Celui qui croyait au ciel, celui qui n’y croyait pas.
Avertissement : Cet article comporte certainement des réflexions grossières et des définitions lapidaires. Ce n’est qu’une caricature destinée à approfondissement, à prendre comme telle pour qui le veut bien comme début d’un « multilogue », si des rencontres peuvent le susciter, ce que j’espère peut-être naïvement.
« Celui qui croyait au ciel, celui qui n’y croyait pas. » Cette phrase, titre d’un poème d’Aragon exaltant l’alliance communistes-croyants, communistes-chrétiens sans doute en particulier, à travers leurs personnes mais aussi leurs institutions particulières, dans la résistance à l’occupation NAZI ne semble plus beaucoup concerner une majorité de citoyens (1).
La bipolarisation chrétiens/communistes, et plus rarement chrétiens-communistes, d’une population a été submergée par l’avancée idéologique libérale, la mondialisation accrue locale des multiples cultures coexistant, dans l’indifférence, le conflit et plus rarement l’échange volontaire et conscient.
Que peut-on attendre d’un haut responsable de l’Eglise sinon en priorité la défense de l’Eglise, au-delà du souci général de la situation générale de l’humanité ? Est-ce uniquement une réaction de pouvoir, une réaction d’égoïsme partisan ?
Certainement pas. Un comportement partisan découle de choix, que ce soit de choix de classe, ou de choix échappant à une conscience de classe, ou relativement autonomes d’une conscience de classe elle-même relative, ou en lien très lâches avec une analyse quelle qu’en soit l’origine.
Ceci dit, une position partisane n’est pas l’apanage d’un chef d’Eglise, mais est largement partagée par tout haut responsable de quelque « Eglise » laïque ou pas, pour les mêmes raisons qu’énoncées précédemment.
Autre chose est l’interdépendance et dont la coopération objective et quelquefois subjective entre croyants et non croyants, partant d’objectifs partiels pratiques et-ou théoriques. Mais tout objectif ne peut être que partiel, tendant quelquefois vers le "général". « Ceux qui ne priaient pas, mais qu’importe de ciel, ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux (Jean Ferrat, Nuit et brouillard) »
Mais revenons-en à la question de l’alliance croyants-non croyants................................
Pierre Assante, 29 octobre 2014.
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