Certes, plus nous essayons de pénétrer en profondeur dans l’analyse d’un objet, sous le maximum d’angles possibles, dans son mouvement particulier qu’il constitue dans un mouvement d’ensemble et ses interactions, afin de ne pas s’arrêter à sa seule apparence dans une action, plus les mots nous manquent. Le vocabulaire, la sémantique de notre période historique est trop pauvre pour elle, et le vocabulaire nouveau ne peut se créer que lorsque le rapport entre réel et nouvelle conscience du réel dans son processus permanent s’éclaircit, constitue une « étape » de normalisation-dénormalisation discernable, de saut qualitatif discernable.
Le mot « objet » a plus d’un sens ou n’en a pas. Ce peut être, dans nos représentations du réel une entité matérielle tangible, délimitée dans l’espace et le temps dont on prend la « photographie ».
Mais un objet ne peut pas être qu’un « élément instantané » perçu par nos sens, mais au contraire un moment du mouvement d’un processus particulier de la matière (pour moi mouvement de la matière est une tautologie)....
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http://pierreassante.fr/dossier/OBJETS_MOUVEMENTS_REEL_IDEEL_ET_ERGOLOGIE_2.pdf
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