder et se transformer cosmiquement,  transformer en santé suffisante la société humaine.

 

Ni le déterminisme « pur », ni la causalité « pure », ni l’aléatoire « pur » n’existent.

Il s’agit du mouvement en unité, un seul et unique mouvement et ses particularités en unité de même,  unité-contradiction des particules spatiotemporelles physiques-chimiques-biologiques infinies :

 

Vous imaginez des choses diverses être à la fois d’autres choses et une même chose ? Si non, c’est à mon sens une erreur, une négation menaçante à l’infini de la santé et sa positivité à rétablir dans le non équilibre suffisant-non symétrie suffisante (la symétrie et l'équilibre sont l'inexistant); une erreur dont les conséquences se vivent au quotidien et au futur (passé-présent-futur en unité d’intrication et de conséquence) sur la santé non-suffisante et la santé à poursuivre, de la personne dans celle de la société en rapport avec le mouvement, le processus naturel local/global cosmique, déterministe-causal-aléatoire corpusculaire dans son infinité spatiotemporelle ; et le processus de la conscience de la nature sur elle-même dont la croyance en un créateur unique et sauveur de la santé sociale est la contradiction à surmonter, dépasser, sachant que les deux concepts-conceptions-catégories forment une unité et une identité des contraires, la seconde (croyance en un créateur unique et sauveur, contradiction première) devant se réduire dans la contradiction d’ensemble, dans une nouvelle contradiction en meilleure santé cosmique : croissance de la complexification-condensification, réorganisation continue-discrète-infinie, quantique.

 

Peut-être une négation menaçante à l’infini de la santé et sa positivité à rétablir dans le non équilibre suffisant-non symétrie suffisante pour le cosmos et ses propriétés très partiellement et relativement connus dans l’univers énigmatique : situation humaine à évaluer sans cesse dans la course quotidienne au progrès-santé, de l’humanisation du galet aménagé de l’homo habilis à la chaîne de production industrielle numérique,  automatisée pour la libération humaine des autres tâches humaines, nouvelles et héritées, héritées-nouvelles, et l’organisation horizontale-verticale sociale qui la permet et la transforme en une autre organisation sociale cosmiquement supérieure en santé temporellement suffisante et sans cesse insuffisante à dépasser à l’infini.

 

Dur à lire ? Mais non, un peu plus d’attention suffit.

 

Rappel de base : la tâche du moment, quotidienne et de ce siècle, dans la transformation cosmique en santé suffisante est celle du mode de production et d’échange, et sa crise générale mondiale, terrestre, de suraccumulation-dévalorisation du capital dont l’école néomarxiste de régulation systémique forme un des outils avancés, avançant j’espère.

 

Le « temps libre », que le capital a « accordé » en fonction de besoins contradictoires de système et de marché, système-marché,  de l’action sociale, économique, ergologique, syndicale et politique de progrès, est lui-même aliéné. Cette contradiction d’ordre physico-psychique est essentielle ; sa connaissance pour transformer essentielle aussi.

 

Pour Salvien de Marseille, revisité, Lundi 19/10/2025 20:52:32.

 

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ECONOMIE & POLITIQUE.

Numéro 854-855

(septembre-octobre 2025)

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