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Les résultats de l’I.A. qui sont les nôtres, marchent sur la tête et sont à remettre sur pied. L’I.A., révolution technologique et culturelle SANS révolution sociale progressiste y répondant est fécond d’un fascisme nouveau, « moderne ». Le social antisocial ne peut survivre, est une survie en sursis. Comprendre ce à quoi on s’oppose est nécessaire à la compréhension de COMMENT s’y opposer opérationnellement, efficacement, causalement.
Humains et mode de production et d’échange ne font qu’un, ce qui ne veut pas dire qu’ils constituent un blog unique et immobile, mais évoluent ensemble, et ne se libèrent ensemble que dans une dénormalisation-renormalisation globale processuelle et ses dénormalisations-renormalisations micros qui l’induisent ou pas. C’est la transformation quantitative-qualitative.
C’est la propriété (qualité) sociale et naturelle de la causalité et de l’aléatoire, en unité de fonction, l’aléatoire étant contenu dans l’infini de la dimension particulaire de la matière.
Le « ou pas » c’est ce que contient le pouvoir d’Etat actuel et toutes ses fonctions politiques qui subsument toutes les fonctions économiques et sociales, matérielles et morales, reposant sur le cycle social d’accumulation capitaliste, sa crise mondialisée de suraccumulation et de devalorisation du capital, maladie génétique originaire parvenant à un développement extrême.
2. L’I.A. capitaliste , ce n’est ni une révolution de la conscience ni de l’intelligence. Ce n’est pas une intelligence, mais une technique dont l’intelligence use. La numérisation capitaliste contient les limites de son développement, et de ses capacités, de sa force de développement. Elle est à le fois le dévelopement actuel et la force contraire de la création qui a développé l’humanisation, la production-travail-pensée, le « lit de Platon » étendu à la création sociale particulière et générale.
On ne peut comprendre cela sans avoir admis l’identité des forces contraires, qui jouent l’une sur l’autre en unité de mouvement. L’observation superficielle, à l’instar de celle de « la marche du soleil » semble nous montrer l’inverse. L'usage capitaliste de l'I.A. est facteur de décomplexification relative, déconcentration de la complexification motrice, condensification négative.
Comprendre ce à quoi on s’oppose est nécessaire à la compréhension de COMMENT s’y opposer opérationnellement, efficacement, causalement.
3. L’I.A., révolution technologique et culturelle SANS révolution sociale progressiste y répondant est fécond d’un fascisme nouveau, « moderne ». Les contradictions du système économique et social sont la force qui met (unité et diversité de la nature, donc de la société et unité du continu et du quantique de même) en difficulté et est la difficulté de l’usage progressiste de cette technologie ; et la retournent contre lui-même (le système) et contre les humains par la même occasion.
Ainsi se vérifie l’analyse de Gramsci dans sa prison, issue de l’expérience mussolinienne : Une révolution scientifique et technique non accompagnée d’une transformation qualitative sociale et fascisme vont de pair.
4. A tous les aspects critiques de la description de l’état social, il faut y adjoindre, pour ce qui est de notre période historique le qualificatif de « capitaliste », même si elle contient bien sûr les strates des développements précédents, aléatoires et causaux et possibles futurs aléatoires et causaux.
Ne nous laissons pas impressionner par les résultats de l’I.A., ce sont les nôtres qui marchent sur la tête et à remettre sur pied.
Le social antisocial ne peut survivre, est une survie en sursis.
Le criticisme dénonce, critique, mais détourne l’action humaine des solutions qui permettraient au processus d’humanisation de recouvrer une santé sociale de plus en plus précaire.
Précaire dans les rapports avec la nature, précaire dans les rapports avec elle-même, de l’homme avec lui-même.
Le criticisme, jumeau du structuralisme, de par sa nature de classe capitaliste dominante pillant la société, constitue une critique elle-même inévitablement erronée.
Le criticisme va chercher des « combinaisons salvatrices politiques, économiques, morales, psychiques » remèdes pires que le mal.
Nous vivons la dégradation de la santé sociale et l’observant, médias en tête, comme si elle ne nous concerne que lorsqu’elle nous touche directement, ce qui se produit de plus en plus (1).
Le criticisme pousse à se replier sur soi-même plutôt qu’agir en santé.
Le criticisme détruit le réel vivable et viable et la représentation du réel qui ne nous permet plus de développer, dans la nécessité vivable et viable, un réel vivable et viable.
Les 11 thèses sur Feuerbach (2) ont été une révolution vivable et viable de la représentation d’un réel vivable et viable.
La critique du programme de Gotha de même.
Les unes et l’autre ont rapidement été combattues et étouffées dans leurs recherches de transformation en santé sociale des rapports sociaux.
L’économie néomarxiste de régulation systémique - la SEF, la révolution monétaire locale et mondiale, les nouveaux droits du travail-, peine incroyablement à faire entendre ses remèdes à la crise économique de société, son processus déjà séculaire et son impact sur le viable et le vivable.
L’ergologie-analyse pluridisciplinaire des situations de travail-, sans laquelle la transformation économique, prise de pouvoir et mise en œuvre de l’organisation en santé sociale, de l’organisation du travail et de la production qu’il permet, peine incroyablement de même.
La chimie et son taux de profit contre la diversité biologie est le témoin du bâtiment humanité qui se fissure, de la fondation au sommet.
Je ne dis pas ça pour décourager, mais pour alerter plus que ne le fait pas le criticisme.
Pour Salvien. 17/12/2024 08:09:14.
(1) Il ne suffit pas de remonter à l’important héritage grec. Le néolithique et Sumer sont nécessaires à la com-préhension du processus d’accumulation tel qu’il s’est produit tel qu’il en est arrivé à l’actuelle accumulation du C.M.M.n.İ.g.F. (Articles précédents *). Les thèses de Charles Parain sur le mode production asiatique tranchent sur la conception linéaire simplificatrice et dogmatique du stalinisme et ses conséquences dans les mouvements ouvriers nationaux et international.
La raison principale de la conférence nationale du PCF était d’analyser les causes de l’échec de notre parti aux élections européennes et le recul aux élections législatives et, bien sûr, de se projeter sur la suite.
Très peu d’interventions ont porté sur les causes de l’échec et celles-ci n’ont pas été débattues. Toutefois, le texte proposé à la discussion des délégués à la conférence, mais juste quelques jours avant, incluait l’insertion de quelques mots-symboles (comme « socialisme » ou « impérialisme ») sans effet autre que de rassurer, et quelques critiques implicites, bien que très limitées : porter notre projet, changer notre communication. Voir l’ensemble des amendements que nous avons proposés (1)
Pourtant les communistes avaient mis en avant plusieurs choses dans le débat et dans la tribune de discussion qui avait été ouverte :
– Contenu de la campagne des élections européennes, en décalage avec ce qui a été adopté et ne portant pas notre projet européen
– Porter notre projet de société dans nos interventions publiques
– Importance des propositions économiques pour l’identification du projet communiste
– Aller dans le sens de nos deux précédents congrès, au lieu de leur tourner le dos, une fois les textes adoptés
Un certain nombre d’amendements ont été pris en compte sans qu’ils soient discutés en séance.
Le seul point pour lequel il y a eu discussion et vote en séance a été la stratégie vis à vis du NFP (Nouveau Front populaire). Deux amendements présentés, l’un par Jean-Noël Acqua, puis l’autre par Nathalie Simonnet, ont eu le droit d’être débattus et défendus par des interventions complémentaires (une « pour » et une « contre » sur chaque amendement). Ils ont été rejetés chacun par plus de 70 % des conférenciers. Tout en demandant de développer l’unité, ils se situaient dans la perspective de soumettre l’ensemble de notre activité à la présidentielle, et sans bataille communiste autonome.
Un troisième amendement a été présenté par Frédéric Boccara (2) . Il a été refusé qu’il donne lieu à débat et interventions complémentaires (pour/contre).
Sur le NFP, il proposait de « tenir les deux bouts » : projet communiste et unité, luttes et institutions-élections, avec l’idée d’une « nouvelle étape du NFP » récusant l’accord législatif du NFP tout en insistant sur le besoin de mener le débat à gauche et avec les citoyen.ne.s, d’élargir le socle du rassemblement, tout en s’adressant à ce peuple du NFP pour favoriser l’intervention populaire. Il a obtenu 44 % des votes exprimés (hors les 31 abstentions), tandis que le maintien du texte n’obtenait que 52 % des votes, si l’on tient compte des abstentions.
44 % des votes en faveur de ce que nous avons porté, c’est très important et témoigne pour le moins des interrogations des communistes. Cela veut probablement dire que les idées que nous défendions dans cet amendement sont majoritaires à la base.
À savoir, l’idée de ne pas jeter le NFP, tout en impulsant une nouvelle étape, avec l’affirmation autonome du PCF — et de ses idées, de son projet ! Il est de la responsabilité du noyau dirigeant d’en tenir compte dans les prochains mois !
Mais le choix d’une communication officielle ne portant que sur le vote du texte final et donc de présenter la conférence nationale comme un moment de plébiscite pour des orientations prises au fur et à mesure depuis le 39ème congrès, sans que la conférence nationale ait permis un véritable retour critique sur la distance qui a été prise par rapport au 39ème congrès. Les débats sont omis, tus. La mise en scène d’une sorte de bipolarisation des positions dans le parti (en cherchant à tout ramener à une position pour ou contre le secrétaire national, alors qu’il s’agit de contenu) permet d’éviter un certain nombre de débats de fond, mais ce n’est pas sain.
S’il est certain que les communistes ne veulent pas d’un retour aux errements passés, il n’en est pas moins patent qu’ils s’interrogent sur la stratégie, sur le positionnement et sur l’effacement du parti : le sigle PCF a ré-apparu dans les médias et les consciences, mais, outre les punch lines parfois perturbantes pour nombre de camarades, que fait le PCF pour promouvoir son projet et ses idées qui continuent à être effacés ? Il faudra bien que les bouches continuent à s’ouvrir. Une novation réelle du PCF, des idées qu’il porte est nécessaire. Les éléments en sont disponibles.
Une feuille de route sur des axes prioritaires d’action est proposée, c’était nécessaire et attendu. Mais comment pourront-ils se déployer efficacement sans que soient levés les obstacles sur le fond ? La campagne emploi-formation pour l’industrie et les services publics en est un exemple : il faut l’aborder tout autrement que comme un support thématique de communication, car l’enjeu est de prendre appui sur les capacités créatives des luttes, les concertations et construire les convergences, les mobilisations autour de propositions politiques, qu’il s’agit de rendre communes, aux niveaux régional ou national, voire européen, des propositions porteuses de sens, s’attaquant au pouvoir et à la logique du capital en lien avec les questions de l’austérité, du budget qui taraudent notre peuple et de la récession qui arrive avec son cortège de suppressions d’emplois et de fermetures d’entreprises.
(1)Liste des amendement que nous avons proposé
Amendement 1 – page 1 tout au début avant la ligne 4
« Nous sommes opposés de façon déterminée à la continuation de la politique menée par Emmanuel Macron et à l’austérité quelle que soit la forme qu’elle prendrait. Nous voulons un changement profond, c’est ce dont notre peuple, la France et l’Europe ont besoin, et cela contribuera à un autre monde, de paix, de coopération, d’émancipation humaine et de préservation du vivant. Nous nous y emploierons avec notre originalité et avec toute la gauche, avec le mouvement social, associatif et syndical. »
Amendement 2 – Page 1 Ligne 4 aussi
Insérer ce paragraphe
« Notre faible résultat aux élections européennes, et en chaîne celui des législatives ayant entraîné une réduction de la représentation parlementaire du PCF, est préoccupant. C’est cela qui, avec la montée électorale inédite de l’extrême-droite, a conduit la direction nationale à décider d’une conférence nationale afin d’analyser la situation et d’en tirer tous les enseignements pour notre fonctionnement et nos choix à venir. Ce résultat doit nous amener à nous ressaisir sur l’identification du parti et de son projet, après une campagne des européennes, en décalage avec notre projet internationaliste, ainsi qu’avec nos orientations de congrès et les décisions de notre conférence européenne. Il doit nous interroger sur l’importance de mesures phares, porteuses de sens, dans nos interventions nationales et à porter dans les luttes. Un ressaisissement de notre direction nationale, de notre communication, une réorientation en phase avec notre 39ème congrès sont nécessaires. »
Et poursuivre ainsi
« Se tenant un an et demi après leur 39ème congrès cette conférence est l’occasion pour les communistes de faire un bilan d’étape alors que nous assistons à un dangereux Réunis en conférence nationale un an et demi après leur 39e Congrès, les communistes alertent sur le développement des guerres et à une nouvelle phase de la »
Amendement 3 page 2 ligne 38
Avant « Les agences de notation » insérer « l’impérialisme etatsunien, le dollar, la Banque centrale européenne, le grand patronat »
Amendement 4 page 3 ligne 3
A la place de « l’instabilité politique sans précédent depuis les origines de la 5ème République » mettre « l’austérité sans précédent depuis les origines de la 5ème République ».
Amendement 5 page 3 lignes 22 et 49
A la place de « de la classe travailleuse » mettre « du monde du travail »
Amendement 6
Page 3, ligne 23
Avant « Parmi les visions » insérer « Le programme du NFP porte des objectifs sociaux et écologiques qui font écho aux attentes populaires et expliquent le soutien qu’il a reçu de la part du mouvement social et associatif, mais reste insuffisant sur les mesures qui des divergences de projet qui ne lui permettent pas d’affronter efficacement la domination du capital ».
Amendement 7 page 3 après la ligne 40 insérer le paragraphe :
« Pour l’élargir, renforcer ses contenus, parce qu’il a porté un immense espoir et un sursaut admirable de notre peuple et parce qu’il rassemble l’ensemble des forces de gauche en les ancrant sur un programme qui peut permettre d’enclencher des changements profonds, parce qu’il rassemble plusieurs organisations syndicales, mais aussi parce que l’accord électoral de répartition des circonscriptions est inéquitable à notre égard et inefficient au regard des réalités politiques de terrain, nous pensons qu’il faut aller vers une « nouvelle étape du NFP ». Il nous revient en tant que PCF fort de notre projet et de nos propositions de porter partout l’exigence d’une nouvelle étape du rassemblement à partir d’un débat public, ouvert et contradictoire entre forces de gauche sur les contenus d’une transformation radicale qui réussisse, un rassemblement qui favorise l’intervention populaire la plus large possible. »
Amendement 8 page 3 lignes 22 et 49
A la place de « Classe travailleuse » mettre « les travailleurs et travailleuses dans leur diversité »
Amendement 9 page 3 ligne 32
Insérer ainsi (en rouge) :
« Si notre parti a gagné en visibilité nationale, nos idées, notre projet et nos propositions restent largement méconnues, peu portées dans nos interventions médiatiques et nos résultats demeurent insatisfaisants. »
Amendement 10 Page 4 ligne 33
Insérer un 4ème atout
• Des idées originales et un projet émancipateur, non seulement exigeant et cohérent quant aux moyens financiers nouveaux à mobiliser (banques, entreprises, aides publiques, Banque centrale), aux changements dans le travail, la production et aux pouvoirs et institutions nouvelles à créer, écologiste mais aussi internationaliste, porteur de solidarité et de coopération pour un monde de partage et de co-développement. Un projet reposant sur l’intervention constante et consciente de toutes et tous les intéress.e.s, reposant sur la démocratie.
Amendement 11 page 5 ligne 44
Insérer « pour l’emploi et la formation » après « campagne nationale » et retirer « développement de l’emploi et de la formation » plus bas
Amendement 12 page 7 ligne 14
7. « Développer Réorienter la communication du parti à tous les niveaux pour faire apparaître notre projet, nos propositions phares, élever le niveau de conscience de »
et retirer « développement de l’emploi et de la formation » plus bas
Amendement 13 page 8 ligne 17
A la place de « notre projet de société qui s’attaque au coût du capital et place la paix au cœur de relations internationales »
Mettre « notre projet de société qui s’attaque à la domination du capital (ses pouvoirs, son coût, sa logique) et place la paix et la coopération au cœur des relations internationales »
Amendement 14 page 8 ligne 43
Insérer
« Nous organiserons dès le premier trimestre une conférence sur le financement des retraites, sur la base de nos propositions pour une réforme de progrès social, avec une bonne retraite à 60 ans, afin de renforcer le mouvement social et porter le fer ensemble sur cette question majeure »
(2)Texte de l’amendement portant sur le NPF:
« Pour l’élargir, renforcer ses contenus, parce qu’il a porté un immense espoir et un sursaut admirable de notre peuple et parce qu’il rassemble l’ensemble des forces de gauche en les ancrant sur un programme qui peut permettre d’enclencher des changements profonds, parce qu’il rassemble plusieurs organisations syndicales, mais aussi parce que l’accord électoral de répartition des circonscriptions est inéquitable à notre égard et inefficient au regard des réalités politiques de terrain, nous pensons qu’il faut aller vers une « nouvelle étape du NFP ». Il nous revient en tant que PCF fort de notre projet et de nos propositions de porter partout l’exigence d’une nouvelle étape du rassemblement à partir d’un débat public, ouvert et contradictoire entre forces de gauche sur les contenus d’une transformation radicale qui réussisse, un rassemblement qui favorise l’intervention populaire la plus large possible. »
Texte adopté par la conférence du 14 décembre 2024.
P.S. Le savoir est à la fois savoir relatif et croyance, utopie opérationnelle utile, anticipatrice de santé naturelle et sociale suffisante, ce n'est pas grave...
Indépendance jamais (ça n'existe pas). Autonomie relative toujours
La grande autonomie relative, c'est ce qu'on appelle à tort indépendance. Unité et diversité infinie.
Le réel est le réel
Il existe et nous en sommes partie organique autonomement relativement (premier adverbe qualifiant le premier), de nos perceptions, de nos-sa représentation, de notre com-science sociale : production-travail-pensée
Consapevolezza dialectique et historique avancée en processus continu et sauts quantiques en unité de mouvements dans le mouvement général, global, cosmique, matériel, et de leurs forces contraires, de leurs abolition-dépassement (Aufhebung)
Pierre Assante. Pour Salvien. 17/01/2025 06:11:27.
P.S.1. à..... : Friot & Cie nous assène dans "L'Huma" d'aujourd'hui son "communisme" esthétique. C'est ainsi que je le qualifie personnellement...
P.S. 2. L'Empire en se préservant détruit l'humanité, la Planète. Jusqu'à quel point pourra-t-il se préserver ? Jusqu'à quel point empêchera-t-il d'apporter remède aux dégâts de son système, remèdes de l'économie marxiste de régulationsystémique et d'analyse pluridisciplinaire des situations de travail ?
P.S.3. Que restera-t-il des palestiniens dans cette destruction généralisé à l'instar de ce qu'il reste des amérindiens et pire ?
P.S.4. Quelle accusation stupide d'injustice réelle face à la destruction par l'Empire de nations entières, et des plus grandes parmi les résistances nationaliste erronées.
P.S.4. bis. Jusqu'à quand et jusqu'où seront acceptées les suzerainetés à l'Empire pour apporter enfin une réponse conjointe extérieure et intérieure à l'Empire.
P.S.5. La signature "Pour Salvien" (Vème siècle) n'a jamais été autant d'actualité.
La motivation ne dépend pas QUE de soi mais du système et de son état
Nous avons besoin des absurdités de fin de système
Et
Du rassemblement des incompréhensions qu'elles contiennent
C’est ce que. Qui se produit à l’instant dans les Etats
16/01/2025 05:20:39.
1. COMMUNISME DE GUERRE et REPRODUCTION SOCIALE à PARTIR DES BESOINS EUX-MEMES. docs.
Pour Salvien. Reprise du 16/09/2023 08:33:47.
Le capital fait tout, et il en a les moyens, pour empêcher que n’éclosent les conditions subjectives de son dépassement, alors que les conditions objectives existent.
Les conditions objectives, c’est une capacité productrice, le passage du productivisme au productricisme suffisant pour réduire suffisamment, progressivement et rapidement le travail contraint au travail (vente de sa force), à la formation et à la transmission CHOISIE(S).
Le travail et les conditions de son exercice et de l’activité humaines dans toutes ses composantes et ses formes seraient libérées de l’aliénation du produit et des gestes de la production du produit (Matériel et moral en unité): c’est une libération qui « décuplerait » les capacités de création, d’invention issues du travail, du galet aménagé à la production automatisée et numérisée, qui procéderait à une « sortie de préhistoire » de la production et de l’humanisation.
Vive l’Humanité ! L’humanité à laquelle mon travail, dans le travail de tous, survivrait après nous.
La création physique et mentale du « lit de Platon » (Articles précédents) de la création des « objets tangibles » et des « objets mentaux » en unité et de la création de l’organisation sociale par « extension » de ces capacités, c’est aussi, ne pas l’oublier, l’intervention « artisanale » humaine dans le processus de cybernétisation et d’automatisation de la production et de l’échange.
C’est quoi passer du productivisme au productricisme ? : C’est réduire progressivement et rapidement la mesure de valeur marchande, de mesure de l’échange capitaliste et accumulation capitaliste, à l’échange travail-valeurs d’usage sur la base des besoins sociaux : croissance des valeurs sans dimension dans lesquelles se révèlent la complexité cachée des produits, de leur production et du besoin d’affinement de leur connaissance à partir des besoins simples et complexes, multiples et en rapports dialectiques.
Le développement des besoins non à partir des lois d’échange du cycle de reproduction du capital en tant que reproduction sociale aliénée, MAIS À PARTIR D’EUX-MÊMES, c’est le communisme, la cohérence relative possible et la coopération humaine libre(S), la démocratie de l’homme producteur, du « que, quoi et comment produire » -Berlinguer).
MAIS (bis) le capital fait tout, et il en a les moyens, pour empêcher que n’éclosent les conditions subjectives de son dépassement, alors que les conditions objectives existeraient.
C’est donc DANS DES CONDITIONS D’ÉPUISEMENT PROFOND DU capitalisme que pourraient naître les conditions SUBJECTIVES. C'est-à-dire dans une transition rapide à venir dans une extrémité de crise de suraccumulation-dévalorisation du capital, sorte de communisme de guerre sans guerre ni mesures policières de l’essai initial et grossier, mais dans le « simple » besoin impérieux de survie.
Communisme de guerre dans DES CONDITIONS D‘ÉTAT AVANCÉ DES FORCE PRODUCTIVES, un peu comme renaît une production en partie détruite mais avec les acquis techniques du niveau de développement nouveau acquis et leur productivité.
Le passage de conditions -de transformation qualitative- progressives à une transition rapide imposée ne remet pas en cause l’analyse et les propositions de l’école d’économie marxiste de régulation systémique ni l’analyse anthroponomique systémique, des interactions et des régénérations parentales, travail, politique, informationnel, mais les confirment.
Cela donne toute leur force aux concepts ergologiques -affirmation non maniacale mais de conviction de ma part-, au DD3P, la double anticipation, la désadhérence conceptuelle, la dénormalisation-renormalisation, les réserves d’alternative, etc. et au contraire permettrait d’accélérer les processus dans le processus global, et la complexification-condensification des processus micros dans les processus macros de sortie de préhistoire de l’humanisation.
Communisme primitif de clan et communisme démocratique développé de numérisation et d’automatisation NE SONT PAS SI ÉLOIGNÉS QUE ÇA et la transformation qualitative « a dû passer », prospectivement, par la société marchande jusqu’à son paroxysme du capitalisme mondialisé et financiarisé pour entrer dans une mondialisation en santé suffisante pour procéder : pour poursuivre le processus d’humanisation dans un nouveau bon qualitatif.
Je ne développe pas plus pour ne pas noyer un peu plus la réflexion aléatoire mais en recherche causale de fond dans un développement-empaquetage qui voile l’essentiel.
En fait j’essaie de poursuivre « 1844 », sans prétention aucune j’espère, mais par espoir (délirant ?) de transformation en santé de notre vécu progressivement invivable et inviable et potentiellement dangereux.
Essai absurde et inutile ou réflexion féconde ? Ma foi ….
Pour Salvien. 16/09/2023 08:33:47.
P.S. Les apparences laissent à penser, comme l'illusion de la rotation du soleil autour de la terre, que la philosophie, le matérialisme dialectique en processus, non dogmatique, emplit le frigo et les économistes marxistes font le repas, mais c'est le contraire. 13/01/2025 19:01.
2. communisme de guerre, HISTORIQUEMENT
Finalement un communisme de guerre n’est pas un communisme, mais un processus particulier du dépassement de l’achat-vente de la force du travail où la crise du capital à son paroxysme entrainerait, par hypothèse, une priorité plus forte et pressante sur le salaire différé et le service public.
Dans l’emploi et la formation, leur unité organique et leur inégalité de développement et de besoin.
Ce qui est finalement le propre du communisme et de l’accord entre besoins sociaux, production et travail libéré de l’aliénation de ses produits et de ses gestes de production..
« …l’économie politique a révélé à Marx que l’aliénation de l’homme est concrète, qu’elle a son origine dans le travail et l’échange… » Emile Bottigelli, présentation des Manuscrits de 1844.
Plus la crise d’un système de production s’accentue, plus l’inégalité de développement entre conditions objectives et subjectives de transformation sociale se creuse et les forces productives sont relativement et historiquement arriérées, quels que soient leurs progrès techniques et organisationnels.
Ce qui était valable historiquement dans l’arriération relative paysanne, économique et tsariste l’est dans le C.M.M.n.İ.g.F., historiquement de même.
Le « communisme de guerre » semble finalement le plus probable dans le paroxysme de la crise du capitalisme mondialisé-financiarisé et les pénuries relative qu’il entraîne. Mais rien n’est écrit dans le causal et l’aléatoire, l’énigmatique « corpusculaire fine » non à notre portée dans laquelle réside l’aléatoire temporel, par hypothèse.
Les dix notes de travail rédigées par Yves Dimicoli
Maintenant que la Chine a repris son rang de grande puissance économique et politique, il est devenu évident que les changements qui sont en train de se produire dans cet immense pays, et dans les relations qu’il entretient avec le reste du monde, auront des conséquences majeures pour toute l’humanité.
Les dix notes de travail rédigées par Yves Dimicoli sur ce sujet veulent amorcer une réflexion collective sur ce sujet. Les commentaires qu’elles pourront inspirer viendront enrichir ce dossier.
Finalement un communisme de guerre n’est pas un communisme, mais un processus particulier du dépassement de l’achat-vente de la force du travail où la crise du capital à son paroxysme entrainerait, par hypothèse, une priorité plus forte et pressante sur le salaire différé et le service public.
Dans l’emploi et la formation, leur unité organique et leur inégalité de développement et de besoin.
Ce qui est finalement le propre du communisme et de l’accord entre besoins sociaux, production et travail libéré de l’aliénation de ses produits et de ses gestes de production..
« …l’économie politique a révélé à Marx que l’aliénation de l’homme est concrète, qu’elle a son origine dans le travail et l’échange… » Emile Bottigelli, présentation des Manuscrits de 1844.
Plus la crise d’un système de production s’accentue, plus l’inégalité de développement entre conditions objectives et subjectives de transformation sociale se creuse et les forces productives sont relativement et historiquement arriérées, quels que soient leurs progrès techniques et organisationnels.
Ce qui était valable historiquement dans l’arriération relative paysanne, économique et tsariste l’est dans le C.M.M.n.İ.g.F., historiquement de même.
Le « communisme de guerre » semble finalement le plus probable dans le paroxysme de la crise du capitalisme mondialisé-financiarisé et les pénuries relative qu’il entraîne. Mais rien n’est écrit dans le causal et l’aléatoire, l’énigmatique « corpusculaire fine » non à notre portée dans laquelle réside l’aléatoire temporel, par hypothèse.
COMMUNISME DE GUERRE et REPRODUCTION SOCIALE à PARTIR DES BESOINS EUX-MEMES. docs.
Pour Salvien. Reprise du 16/09/2023 08:33:47.
Le capital fait tout, et il en a les moyens, pour empêcher que n’éclosent les conditions subjectives de son dépassement, alors que les conditions objectives existent.
Les conditions objectives, c’est une capacité productrice, le passage du productivisme au productricisme suffisant pour réduire suffisamment, progressivement et rapidement le travail contraint au travail (vente de sa force), à la formation et à la transmission CHOISIE(S).
Le travail et les conditions de son exercice et de l’activité humaines dans toutes ses composantes et ses formes seraient libérées de l’aliénation du produit et des gestes de la production du produit (Matériel et moral en unité): c’est une libération qui « décuplerait » les capacités de création, d’invention issues du travail, du galet aménagé à la production automatisée et numérisée, qui procéderait à une « sortie de préhistoire » de la production et de l’humanisation.
Vive l’Humanité ! L’humanité à laquelle mon travail, dans le travail de tous, survivrait après nous.
La création physique et mentale du « lit de Platon » (Articles précédents) de la création des « objets tangibles » et des « objets mentaux » en unité et de la création de l’organisation sociale par « extension » de ces capacités, c’est aussi, ne pas l’oublier, l’intervention « artisanale » humaine dans le processus de cybernétisation et d’automatisation de la production et de l’échange.
C’est quoi passer du productivisme au productricisme ? : C’est réduire progressivement et rapidement la mesure de valeur marchande, de mesure de l’échange capitaliste et accumulation capitaliste, à l’échange travail-valeurs d’usage sur la base des besoins sociaux : croissance des valeurs sans dimension dans lesquelles se révèlent la complexité cachée des produits, de leur production et du besoin d’affinement de leur connaissance à partir des besoins simples et complexes, multiples et en rapports dialectiques.
Le développement des besoins non à partir des lois d’échange du cycle de reproduction du capital en tant que reproduction sociale aliénée, mais à partir d’eux-mÊmeS, c’est le communisme, la cohérence relative possible et la coopération humaine libre(S), la démocratie de l’homme producteur, du « que, quoi et comment produire » -Berlinguer).
MAIS (bis) le capital fait tout, et il en a les moyens, pour empêcher que n’éclosent les conditions subjectives de son dépassement, alors que les conditions objectives existeraient.
C’est donc dans des conditions d’épuisement profond du capitalisme que pourraient naître les conditions subjectives. C'est-à-dire dans une transition rapide à venir dans une extrémité de crise de suraccumulation-dévalorisation du capital, sorte de communisme de guerre sans guerre ni mesures policières de l’essai initial et grossier, mais dans le « simple » besoin impérieux de survie.
Communisme de guerre dans des conditions d‘état avancé des force productives, un peu comme renaît une production en partie détruite mais avec les acquis techniques du niveau de développement nouveau acquis et leur productivité.
Le passage de conditions -de transformation qualitative- progressives à une transition rapide imposée ne remet pas en cause l’analyse et les propositions de l’école d’économie marxiste de régulation systémique ni l’analyse anthroponomique systémique, des interactions et des régénérations parentales, travail, politique, informationnel, mais les confirment.
Cela donne toute leur force aux concepts ergologiques -affirmation non maniacale mais de conviction de ma part-, au DD3P, la double anticipation, la désadhérence conceptuelle, la dénormalisation-renormalisation, les réserves d’alternative, etc. et au contraire permettrait d’accélérer les processus dans le processus global, et la complexification-condensification des processus micros dans les processus macros de sortie de préhistoire de l’humanisation.
Communisme primitif de clan et communisme démocratique développé de numérisation et d’automatisation ne sont pas si éloignés que ça et la transformation qualitative « a dû passer », prospectivement, par la société marchande jusqu’à son paroxysme du capitalisme mondialisé et financiarisé pour entrer dans une mondialisation en santé suffisante pour procéder : pour poursuivre le processus d’humanisation dans un nouveau bon qualitatif.
Je ne développe pas plus pour ne pas noyer un peu plus la réflexion aléatoire mais en recherche causale de fond dans un développement-empaquetage qui voile l’essentiel.
En fait j’essaie de poursuivre « 1844 », sans prétention aucune j’espère, mais par espoir (délirant ?) de transformation en santé de notre vécu progressivement invivable et inviable et potentiellement dangereux.
Essai absurde et inutile ou réflexion féconde ? Ma foi ….
P.S. Les apparences laissent à penser, comme l'illusion de la rotation du soleil autour de la terre, que la philosophie, le matérialisme dialectique en processus, non dogmatique, emplit le frigo et les économistes marxistes font le repas, mais c'est le contraire. 13/01/2025 19:01.
L'article 77.29 "LA PENSEE EST MATERIELLE" (1) condense très fortement plusieurs notions développées dans mes recueils ; recueils en voie d’épuisement... Il peut être corrigé.
J'ai choisi comme illustration (dans cet article-là sur le blog) de la pensée humaine, Jenny von Westphalen.
Tout idéaliste qu’elle soit, lisons Emily Dickinson, nous en saurons plus sur nous-mêmes, sur l’humain et son état dans le cosmos matériel.
Sans doute Bourdieu à raison de passer instinctivement par des méditations pascaliennes qui ouvrent peut-être sur les méditations marxistes dont nous avons tant besoin, vitalement besoin.
Cette photo centrale à la UNE de "Il Manifesto" du 11 janvier 2025 représente la "Premier" italienne, Giorgia Meloni.
Le texte dit "Giu la Musk", "Bas la Musk", "assimilant" Meloni à Musk par rapport aux leurs rencontres récentes aux USA. et leur contenu.
Il ajoute son propos" c'est seulement un homme riche et fameux qui exprime ses opinions comme tant d'autres.Les siennes ne sont pas de l'ingérence". Meloni ne lâche pas Musk, tandis que lui déborde avec la leader néonazi allemande : "Hitler ? C'était un communiste". Pour la première ministre italienne "Elon fait parler tout le monde". Et elle confirme l'accord sur les satellites.
Cette satire, certes intéressante, ne résout cependant pas le problème de la compréhension de la crise, son contenu systémique et ses remèdes systémiques sans lesquels aucune combinaison politique et de prise de pouvoir démocratique ou pas ne bâtira un avenir humain en santé suffisante pour procéder.
"Indignarsi non basta", "s'indigner ne suffit pas", écrivait Pietro Ingrao, seul responsable en vue, en désaccord avec la création de "la chose", le P.D.S., lors de l'autodissolution du P.C.I.
P.A. 12/01/25
"Hérésie et ESPERANCE quand même", JOURNAL MAI 24-JANVIER 25
Quoi qu’en dise Oulianov, la pensée est bel et bien matérielle. Une force matérielle me rappelle une amie; ce qui est à mon sens même chose.
Cela ne veut pas dire qu'elle agisse directement comme un marteau sur un clou mais comme un livre ou une parole sur le mouvement social.
Et Dietzgen avait bien raison de se représenter la pensée comme un mouvement corpusculaire électrique et chimique grossier et fin en unité, causal et aléatoire, et d’espèce, et social : mouvement en aller-retour d’accumulation sociale-individuelle de sensations et de perceptions, dont la constitution-évolution biologique-sociale permet la formation de généralisations
Généralisations simples et complexes, généralisation de généralisations : formation de concepts, de catégories et de systèmes de concepts, mouvement-évolution-croissance-complexification-condensification de besoin-travail-pensée-production, de conscience (1).
Le mouvement social et l’évolution en miroir mental de la conscience sur la conscience, ses progressions en fonction des besoins humains, sociaux simples et complexes en unité (et ses régressions) constituent les possibilités de fonctions cosmiques au sens matériel, de fonction développant la conscience de la nature sur elle-même ; et de cette part organique locale de l’infinité des consciences, leurs essais cosmiques d’exister et se développer, leurs disparitions, leurs réussites et leurs mouvements en avant.
« Lit de Platon » généralisé à la construction sociale et mondiale, utopie anticipatrice, construction mentale permettant la construction physique.
La baisse tendancielle du taux de profit et son lien organique avec la baisse tendancielle de taux d’intérêt psychique est donc bel et bien une menace on ne peut plus sérieuse sur la survie et de développement de cet essai cosmique que constitue l’humanité et l’humanisation.
La « simplification » économique et politique de la droite conservatrice entrainée vers la fascisation moderne locale et mondiale contient la régression de la baisse du taux d’intérêt psychique dans la baisse du taux d’intérêt du capital et son accumulation-suraccumulation-dévalorisation marchande et mentale conjointes.
Qui veut intervenir sur le processus social ne peut ignorer la concordance, et l’unité et l’inégalité de développement, entre processus économique et social et processus psychique.
La tâche des forces de transformation en santé sociale suffisante, dans l’opposition dialectique capital//travail et son dépassement possible doit intégrer cela.
Intégrer cela permet d’extraire la richesse du matérialisme dans les expressions et constructions idéalistes. Sans cela, c’est un appauvrissement sectaire général de la production humaine, matérielle et morale, esthétique et éthique, physique et mentale dans leur matérialité : leur existence.
Pierre Assante. 11/01/2025 06:15:35.
(1) Cet article condense très fortement plusieurs notions développées dans mes recueils ; recueils en voie d’épuisement... Il peut être corrigé.
J'ai choisi comme illustration de la pensée humaine, Jenny von Westphalen.
Toute idéaliste qu’elle soit, lisons Emily Dickinson, nous en saurons plus sur nous-mêmes, sur l’humain et son état dans le cosmos matériel.
Sans doute Bourdieu à raison de passer instinctivement par des méditations pascaliennes qui ouvrent peut-être sur les méditations marxistes dont nous avons tant besoin, vitalement besoin.
"La baisse tendancielle du taux de profit et son lien organique avec la baisse tendancielle de taux d’intérêt psychique est donc bel et bien une menace on ne peut plus sérieuse sur la survie et de développement de cet essai cosmique que constitue l’humanité et l’humanisation.
La « simplification » économique et politique de la droite conservatrice entrainée vers la fascisation moderne locale et mondiale contient la régression de la baisse du taux d’intérêt psychique dans la baisse du taux d’intérêt du capital et son accumulation-suraccumulation-dévalorisation marchande et mentale conjointes."
Il problema è che se la caduta tendenziale del saggio di profitto è una legge, gli altri accomodamenti (regressione del tasso di interesse psichico, ecc.) sono una "naturale" conseguenza delle reazioni sistemiche. Tutto ciò si è già verificato, con una concordanza impressionante, salvo le ovvie differenze storiche. Comprese fascismo e guerra.
Con quelle reazioni il sistema ha guadagnato un secolo di incerta permanenza e dopo 100 anni ci ha riportato ad un punto analogo.
Se questo è vero, la critica liberale al trumpismo e alla reazione internazionale lascia il tempo che trova, come lo lasciò anche 100 anni fa.
Se c'è una cosa positiva nell'attuale passaggio storico è quella di mostrare di nuovo la natura profonda e implacabile del meccanismo di autoconservazione sistemica che è ferocemente distruttivo delle sue parti. Pur di non cedere, l'animale getta la maschera liberale e distrugge se stesso per innescare un nuovo ciclo di altri 100 anni.
Da questo punto di vista, la battaglia politica dovrebbe affrancarsi da ipotesi di recupero di equilibrio interno e tentare l'avvento dell'uomo nuovo che non può che essere anti-capitalista.
Non vuol dire per forza una rivoluzione violenta (nella proposta), ma una rivoluzione oggettivamente necessitata per evitare l'annientamento dell'umano che è intricato nella forma del capitalismo.
Rodolfo RICCI.
IN FRANCESE con traduzione automatica:
Le problème est que si la baisse tendancielle du taux de profit est une loi, les autres aménagements (régression du taux d'intérêt psychique, etc.) sont une conséquence « naturelle » des réactions systémiques. Tout cela s'est déjà produit, avec une concordance impressionnante, à l'exception de différences historiques évidentes, y compris le fascisme et la guerre. Avec ces réactions, le système a gagné un siècle de permanence incertaine et, après 100 ans, nous a ramenés à un point similaire.
Si cela est vrai, la critique libérale du Trumpisme et de la réaction internationale laisse du temps pour être trouvée, tout comme il y a 100 ans.S'il y a une bonne chose dans le passage historique actuel, c'est qu'il montre à nouveau la nature profonde et implacable du mécanisme d'auto-préservation systémique qui est férocement destructeur de ses parties. Pour ne pas céder, l'animal jette son masque libéral et s'autodétruit pour déclencher un nouveau cycle de 100 ans.
De ce point de vue, la bataille politique doit s'affranchir des hypothèses de récupération des équilibres internes et tenter l'avènement de l'homme nouveau, qui ne peut être qu'anticapitaliste, ce qui ne signifie pas nécessairement une révolution violente (dans la proposition), mais une révolution objectivement nécessaire pour éviter l'anéantissement de l'humain empêtré dans la forme du capitalisme.
CONCORDANCE ECONOMIQUE ET PSYCHIQUE. UN TRAVAIL QUOTIDIEN !
Qui veut intervenir sur le processus social ne peut ignorer la concordance, et l’unité et l'inégalité de développement, entre processus économique et social et processus psychique.
Conscience de l’un et de l’autre est nécessaire à la conscience globale de l’état objectif et subjectif de la crise anthropologique, anthroponomique, économique et sociale, de civilisation et des remèdes systémiques, esthétiques, éthiques à y apporter.
Quels que soient les griefs à apporter aux conceptions partisanes de Lucien Sève, sa découverte sur la concordance entre baisse tendancielle du taux de profit et baisse tendancielle du taux d’intérêt psychologique, part incontournable du problème social, du travail, de la production, est essentielle.
Réunir conditions objectives et conditions subjectives n’est pas la tasse de thé d’aucun mouvement politique de notre ambiance et de notre temps.
On peut plutôt dire qu’il y a des visions unilatérales aliénantes séparant les éléments de la crise pour en faire une inconscience systématique.
Découvrir et dénoncer les manquements matériels et moraux est devenu un sport de relaxation laissant de coté le traitement effectif de la maladie sociale et de ses convulsions, entre autres le phénomène de suraccumulation et de dévalorisation du capital au cœur de la crise.
L’insoutenable légèreté de l’être n’est pas qu’un titre de roman. Cet auteur de droite avait, comme souvent, une grande conscience de l’état de l’humanité, éclairé de la double erreur du capitaliste ultra libéral et du socialisme réel, cette grossièreté généreuse mais associable.
Je m’efforce avec peu de succès (ce n’est pas une plainte) de relier différents éléments de la réalité et de la conscience en unité organique, l’économie néomarxiste de régulation systémique, ergologie condition d’activité de la personne humaine, philosophie et dialectique matérialiste processive non dogmatique.
Si la démarche peut passer pour être idéaliste, on ne peut non plus dire qu’il suffise d’agir sur un seul élément de la crise pour la résoudre.
Cet article poursuit un travail quotidien, qui s’épuise, de rassemblement et de redéveloppement de ces éléments, consigné dans un blog qui s’épuise aussi, et une correspondance. Et aussi dans les rencontres et débats auxquels je peux participer.
C’est une grande douleur que d’apprendre jour après jour les régressions organiques locales et mondiales du processus d’humanisation et des dangers qu’elle court en tant que processus de conscience de la nature sur elle-même, part cosmique au sens matériel, très très relativement connue dans un univers totalement énigmatique à l’humain historique même envisagé de plus long terme.
Les conquêtes humaines peuvent ou pourraient être esthétiques et éthiques et dans le cas contraire non durables et vouées à l’arrêt du processus que nous constituons dans la nature, parmi une infinité d’autres.
Aucun processus n’est linéaire mais aléatoire et causal, et le déterminisme fait partie le la grossièreté de la conscience transformatrice. De même la séparation subjective des éléments objectifs et subjectifs fait partie de cette grossièreté. Marx en 1844 parlait de cette grossièreté, qu’il combattait, en lui-même sans doute et de même, étant humain, ce qui n’est pas sa plus petite qualité.
La crise systémique généralisée de suraccumulation et dévalorisation du capital menace son existence même, et la nôtre par la même occasion, la nôtre QUI EST LIÉE AU RENOUVELLEMENT DE LA SOCIETE HUMAINE PAR ET DANS LE CYCLE SOCIAL-ASSOCIAL « ARGENT MARCHANDISE ARGENT PLUS » (A-M-A’) QUI INDUIT CETTE CRISE.
Un tournant essentiel des difficultés d’en échapper dans et par une autre construction sociale en santé sociale suffisante, est l’établissement de ce rapport de force par et dans l’usage de la bombe atomique sur le Japon.
Cet acte a fixé un rapport de force économique, militaire et idéologique, et a permis de le maintenir jusqu’à ce jour, en réduisant relativement le développement général pour maintenir cette avance dans le rapport de force.
Le développement de nations émergentes et émergées et des BRICS connait cette barrière. « Après moi le déluge » reste la philosophie de la puissance capitaliste dominante et de son personnel.
La boucle de la crise sur elle-même semble bouclée.
C’est sans compter sur le causal et l’aléatoire qui agit sur et dans le processus de la crise. L’article précédent sur le processus de la conscience humaine souligne les possibles sensibles, imaginés et énigmatiques du « lit de Platon » généralisé à la société, à la construction sociale et aux utopies anticipatrices, au Principe Espérance.
Le rôle unificateur du christianisme politique, de l’islam politique, etc. dans et pour de nombreuses nations au long des siècles est évident. Le nier ou le reconnaître unilatéralement est nocif pour le développement social en santé sociale.
Ce mariage rencontre ses limites comme la nation -le nationalisme et le souverainisme- rencontre ses limites.
La nation a été et reste en partie promotrice d’un développement local et organisatrice des échanges extérieurs en rapports dialectiques.
Elle organise aussi les conflits de rapports de force marchands dans ces échanges. A son extrémité de développement elle les rigidifie et les stérilise.
Le capitalisme mondialisé -et les techniques d’échange des données de développement des forces productives- rencontre sa double contradiction ; historique et économique en une : la baisse tendancielle du taux de profit, la suraccumulation et dévalorisation du capital ET la contradiction du développement entre nations concurrentes sur lequel s’appuient les firmes multinationales et la division de la concentration financière -la division concentrée- et ses institutions locales et mondiales.
L’analyse unilatérale historique des nations et des religions, leurs rapports réciproques contradictoires de concurrence et d’échange rejoint l’analyse nationaliste et souverainiste et vice-versa, ne résout en rien les conflits mais les aggrave et éloigne les solutions aux difficultés et blocages de développement ; pour toutes les nations et entités humaines, y compris les plus avancées dans le domaine des actions nécessaires au dépassement de la crise.
Les conflits, témoignages de contradiction à dépasser dans le développement humain, des entités humaines et des individualités humaines, ne peuvent connaître un développement quantitatif infini : les contradictions du système capitaliste monopoliste mondialisé, informationnellement numérisé, globalement financiarisé, sont à dépasser dans de nouveaux rapports sociaux ; des rapports sociaux d’une autre qualité.
Je ne reviens pas sur les processus analysés par l’économie néomarxiste de régulation systémique ni aux analyses pluridisciplinaires des situations de travail, d’activité, mais je souligne le rapport mutuel entre matérialisme historique et matérialisme dialectique, leur processus commun -et en inégalité de développement- de connaissance continu et quantique rompant avec leur dogmatisation soviétique, entre autres ; pas seulement.
Le monde islamique et le monde christianique (entre autres) ont constitué à travers les siècles de puissantes entités nationales et de puissantes zones de développement aujourd’hui frappées par la crise mondiale du capitalisme mondial, du capitalisme tout court.
Ce n’est pas le monde christianique qui a pris domination du monde islamique, c’est le développement du capitalisme dans des conditions historiques données qui a induit les dominations, tout comme ce n’est pas les colons qui ont vaincu les indiens ou les dominés ici ou là dans le monde, mais la supériorité économique historique d’un système sur un autre -avec leurs liens idéologiques et religieux évidemment ; exemple aussi de la « victoire » -citée par Parain- de l’esclavagisme sur le mode de production asiatique d’esclavage global généralisé des communautés, dont l’héritage lointain, de longue distance temporelle, a aussi induit contradictoirement des résultantes surprenantes au XXème siècle…
Toutes les entités humaine sont soumises à cette crise, de la plus petite à la plus grande, en passant par les zones mondiales de développement et la guerre économico-militaire promue par le capital le plus puissant dans son rôle dominant de développement et d’échange particulier.
Penser que les conflits planétaires et leur accompagnement dialectique idéologique et religieux puisse être résolus par des efforts isolés d’intérêts locaux grands ou petits est d’une grande absurdité.
La crise mondialisée sera résolue par des efforts mondialisés, passant bien par de multiples initiatives du local au mondial dans les deux sens. C’était tout le sens de l’internationalisme prolétarien des origines et ses tentatives avancées.
Le local et le mondial sont illustrés par le pire dans le conflit dit « palestino-israélien » dont tout un chacun comprend les ramifications mondiales économico-politiques.
Actuellement en Italie, j’assiste à la collusion entre l’extrême droite dite nationaliste et l’establishment économico-politique d’ Elon Musk-Trump pré et post Biden unis, en particulier dans les domaine de la domination technologique du monde assurant les profits, avec Spacex, X, Starlink, sa chaîne privée de satellites, dominatrice etc. et leurs effets sur la domination « sécuritaire » italienne ; en attendant la nôtre en France déjà bien entamée… ; dominations pour lesquelles les déclarations-protestations française, allemandes et social-libérales parlementaires (c’est toujours ça !) italiennes médiatiques du PD (entre autres), auront peu d’effet si ce n’est des illusions.
Partie aux USA pour régler un échange de prisonnière avec l’Iran, Meloni revient avec un accord commercial de technologie « sécuritaire » avec Musk sur Starlink ; certes contesté, cet accord est sur le point d’être ratifié par la majorité de droite.
Ces évènements conjoints ont entraînés la démission de la directrice des services secrets italiens...
La lutte de classe (gros mot ?), la lutte des salariés et son cœur de production ouvrière qualifiée et hautement qualifiée est la réponse unitaire populaire à donner à ces avancées fascisantes mondiales. Le pouvoir sur l’argent, les salaires vers l’abolitions progressive de l’achat de la force de travail, des critères d’autre qualité de gestion des entreprises, la place des salarié-es, c’est au cœur de nos préoccupations face à la crise et pour la construction d’un autre type de société en santé sociale suffisante.
« Il Manifesto » de hier titrait « Satellite », dans un jeu de mots entre les satellites de l’espace de Musk et l’Italie satellite politico-économique des USA.
Pierre Pour Salvien de Marseille (Vème siècle). 08/01/2025 06:25:49.
L’indifférence vis-à-vis du travail du C.E.R.M. (Centre d'Etudes et de Recherches Marxistes) en 1974sur le mode de production asiatique, sa diversité de processus, et sa diversité de composantes intriquées historiquement et de résultantes signe un rendez-vous manqué avec un retour-poursuite vers -et de- l’analyse de Marx et d’Engels.
Cette indifférence, entre autres indifférences, au profit d’un immédiat aux connaissances et objectifs ultra-limités, a mis à mal nos capacités de bifurcation vers un processus social à la fois continu et nouveau en santé sociale suffisante.
Cette indifférence nous la payons au prix fort puisqu’elle permet à la puissance nuisible du capital et du social-antisocial libéralisme de s’assurer une maîtrise du Monde humain certes en crise, mais maîtrise suffisante pour empêcher cette bifurcation, en tout cas jusqu’à ce jour, empêcher une vision non seulement internationale mais planétaire incontournable pour réussir ; une vision et une action mondiale : communiste.
Evolution des forces productives, leurs bases techniques, de recherche, d’organisation de la production et du travail-pensée, entre autres numérisées, et évolution des luttes, sont en décalage historique dangereux.
Vision globale historique du processus de mode de production, économique, politique, philosophique, dialectique, et aptitude à transformer la société, sont indissolubles.
La vision de nos petites têtes franco-françaises, occidentalo-occidentales va de pair avec la crise du capitalisme monopoliste mondialisé numériquement informationnalisé, globalement financiarisé.
Le processus de développement du capital créé ses propres limites, met des limites à l’humanisation continue et quantique (par sauts) et en unité, et au dépassement en santé sociale nécessaire, indispensable, de survie de cette humanisation dans son rapport avec la nature, dans le cosmos qui comme la Terre est notre Maison Commune.
Est-ce si important ? Certes puisqu’il s’agit de nous-mêmes et de notre instinct de survie individuelle-collective, quantitative-qualitative !
L’analyse des processus des modes de production et d’échange fonde, avec l’étude des mouvements du mouvement global du capital la culture ouvrière de défense de ses intérêts de classe, des intérêts de survie et de développement de l’humanisation continue et par sauts en unité, d’une civilisation de partage et de développement pour tous : d’un mode d’accumulation viable et vivable rompant avec les précédents depuis la formation millénaire du surproduit de production et d’échange marchand et de celui du capital A-M-A’ mondialisé, concentré, ainsi que la concentration de son « personnel », in fine.
L’indifférence n’est pas nouvelle. La critique du programme de Gotha la soulignait. Elle devient cependant mortelle. Nos résultats que nous analysons superficiellement et non sur le fond semblent le dire. Pour ce qui est de l’économie et seulement pour ce qui est de l’économie, je vous renvoie à « Economie et Politique » seule revue marxiste du PCF ; le reste, reste en plus ou moins grande souffrance.
Comme « l’Humanité » (1) l’a publié hier, Elon Musk, avec sa puissance US et mondiale, financière, économique et médiatique, vient d’apporter son soutien à l’extrême droite allemande (AFD) dans la campagne électorale. La rédactrice en chef du journal allemand qui l’a publié a démissionné.
Cela fait partie et s’appelle une fascisation mondiale préparée, mise en place de longue date partout dans le monde, en Italie et ici.
Le système-cycle d’accumulation du capital sur lequel repose depuis plus de deux siècles le renouvèlement de la société est malade irrémédiablement.
Des crises décennales étudiées par Marx et Engels et les marxistes, la société est entrée depuis la décennie 1970 dans une crise de longue durée accélérée qui induit l’ensemble des crises dans tous les domaines d’activité des sociétés nationales et mondiale.
Plus le dépassement du système capitaliste tarde, plus la déstructuration mondiale de la société humaine s’accentue, économiquement, politiquement, esthétiquement, éthiquement : physiquement et moralement.
Le souverainisme de gauche est le serviteur stupide et zélé de l’idéologie dominante et de la régression sociale généralisée.
Pardon de dire cela en ces jours de fête.
Ou les progressistes et les communistes passeront par une compréhension DES CAUSES de la crise et de ses effets sur la vie quotidienne, ou ils ne trouveront pas d’issue politique à la convulsion sociale dans laquelle nous vivons.
Le retour du soutien des couches populaires passe par l’engagement auprès du salariat et de sa part au cœur de la production des biens matériels de base. Travail, Production, Recherche productrice fondamentale et appliquée, énergie, climat, qualité matérielle et morale de la croissance de la production, de l’échange et de la consommation.
Ce retour passe par le retour à la théorie, continu et progressif, un retour à la recherche marxiste et à l’économie néomarxiste de régulation systémique et à une organisation ergologique du travail qui en découle mutuellement partant de la personne, de son autonomie relative dans la nécessité naturelle et sociale, et le l’autogestion locale et globale des entités de production et d’échange. Cette autogestion sera le nerf de la guerre sociale pour sortir de la crise et reconstruire et créer en santé suffisante pour procéder.
La réorganisation autonome de fait mais pas d’institution, par les personnels hospitaliers, entre autres, dans la crise du covid nous donne une idée, parmi d’autres, de ces capacités spontanées d’autogestion humaine.
Donner politiquement les moyens de l’autogestion c’est desserrer l’étouffement dans lequel le dit « monde du travail » et la vie humaine dépérit.
Le concept et la pratique, en unité organique, du respect et de la bienveillance sont en rapport mutuel, réciproque, dialectique, avec le mode de production et d‘échange, le mode d’usage de soi par l’autre en santé sociale progressive ou pas qu’il induit, et dans nôtre système mondialisé le rapport social de production mondialisé, en voie de numérisation généralisée mais restreinte par le système lui-même, et de financiarisation globalisée conjointe : l’achat au paroxysme final de la force de travail dans le cycle social-antisocial d’accumulation argent capital-marchandise capital-argent capital plus, A-M-A’ …
… et ses limites systémiques d’accumulation-suraccumulation-dévalorisation du capital et son effet régressif sur l’ensemble des activités qui y sont soumises, y compris, en unité organique : les logiques de pensée, perceptions, sentiments que ces limites induisent.
Seule les limites d’un système peuvent induire le dépassement du système, de façons non automatiques ni déterministes, mais causales et aléatoires (de constitution corpusculaire fine illimitée que nous ne saisissons pas) dans lesquelles intervient le processus de conscience lui-même, non déterminé maiscausal et aléatoire c’est-à-dire impliquant une volonté humaine individuelle-collective elle-même causale et aléatoire.
Une société de partage-développement, dépassant les limites actuelles de développement humain ne peut que passer par un processus de protection sociale « corrigeant », réduisant les inégalités naturelles et sociales, en particulier aujourd’hui par la sécurité d’emploi et de formation et de subsistance complexe vers un processus de dépassement-abolition de l’achat de la force de travail : salariat « traditionnel » et formes généralisées-globalisées directes et indirectes de drainage centralisé-globalisé de plus-value et de conflit-contradiction des draineurs locaux et mondiaux…
… l’achat de la force de travail, force de travail aliment du cycle d’accumulation A-M-A’ sur lequel reposent les contradictions antagoniques handicapantes et bloquantes dans la production des biens matériels et moraux en unité, nécessaires à la vie et au développement de l’humanisation.
Respect et bienveillance sont un processus de civilisation qui n’élimine pas la contradiction non antagonique naturelle individu humain-espèce humaine, mais la régule en fonction des besoins de santé sociale du processus d’humanisation dans celui du cosmos connu, en unité organique.
Le type d’usage de soi par l’autre pour procéder en santé suffisante ou pas est issu de l’histoire et ne procède pas en santé suffisante : domination sexiste, parentale, de travail et de classe sont des maladies sociales, héritées de l’histoire et de la constitution animale dont nous sommes issus, mais aussi en unité organique, systémique. Le propre de de l’humanisation est de dépasser de façon continue et quantique le processus initial, de le sublimer en santé.
Systémique ne veut pas dire systématique, automatique, mais dépendant d’un système, social entre autres, causalement. Par exemple le mode de production asiatique d’usage de soi collectif de la production et de l’accumulation despotique par l’autre n’a été engendré ni n’a engendré automatiquement l’histoire telle qu’elle s’est déroulée à nos yeux, que nous connaissons et tentons d’imaginer en fonction de l’anticipation de nos besoins sociaux très relativement prévisibles, anticipation dans laquelle la connaissance des mouvements particuliers et général du cosmos est loin de ce que nous en avons imaginé dans nos espoirs et désespoirs.
Anticipation et expérimentation sociales individuelles-collectives, continues et quantiques (sauts qualitatifs) en unité, collectives et démocratiques sont un couple indissoluble , un besoin que le travail producteur-pensée productrice, produit. C’est cette production limitée par les limites du système actuel. C’est le lit de Platon, la conception mentale nécessaire à la conception physique au niveau de toute l’organisation sociale limitée par toute l’organisation sociale
Les formes sociales engendrées ne sont pas pures, contiennent causalement leur processus passé, s’interfèrent et multiplient à l’infini leurs formes particulières, ce que ne comprend pas le racisme et la xénophobie intéressée au maintien des « avantages » grands et petits, égoïstiquement si étroits qu’on en meurt.
Respect et bienveillance est un processus ou un échec.
Le racisme existe mais les races aussi en tant qu’expression de ces différences à l’infini mais non en tant que blanc, noir, jaune ou rouge, qu’infériorité ou supériorité individuelle et sociale. Quelle stupidité ! Evidemment le raciste se considère supérieur et la classe dominante de même. La lutte contre le racisme ne peut se réduire au vocabulaire, même s’il intervient ou même titre que tous les autres éléments constitutifs du racisme liés à un mode de production et d’échange qui les induits.
Le despotisme repose en partie et relativement sur la distance entre l’estimation des besoins, distance plus ou moins grande qu’induit un système social ou un autre, aux besoins réels présents et à venir, et leur processus simple et complexe en unité organique dans lequel technique, esthétique et éthiques sont organiquement inséparables. De leur rapport découle la santé ou non du processus social.
Autonomie relative croissante de la personne dans le processus de la nécessité naturelle et sociale en unité, autogestion des entités humaines dans l’autogestion le l’entité hualine globale, réduction du temps de travail contraint, décroissance des critères comptables dans la croissance des valeurs sans dimension- sans mesure de la valeur d’échange par le TTSMN, numérisation agricole, industrielle, et conception artisanale du processus technique de production, forment la croissance d’un type nouveau de société poursuivant un processus en santé sociale suffisante pour perdurer dans le mouvement de notre cosmos, au sens physique du terme et de la chose (1).
Pierre Assante. 28/12/2024 09:33:07.
(1) Cet article 77.21. RESPECT ET BIENVEILLANCE.docx. est la page 25 de :
La démocratie du que quoi comment produire. La démocratie de l’homme producteur.
Enrico a posé la question après le coup d’Etat du Chili du 11 septembre 1973.
Tu lis QUOI, des journaux, des livres , des revues ?
Je lis des livres, des journaux et des revues.
Regarde le livre QUE je lis.
Tu manges QUOI ?
Des cerises.
Regarde la cerise QUE je mange.
Le que, le quoi, et le comment sont intimement liés, constituent une unité dans un processus-cycle élargi quantitatif-qualitatif de production-échange-consommation en santé sociale.
Le comment c’est l’économie néomarxiste de régulation systémique.
« …Il faut absolument avancer dans l’appropriation sociale des groupes clés. Il ne suffit pas de changer la propriété du capital. Le changement de propriété doit être articulé à l’avancée des nouveaux critères de gestion d’efficacité sociale, opposés à la rentabilité financière, et a des pouvoirs effectifs des salariés et des populations pour ce faire. Autrement il ne sera pas possible de faire prendre forme à un nouveau type de croissance et de développement permettant de promouvoir les capacités humaines en économisant les moyens naturels, matériels, et financiers… »
Yves Dimicoli dans « Rencontre européenne pour une politique industrielle, créative d’emploi et répondant aux besoins humains, sous l’égide de la composante française du groupe GUE/NGL.
Le 9 septembre 2011 à Paris
Est-il temps de se demande s’il est encore temps, dans la confusion économique, politique, esthétique et éthique organisée par le capital pour sauver palliativement son accumulation suraccumulée et dévalorisée ?
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Ce blog contient, sous la forme d'essais,de nouvelles, de poésies, une analyse des contradictions du mode de production, des devenirs possibles, en particulier en rapport avec l'activité humaine, le travail, l'ergologie