Sport et psychologie
Le Qatar suit de près l’évolution du PSG.
Ce n’est plus l’avancée triomphante permanente des premiers investissements.
Ce pays a sans doute des restes essentiels, précieux, riches et importants de l’antique culture de sa population originale, mais la vieille culture européenne qui nous amenés à Freud, Darwin, Marx, Weil, il doit l’importer en échange de pétrodollars.
Il faut puiser dans la culture étrangère et même dans la culture adverse pour réussir dans la finance. Bien sûr il fait un tri subtil, judicieux, correspondant à ses valeurs propres afin de ne pas être contaminé par les diableries qui s’opposent à sa modernité.
Le fait est que la psychologie et la psychanalyse ne lui sont pas étrangères, particulièrement dans le domaine du sport.
Ainsi, afin de donner plus de souplesse aux mouvements heurtés inévitables dans les rapports entre joueurs adverses et de l’équipe elle-même, il a été décidé d’appliquer aux footballeurs des méthodes permettant d’acquérir plus de rapidité dans l’adaptation aux multiples transformations des phases de jeu.
L’étude des grandes familles occidentales montre que la polyvalence dans le sport de loisir et même de la musique aide non seulement au perfectionnement de chaque sport mais aussi donne du punch et de l’habileté aux comportements de « gagneur » pour ne pas dire de « tueur » dans les affaires financières.
En ce qui concerne le sport, la pratique du patin à glace donne plus de liant, plus de fluidité aux déplacements des footballeurs et à la cohésion de l’équipe. Le patinage artistique accompagné de musique est encore plus efficace.
Voilà une excellente mesure pour redonner punch et moral dans les moments plus difficiles de la saison sportive.
Une seule objection, veiller à ne pas multiplier les chutes dans la patinoire, car l’effet serait inverse : le joueur ayant chuté à plusieurs reprises pourrait sombrer dans l’apathie noire.
Pierre Assante, 28 février 2015.
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