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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 08:51

Article déjà publié sur ce blog le 13 décembre 2014.

 

2012 02 25Mon « angle d’attaque ».

Ergologie, Économie : études sur le travail et études sur l’échange

 

Je vais partir d’une idée par laquelle je devrais finir, qui serait une conclusion d’un développement.

Cette idée peut paraître un postulat mais est tout à fait démontrable, sans doute, je crois. Mais tel n’est pas mon sujet ici.

 

Cette idée est celle-ci : une croissance se prépare. Même préparée elle n’est pas sans danger. Elle demande une adaptation aux besoins qu’elle crée. Cette, ces adaptations ne se font pas sans difficulté et les maladies de croissance du corps en sont la preuve.

 

Ces adaptations ne se font pas sans difficulté, à plus forte raison lorsque cette croissance concerne le corps d’une société mondialisée, qui n’a pas seulement des besoins biologiques, ou plutôt dont les besoins biologiques sont totalement intriqués avec ses besoins de conscience, en tant qu’espèce humaine travaillante et pensante pour résoudre ces besoins intriqués.

 

Tout mouvement particulier fait corps avec le besoin général qu’il constitue.

 

Ces adaptations ne se font pas sans difficulté à plus forte raison lorsque le mouvement du corps-soi social (1) contient les contradictions d’un système de production et d’échange parvenu à obsolescence. Cette obsolescence est partie constitutive de la crise de croissance.

 

Parenthèse : cette crise de croissance est dont civilisationnelle, touche aux outils « matériels et moraux » de production des biens « matériels et moraux » nécessaires à la reproduction élargie de l’espèce et de sa conscience. La question économique en dernière instance détermine relativement les conditions du processus de croissance et va donc déterminer sa poursuite, sa régression ou son progrès.

 

Cependant l’ergologie fait la démonstration qu’on ne décide pas arbitrairement de l’activité humaine (e.g., le taylorisme et ses suites). Elle dépend des conditions dans lesquelles sont placés et se placent les individus dans cette activité (2).

 

Quand à l’économie, autre postulat apparent (toujours note 2), la conscience en développement de ses besoins, et donc en dernière instance celui des besoins humains, ne peuvent souffrir d’une quelconque ignorance « basique ». Même si les « connaissances parcellaires » sont constructives.

 

La critique de l’économie politique initiée par le mouvement ouvrier et portée par des porte parole dont Marx est un des plus en vue par ses travaux, dans notre conscience, et développée depuis près de deux siècles, avec des progrès et des régression inhérentes à tout mouvement.

 

Les « constats de base » de la critique de l’économie politique et les constructions qui reposent sur ces constats, partant de l’expérience, de l’observation de la réalité économique, de même que les "constats de base" de l’ergologie soutiennent leurs développements, forment deux socles étroitement liés.

 

Or l’ostracisme que connaît la critique marxiste de l’économie politique, ostracisme lié à  la lutte des classes sociales, jette un voile déformant sur ces « bases » qui rendent plus difficile le développement de la conscience et de la posture ergologique, pourtant « en marche ».

 

Combien d’étudiants en ergologie peuvent faire lien entre l’observation de l’activité humaine et l’observation élémentaire de mouvements dans l’échange humain tel que la suraccumulation des capitaux, les contradictions à terme insolubles de l’état de l’échange « Argent-Marchandise-Argent + ». Etc.

 

Evidemment tout cela est dit d’une façon lapidaire et sans développement ni démonstration. Mais la démonstration est bien faisable de la validité non de tous les concepts à l’état présent, mais que la démarche est une démarche apparemment des plus saines dans tout ce que la conscience produit pour se développer et développer l’espèce.

 

Cette déclaration lapidaire n’a qu’un but : répondre à ce que j’appelle « mon angle d’attaque », d’une façon peut-être un peu trop mystérieuse, involontairement.

 

Mais partant de cet angle d’attaque, je suis dans la conviction, à tort ou à raison, que si ergologie et économie constituent des champs particuliers parmi tous les champs qui sont par essence des champs particuliers, avec leur développement propre, leurs liens et le développement de ces liens sont des plus pertinents et conditionnent leur développement et particulier et commun.

 

Mais voilà, chemin faisant, les avancées conceptuelles se dissolvent relativement dans et par leur diffusion, avant de regagner en qualité, dans leur développement, leurs propriétés originelles.

 

Il y a donc lieu de revivifier sans cesse les « notions de base » pour ne pas « perdre le fil », sans en faire des acquis dogmatiques, ce qui arrive aussi dans une « expansion-dissolution ». Le « marxisme » a connu cela.

 

Et il y a lieu de relier sans cesse les « constats économiques » de base, ce que fait le cours de philosophie d’Yves Schwartz que j’ai suivi, partant de la naissance du travail, son développement, sa complexification, la naissance de l’agriculture, de la grande industrie, et des forces productives aujourd’hui en « troisième révolution ».  (3) etc....pour aboutir aux concepts ergologiques et leur développement pratique, opérationnel.

 

Et pour cela la coopération entre le champ de recherche économique et de recherche ergologique demande à être développée, ce qui veut dire échanges humains, d’humains, développés en ses domaines.

 

Illusion d’un béotien en matière de recherche ? Peut-être, sans doute…

 

Mais la demande contient peut-être une possibilité de réponse et un outil de réponse.

La question demande débat et approfondissement, si possibilités il y a de le mener, ce que j’essaie avec mes faibles moyens de communication et mes propres ignorances de base.

 

Les efforts d’adaptation à la crise de croissance semblent aujourd’hui incohérents. Ils le sont car ils n’en sont qu’à leur balbutiements, petites sources, mais peuvent converger vers la rivière du processus humain, à condition de ne pas prendre les mesures « d’adaptation » asociale, que les « élites » arbitrairement majoritaires imposent dans « l’espace tripolaire » (4) depuis plus de quatre décennies. D’autres transformations en santé s’imposent, je crois.

 

Pierre Assante, 13 décembre 2014

 

(1) Contradiction entre la personne et le collectif que dénote l’usage d’un terme individuel dans un registre collectif, mais le terme créé par Yves Schwartz contient et reflète dès l’origine et consciemment cette contradiction.

 

(2) Ceci peut paraître aussi un postulat si la démonstration, faisable, n’est pas faite, mais tel n’est pas non plus le sujet ici.

 

(3) Pas seulement sur la vision historique, mais aussi et surtout sur le plan de la critique de l’économie politique et de ses découvertes, son analyse de la marchandise et de son échange, les « règles » de son échange et de sa production dans l’économie marchande et de droit et sa crise.

 

(4) Terme crée par Yves Schwartz recouvrant des concepts ergologiques non développés ici.

 

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 08:00

14mai10 003Populisme et extrême droite, politique et économie.

 

Je ne partage pas dans sa totalité l’analyse (1) des conditions pour battre les idées du FN.

Mes expériences de discussions avec des électeurs du FN me renvoient une autre image de son impact.

Il ne s’agit pas de discussions avec Le Pen, mais, dans les rencontres de tables de rue, de porte à porte, ou de rencontres fortuites, avec, en particulier et surtout des salariés en butte avec la question du salaire, des conditions de travail, des perspectives de vie.

 

Le débat bloque d’entrée sur la question de l’immigration et des frontières : la question de la mise en concurrence des travailleurs entre eux. Elle se débloque lorsqu’on entre dans la question non du seul partage du gâteau mais de la production et de l’accroissement du gâteau à travers une autre politique économique qui puisse ouvrir  cet accroissement,

La question de l’accroissement du gâteau fait début d’accord et la lutte contre les banques dans leur état actuel, la finance et le capital de même.

 

Mais ce début d’accord bloque à nouveau, partant de l’idée que ces salariés se font et des illusions qu’ils ont sur le discours du FN, de Marine le Pen sur les banques, la finance et le capital.

 

L’on comprend ainsi toute l’importance d’approfondir le débat sur les questions économiques, les conditions d’un redressement industriel de d’une coopération des peuples et de l’homme producteur dans le monde.

 

Je ne m’étends pas plus, je ne fais que souligner rapidement une expérience susceptible de ramener un électorat contestataire sur des positions de classe.

 

Evidemment de débat doit porter sur tous les terrains, tous les champs de l’activité sociale et humaine en général. Je ne pose ici qu’un élément qui me semble central.

 

Pierre Assante, 15 décembre 2014.

 

(1) De l’article "Le PCF veut disputer pied à pied le terrain au FN", L’humanité, du 15.12.2014.

 

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 07:25

CONGRES 2013 02 10 018 (9)

 

 

Le PCF tenait une convention sur l'industrie

les 22 et 23 novembre 2014.

 

 Compte-rendu et documents sur ces liens :

 


1) Introduction par Alain Obadia

2) Introduction par Nicolas Marchand

3) Synthèse des ateliers par Jean-François Bolzinger

4) Discours de clôture par Pierre Laurent

 

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 00:05

l'activité en dialogues 0001

Bonjour
Veuillez trouver ci-joint la plaquette de présentation de l’édition 2015 des “Tâches du Présent “ qui seront consacrées à l’Inspection du Travail et organisées en partenariat avec l’Institut National du Travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle.
Le programme détaillé vous sera communiqué courant février.

Salutations ergologiques.
Rémy Jean
Directeur de l’Institut d’ergologie

 

LIRE

ici

 

http://sites.univ-provence.fr/ergolog/pdf/divers/Programme_TDP201.pdf

 

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 00:00

KOBANÊ 2014 11 01 006 (10)Ni la Hongrie d'Orban, membre de l'UE, ni la Turquie d'Erdogan, qui demande à entrer dans l'UE, ne sont des états démocratiques, voire, par rapports à leurs engagements internationaux ou aux traités signés, simplement des états de droit.

Ni dans un pays , ni dans l'autre les libertés fondamentales ne sont respectées: ni la liberté de réunion, ni la liberté d'association, ni la liberté de vote, ni la liberté de la presse.....

 

Lire la suite

ici

 

 http://2007-aux-armes-citoyens.over-blog.com/article-islamo-fascisme-et-fascisme-tout-court-125217285.html

 

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 08:30


Article publié sur ce blog une première fois le Samedi 30 octobre 2010

 

bloch-principe-esperance.jpg

 

Petite image schématique mais utile :

 

Vous fabriquez une voiture dans une chaîne de montage, vous voyez après les voitures finies et constatez l’effet du travail de vos muscles, de votre cerveau, de votre système nerveux et des savoirs qu’ils contiennent.

C’est la vision de votre travail concret.

 

Vous allez à la banque retirer en liquide votre salaire. Ces billets de banque sont tout à fait concrets, « matériels ». Ils ne sont pourtant qu’une convention représentant abstraitement une partie de votre travail, une partie car on ne vous paie pas la totalité de votre travail, pas la totalité de la mesure du temps de travail et encore moins la valeur sans dimension de votre travail.

 

Une partie, imaginez qu’on paye à l’ouvrier les prix des voitures qu’il produit, quel salaire !

 

Dans l’autre partie il y a le travail accumulé par tout ce qui a été nécessaire avant et qui arrive dans l’unité de production pour faire ces voitures. Il y a aussi, tout le travail cristallisé, accumulé dans le passé avec tout le savoir accumulé qu’il contient.

 

Et surtout il y aussi la plus value, ce que le propriétaire privé des moyens de production conserve et qu’il va utiliser pour ses besoins personnels et en principe ce qu’il devrait réinvestir dans l’effort humain pour assurer la reproduction saine de la société. Plus value qui, après avoir permis, malgré les contradictions du profit et de ses conséquences dramatiques sur la vie du producteur, de créer des richesses en partie collectives, et qui part de nos jours de plus en plus en fumée dans la spéculation financière, sorte de cercle vicieux où s’évapore la plus grande partie de l’activité humaine, et dans l’explosion des inégalités sociales. Inégalités au niveau des nations et communautés et entités humaines et au niveau de l’humanité tout entière, dans les nations dominées comme dans les nations dominantes.

 

SCHWARTZ 1988En ce sens le travail perd son sens.

 

Ce qui rend de la plus grande hypocrisie les affirmations du monde politique et économique du capital sur sa « volonté » de donner du sens au travail, lui, qui ôte le sens du travail.

 

Indifférence du capital vis-à-vis du produit, tout concentré qu’il est sur le processus Argent-Marchandise-Plus d’argent, qui transforme l’outil d’échange qu’est l’argent en Capital. Marx n’a pas écrit « l’argent » mais « Le capital ».

 

Quand aux services qui devraient assurer la santé « matérielle et morale » de l’homme producteur, de la production « matérielle » stricto sensu ils subissent les mêmes phénomènes de drainage des capitaux vers la financiarisation et le profit privé.

 

Bon revenons à nos billets de banque dans votre main :

Vous avez là entre vos mains une des formes concrètes du travail abstrait……

       

Pierre Assante, 30 octobre 2010

 

 

Définition du dictionnaire économique et social :

http://pierre.assante.over-blog.com/article-travail-abstrait-une-definition-111914565.html

 

 

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 08:15

Le laboratoire de la Seconde République 

La situation française actuelle, grosse de résignations comme de convulsions, vaut d’être revisitée à la lumière d’une brève expérience fondatrice, la Seconde République. Dans sa fraîcheur native, cette expérience condense et révèle une donne que les [...]
Voir le message »

 

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 07:20
le capitalil n'y a sans doute pas de chemin tout tracé, ni de finalité prédéterminée.
Il n'y a qu'effort à accomplir pour essayer de comprendre les "processus" économiques, sociaux, mentaux, essayer d'y pénétrer au moins un peu plus qu'en surface, un peu en profondeur, pour tenter d'agir sur nous-mêmes et notre devenir collectif.  ???
 N'est-ce pas ce qui peut "calmer" les deux versants dont parle René Merle dans son article(1)  pour être à la fois plus "efficace" peut-être, plus serein certainement dans le mesure du possible ?
Et puis il y a le "Principe espérance" dont Ernst Bloch (2) nous parle avec tant de chaleur, d'amour et de profondeur qui nous conforte dans  les possibles à venir espérés et pré-visités (3).
Pierre Assante, 9 décembre 2014.
(1) Ceci est un billet du jour de René. Mais vous pouvez consulter des extraits de son oeuvre importante et profonde sur ses blogs et son oeuvre dans les bibliothèques et librairies.
(2) "Principe espérance" tome I, Gallimard, Bibliothèque de philosophie, 1976 et 2009 en français. Ecrit en 1938-47. Edition en allemand, 1959.
(3) "L'Empire romain était mort, mais on ne le savait pas", Fustel de Coulanges, cité par Braudel dans "L'identidé de la France Tome I.
"Se moquer de la philosophie, c'est vraiment philosopher", Pascal, cité dans "Penser avec Marx", Lucien Sève, Tome III, 

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 06:45

 SommaireARMANAC_-2015.UNE.jpg

LIRE

ici

      (3 pages. Ouvrir, effectuer une rotation et un zoom à la dimension de votre page)

Pour plus d'informations voir la page de Mesclum du Jeudi dans La Marseillaise

http://pierreassante.fr/dossier/ARMANAC_%202015.pdf 

 

PARUCION DE L’ARMANAC DE MESCLUM 2015

 

Ven de parèisser l’Armanac de Mesclum 2015, que n’es a son numèro 21, lo premier estent estat alargat en 1995 ! Dedins, i trobaretz lei tèxtes en pròsa e poèmas dei laureats dau concors literari « Escriure en Lenga d’Òc 2014 » deis Amics de Mesclum : Classa de CE de l’escòla de la Bauma a Sisteron, Yanick Martin, Marc Noalha, Alexandre Genadot, Gabi Mosna, Joan-Glaudi Puech, Alexandre Arnaud, Marineta Mazoyer, Cristian Jourdan, Jaumeta Portalier, Joèla Pangrazi. B.D. de Gerard Phavorin ambé de tèxtes en pròsa e de poèmas de nòstrei collaborators costumiers e mai de novèus. Per badat, trobaretz dintre tot plen d’informacions e d’adreiças utilas. 240 paginas. Un lexic ajuda per l’utilizacion de l’armanac dins l’ensenhament.Pretz : 12 € ; pòrt : 1 exemplar, 3,50 € ; 2, 4,15 € ; 3, 5,40 € ; 5, (colissimo), 9,70 € ; comandas tocant la dòna Joanina Dugas, 52, lèa de la Grande-Bastida Cazaulx, 13012 Marselha ; 04 91 93 27 35. 

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 15:16

aupaslafinances.jpgVoici quelque petits extraits de cet ouvrage. Il n’est pas question ici d’en donner un aperçu pertinent, mais d’isoler arbitrairement un très petit choix personnel qui me semble correspondre à mes propres soulignements de l’état du monde, qui ne peuvent précisément pas correspondre aux infinis ressentis de chacun de nous en humanité. P.A.

 

« …Cette difficulté des marchés à appréhender l’informationnel n’est cependant guère circonstancielle. Le mariage annoncé est en réalité profondément dépareillé et contradictoire. Sur le fond, il s’agit bien plus que d’une incompatibilité d’humeur.

Depuis la fin des années 1960, le monde est dans une situation paradoxale. Si, comme l’a montré l’économiste austro-américain, Joseph Schumpeter, les grandes périodes d’innovation technique ont contribué à créer des conditions d’un essor économique, tout au contraire, l’avènement de la révolution informationnelle est lui contemporain d’une crise sans précédent, longue, violente même ces dernières années, cruelle pour ceux qui vivent de leur travail.

Comment expliquer cette incohérence apparente de l’évolution économique ?... » Page 52. 

 

« …Il n’est plus possible aujourd’hui de relancer nos économies simplement en augmentant notre capacité à couler du béton ou en multipliant le nombre d’ordinateurs en fonctionnement, il faut des hommes qualifiés et bien dans leur peau derrière tout cela… » Page 53.


LIRE

la suite de ces extraits

ici

 

Et lire cette présentation et un aperçu des solutions proposées pour résoudre la crise systémique, la crise du capitalisme que nous traversons :

 

Pierre Ivorra, La finance au pas. Ce qu’il faut savoir sur la finance pour mieux la combattre

 

Le Temps des Cerises, août 2014, collection « Penser le monde »,

376 p., 22 €.

Peut-on faire une politique de gauche face à la dictature des marchés financiers? C’est le fond de la crise politique qui s’emballe en cette rentrée, et c’est aussi le fond de l’ouvrage que nous livre Pierre Ivorra.

Nos lecteurs connaissent le succès des billets économiques du chroniqueur de l’Humanité. Avec La finance au pas, ils retrouveront le talent du journaliste qui ne sacrifie jamais la rigueur de l’analyse à la pédagogie, et le talent de l’expert qui sait mener le lecteur au coeur des enjeux les plus fondamentaux. Et ils trouveront le résultat d’un travail colossal : une masse de données, d’analyses, d’explications sur la puissance qui domine la vie économique, sociale et politique à l’échelle du monde depuis trente-cinq ans. Avec Pierre Ivorra, la finance cesse d’être une puissance abstraite et vaguement effrayante. Il fait accéder son lecteur aux chiffres et aux concepts qui permettent de la mesurer, de l’analyser, de la caractériser… pour mieux la combattre.

La force de l’ouvrage est de partir, non d’analyses abstraites, mais des questions que tout un chacun est amené à se poser : l finance a-t-elle un nom, un visage ? pourquoi les banquesont-elles un tel pouvoir ? d’où vient la dette ? Répondre à ces questions conduit l’auteur à mettre en évidence « le fond du fond » des explications de la mondialisation financière : les débuts de la crise systémique du capitalisme, dans ses dimensions économiques, sociales, technologiques, écologiques, monétaires…

Au-delà des idées reçues, Pierre Ivorra montre que le système financier n’est pas un monde homogène. La différence entre finance de marchés – intrinsèquement au service de la rentabilité capitaliste – et crédit bancaire – phénomène social qui peut devenir l’enjeu de luttes et de mobilisations – a une portée stratégique pour les forces de transformation sociale. à l’examen de chaque facette du capitalisme financier contemporain encrise, chiffres et références précises viennent à l’appui de la démonstration, et à l’appui de propositions alternatives radicales.

Ainsi, c’est à partir d’une présentation, elle aussi très documentée, de la crise de l’euro que Pierre Ivorra esquisse les voies d’une alternative à la dictature des marchés : mobiliser la création monétaire pour donner la priorité aux dépenses pour le développement des êtres humains en s’appuyant sur une politique monétaire sélective, pour l’emploi et les services publics, liée à d’autres outils institutionnels, enjeux de luttes sociales : nouveaux pouvoirs des salariés dans l’entreprise, pôle financier public, fonds régionaux pour

l’emploi et la formation, mise en cause de l’hégémonie du dollar avec une monnaie commune mondiale…

Ce livre est donc plus qu’une synthèse, parfaitement à jour, des idées développées au fil des parutions de notre revue. Il vient à pic pour rappeler les ressorts profonds de la crise politique qui secoue le pays. Une lecture urgente pour tout militant d’une transformation progressiste de la société !


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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 00:33
Jean-Marc Durand : « La crise est due aux politiques soutenues par le Medef »

ENTRETIEN RÉALISÉ PAR KEVIN BOUCAUD

L'HUMANITE. MARDI, 2 DÉCEMBRE, 2014

 

Alors que le PCF a décidé de riposter à la semaine de mobilisation du Medef, l’économiste Jean-Marc Durand rappelle, contrairement à ce qu’avance le patronat, que «les prélèvements obligatoires sur le capital ont baissé de façon importante» depuis trente ans.

Pour la contre-semaine d’actions du PCF en riposte au Medef, pourquoi avoir choisi, comme itinéraire de manifestation, ce soir, d’aller du siège de l’organisation patronale à l’ambassade du Luxembourg, à Paris?

 


Jean-Marc Durand
 : Le Medef représente tout particulièrement les grosses entreprises, contrairement à ce que l’on raconte. Il y a de petites entreprises en son sein, mais ceux qui décident, ce sont les grands patrons. Ce sont eux qui distribuent les dividendes, qui sont en pleine augmentation. C’est là que la spoliation de la société s’exerce, du fait de tous les allégements fiscaux dont ils sont les grands bénéficiaires, et de l’évasion fiscale et financière. Le Luxembourg est justement le paradis fiscal par excellence, dont l’ancien premier ministre n’est autre que Jean-Claude Juncker, aujourd’hui président de la Commission européenne à Bruxelles.

Que répondez-vous au patronat qui prétend qu’il souffre depuis trente ans?

Jean-Marc Durand : C’est paradoxal, puisqu’à partir du tournant de la rigueur de 1983-1984, le cours des choses s’est inversé. Les prélèvements obligatoires sur le capital ont baissé de façon importante, alors que les impôts et taxes sur les salaires ont connu le sort inverse. Entre1981 et1998, la part des salaires a diminué de plus de 15% dans les entreprises non financières. Les entreprises du CAC 40 ont un taux d’impôt réel sur les sociétés de 8%, contre 33% pour les petites entreprises et 24% pour les moyennes. Gattaz et le Medef expliquent que les 41milliards du pacte de responsabilité sont un juste retour des choses pour pallier l’augmentation des prélèvements fiscaux. Il est vrai que, depuis le choc des subprimes en 2008-2009, les prélèvements fiscaux ont augmenté sur les entreprises et sur les citoyens. Sauf qu’il faut savoir que cette crise est largement due au résultat des politiques soutenues et initiées par le Medef. Depuis, les prélèvements fiscaux ont progressé de 66milliards d’euros, dont un tiers à la charge des entreprises, soit une vingtaine de milliards. Le pacte de responsabilité va donc bien au-delà de ce montant.

La CGPME se plaint de la taxation des dividendes. Est-il en projet de taxer les revenus du capital?

Jean-Marc Durand : Cette mesure annoncée par le gouvernement est un écran de fumée. S’il avait voulu vraiment prendre une mesure significative en matière de taxation du capital, il fallait revenir sur le dispositif Copé d’exonération des revenus de cession de parts d’entreprises. De plus, les mesures du capital mobilier bénéficient d’un crédit d’impôt annuel d’un montant de 40%.

Quelles propositions le PCF oppose-t-il aux revendications patronales?

Jean-Marc Durand : Sur le plan fiscal, il faut d’abord restaurer un véritable impôt sur les sociétés. Nous pourrions le décliner de manière progressive en tenant compte du chiffre d’affaires de l’entreprise et introduire une modulation de cet impôt en fonction de l’utilisation des bénéfices. Il faut ensuite une réforme de l’impôt de solidarité sur la fortune, qui intègre dans sa base les biens professionnels, dont les actions. Pour finir, il y a la taxation des placements financiers des entreprises. Sur le plan bancaire et financier, il faut mettre en place un fonds national pour l’emploi, et introduire un crédit sélectif à taux dégressif, en fonction de son utilisation par les entreprises. La Banque centrale européenne doit également racheter les dettes des États et développer un fonds social et solidaire pour leur réindustrialisation.

 

Jean-Marc Durand est économiste et membre du PCF

 

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 09:26

2012 11 23 040

 

 

 

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http://pierreassante.fr/dossier/UKRAINE-141204.jpg

 

 

 

 

 

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 06:59

Salvien cerf

 

 

 

 

 

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 09:23

2013 03 05 MANIF 001 (5)"Ne plus avoir besoin de "motif valable" pour licencier, c'est le rêve de Monsieur Gattaz, Président du Mouvement des Entreprises de France (MEDEF). Pour assouvir cette demande, la France devrait dénoncer la convention n° 158 de l'Organisation Internationale du Travail (OIT), qu'elle a ratifiée en 1989. Lutter contre de tels reculs s'avère de plus en plus délicat pour l'agence de Nations Unies."

 

Ceci est l'introduction de l'article de Chloé Maurel que vous pouvez lire dans Le Monde Diplomatique de ce mois.

 

 

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Vous pouvez aussi lire sur ce blog la réponse dans une semaine d'action du PCF  "la souffrance de Gattaz", à la campagne de cette semaine du MEDEF contre des droits sociaix.

      Le choix de l'illustration ci-contre de manifestation est de l'auteur de ce blog.

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 08:48

 

KOBANE_PIEROT.14.12.01.jpg

 http://pierreassante.fr/dossier/KOBANE_PIEROT.14.12.01.jpg

 

      Ce jour, dans l'Humanité, témoignage de l'envoyé spécial à Kobané et entrevue avec la coprésidente du P.Y.D., Parti de l'Union Démocratique (Kurdistan Syrien)

 

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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 21:32

eco po 712 713 couv 1 1 jpgLA  SOUFFRANCE  DE  GATTAZ, PARLONS-EN !

 

Après avoir demandé le droit de licencier sans justification et la suppression de l’Impôt sur la fortune (ISF), Pierre Gattaz organise avec le Medef, une semaine de provocation patronale, du 1er au 5 décembre, pour sangloter et exprimer « la souffrance  des patrons ».

 

Le MEDEF se moque du monde.  Depuis 2012, le MEDEF a tout obtenu du gouvernement : multiplication des exonérations, démantèlement du code du travail, précarisation, subventions publiques, recul de l’âge de la retraite... Tout cela en pure perte : le chômage atteint des records historiques, la précarité explose, l’économe est à l’arrêt. L’austérité fait des ravages. Seuls le patronat et les grandes entreprises profi tent de cet immense gâchis. Et ils en veulent toujours plus. Pourquoi s’en priver ? Depuis 2012, Hollande et ses gouvernements n’ont cessé de leur servir la soupe !.....

 

Suite-Réponse en 4 pages sur ce lien :

http://www.pcf.fr/sites/default/files/exe_4p_action_contre_le_medef_stc.pdf

 

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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 20:51

SEVE-MARX-III.jpgLucien Sève,

Penser avec Marx aujourd’hui, Tome III, « La philosophie ».

704 Pages. Editions La dispute, 40€

 

« Si l’on renonce à l’idée niaise

d’une pensée qui serait de la matière… »

page 482

 

Ce livre est encore un grand livre, ce dont nous a habitué Lucien Sève, pédagogue de premier ordre du mouvement communiste, acteur du mouvement de la société. Habitué n’est pas le mot juste, cela supposerait qu’il ne nous étonne plus, c'est-à-dire qu’il ne nous apprend plus, ce qui n’est pas le cas.

La multiplicité des sujets et champs philosophiques obligerait à donner ici le sommaire de l’ouvrage, d’une incroyable richesse.

 

Ceci ne veut pas dire que sa vision du monde et son action en mouvement doive trouver un décalque dans les multiples et infinies visions de ceux qui se sentent proche de sa vision. 

 

Je ne m’attarderai que sur deux réflexions miennes (c’est peu vis-à-vis de la richesse de l’ouvrage, mais il y a toujours des demandes de compréhension plus fortes que d’autres) qui m’interrogent et qui me demanderaient d’avoir un vrai cours personnel.

 

N’étant pas un philosophe de métier, je n’en possède pas tout le vocabulaire, ni la « forme propre » de pensée. Je m’exprime à partir d’exemples qui peuvent ou non préciser le sens de mon vocabulaire propre. Mais je pense que malgré toutes les définitions possibles il y a toujours un contenu personnel à un mot, aux phrases issues d’une biographie personnelle dans un contexte social personnel, à la fois commun et individuel, dans un  rapport social (Rapport social « naturel »  de production depuis le premier outil -1,7 millions d’années nous apprend-on -, et millénaire de classes sociales), commun et individuel.

 

Ce préambule n’a pour but que de tenter de donner justement un sens commun à la suite de cette réflexion.

 

1) D’une part la lecture de Georges Lukacs et de son ontologie de l’être social, pour moi, me parait unifier les concepts « d’essence minérale, essence biologique, essence psychologique-mentale » de l’humain. « Unité de trois essences dans l’humain, dans les rapports sociaux », en strates superposées, de la base minérale à la pensée. Et cela est d’importance pour prendre conscience de notre réalité dans la nature et d’une action en santé à mener sur le processus commun. Comprendre le monde pour le transformer. Volonté et nécessité en unité.

 

2) Pour ce qui est de « l’idéel » et du « matériel », le tout est de s’entendre le mieux possible sur le sens que chacun peut donner à ces termes.

 

Cette table sur laquelle je travaille est un mouvement de la nature. Les corpuscules qui la composent, la terre sur laquelle elle est posée etc. se meuvent. Il n’y a pas de mouvement sans matière ni de matière sans mouvement, c’est une unité, la condition d’existence de la nature, nous compris. (Lapalissade importante !)

 

La construction de concepts, de systèmes de concepts en processus n’est autre qu’un mouvement, bien sûr différent du mouvement de la table, corpusculaire en tout, social, scientifique, géographique etc., en particulier dans le mouvement corpusculaire. Si l’on doit refuser le terme de matière au mouvement électrique, chimique et somme toute, aussi corpusculaire de mon cerveau qui produit cette  construction de concepts, de systèmes de concepts en processus, il n’y a pas problème ou plutôt que problème d’intercompréhension, ce qui n’est pas rien évidemment ; le mieux étant d’utiliser les mots les plus appropriés pour transmettre ce que l‘on a besoin de transmettre, si tant est que cette réflexion-ci et mienne puisse constituer un besoin autre que le mien, autre qu’un besoin spéculatif; autre qu'une déadhérence (Au sens d'Yves Schwartz) (1) malsaine, une abstraction inopérante, une utopie in-partagée, dont doublement in-opérationnelle.

 

Un besoin autre que le mien ? : pour ma part ce besoin correspond à une réponse à la dichotomie pensée/corps à laquelle la religion (Je ne parle pas du besoin d’interrogation dit « existentiel » sur les limites de compréhension de la condition humaine) a habitué la société humaine, au-delà de l’affaiblissement de la pratique religieuse et sous une nouvelle forme du processus religieux, que la division et la parcellisation du travail exacerbée a renforcé; a renforcé contradictoirement au besoin en explosion d’un autre rapport de l'humain avec la nature, pour produire dans une situation en transformation et en « complexification-concentration-réduction-miniaturisation » (2) des "composants" « idéels et matériels des forces productives » dont nous faisons partie : besoin en explosion d’un autre rapport de l'humain avec l’humain et avec la nature -qu’il est-, pour produire dans une situation en transformation. Autre et nouveau rapport de l'humain avec l’humain et avec la nature à construire, qui est a mon sens bien supérieur en tant qu’humanité a toutes les formes de spiritualité et de mysticisme mêlés.

 

Bien sûr, une table et un mouvement de système de concept (Au sens de Vygotski), ce n’est pas la même chose. Mais c’est l’emploi du terme de matière dans les deux cas qui se pose ou ne se pose pas qui m’interroge. Il  peut y avoir confusion entre matériel, immatériel, tangible, intangible, visible, invisible, idéel, ….Que mettre sur ces termes, comment se comprendre, comment donc exprimer que tout est mouvement, tout est matériel, l’idéel de même. La matière crée la pensée et non l'inverse, même si la pensée elle même matérielle peut agir matériellement sur la matière : causalité sans déterminisme.

 

Pierre Assante, 29 novembre 2014

 

(1) Autonomie relative saine ou malsaine de la pensée vis-à-vis de la « réalité extérieure-intérieure » existant indépendamment de notre conscience; pour ce qui est de « l'extérieur perceptible» durant notre existence

De même, pour « notre intérieur perceptible», pour notre corps-soi (au sens d'Yves Schwartz), il nous faut bien exister en tant qu’humain pour percevoir et avoir conscience et "déadhérer" de façon créatrice ou pas, de cette réalité "intérieure".

 

(2) En somme, un processus comparable à ce qui se passe dans le cerveau de la naissance à la maturité de l’humain, de la perception élémentaire à la construction de concepts, de systèmes de concepts en processus, qui ne se cumulent pas seulement quantitativement, mais aussi qualitativement, à l’instar de l’image grossière de la miniaturisation de l’informatique au fur et à mesure qu’augmente sa puissance. Le cerveau fait bien mieux en matière de transformation de sa forme d’activité. Il en sera de même de la société dans un processus en santé, c'est-à-dire en poursuite de vie, dépassant les maladies sociales et les menaces naturelles. J’ai travaillé comme ouvrier agricole, comme ouvrier en usine à 60 h par semaine, comme coursier dans une grande famille bourgeoise que j’ai vu vivre relativement intimement mais surtout « professionnellement » si l’on peut dire. J’ai un CAP de réparation de machine agricole, un certificat universitaire de langue et culture régionale. J’ai été 10 ans responsable national (B.N.) d’une grande fédération syndicale et d’une de ses syndicats (Secrétariat) de personnel Technique Ouvrier et de Service (TOS). Pendant 30 ans j’ai préparé pour les élèves d’un lycée les nombreuses expériences de physique du programme. J’ai fait de la musique et de la poésie. J’ai été 10 ans secrétaire de section du PCF au début de ma vie professionnelle de TOS, dans ce lycée. Lucien Sève nous faisait des cours de philosophie le soir après le travail. Transformation quantitative, qualitative, unité des contraires, état existant, négation, négation de la négation….etc. s’étalaient sur le tableau noir dans l’imprimerie de « La Marseillaise ». Mes parents et mes enfants m’ont grandement instruit rationnellement et sentimentalement, du mouvement social. Chiara m'a confirmé dans la richesse et les limites d'une culture nationale par le contact intime avec les évènements d'une autre nation que la mienne, l'Italie, et de là sur le monde, ce que je ne pouvais voir seulement par l'information savante et encore moins par l'idéologie dominante.


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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 09:38

bessac

 

 

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28 novembre 2014 5 28 /11 /novembre /2014 13:08

escalier contesse 2juin10 002Alors que les dirigeants socialistes poursuivent leur politique de droite en la couvrant du « Il n’y a pas d’autre choix» cher à Mme Thatcher (TINA, there is no alternative », et que droite et centre dits « de gouvernement » affirment de même, que se passe-t-il du côté de « la gauche de la gauche », et du côté de « la droite de la droite » ?......


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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 11:10

HEIDSIECK_BERNARD_2.jpgLe poète, né en 1928, est décédé Samedi. Auteur de Biopsies, Poèmes partitions, Vaduz, il était l'un des fondateurs et le plus émminent représentant de la poésie sonore.

 

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http://pierreassante.fr/dossier/HEIDSIECK_BERNARD.jpg

 

 

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23 novembre 2014 7 23 /11 /novembre /2014 20:55

Article publié sur ce blog une première fois le 22 novembre 2014

 

GARO L'or des imagesMATÉRIEL ET IMMATÉRIEL

 

1) Isabelle GARO dans « l’or des images » (Liens de présentation de l'ouvrage et extrait sur "matériel et immatériel" plus bas)

2) Le Travail dit non-qualifié au Commissariat Général au Plan.

3) La politique de division de classe du travail.

 

La relecture de l’Ouvrage d’Isabelle GARO, de « l’or des images » me donne l’occasion de confronter un de ses passages à une réflexion sur « matériel et immatériel » :

 

Dans une commission du Commissariat Général au Plan, puis de l’organisme national qui l’a remplacé, commission destinée à l’étude du travail non qualifié (1), T.N.Q., un des sujets de débat était « quel statut pour ce travail », un des autres consistant à tenter de distinguer le « travail matériel » du « travail immatériel » (2).

 

Il y a toujours un substrat concret aux confusions. Un de ces substrats en l’occurrence est à mon avis et tout simplement la division de classe du travail à laquelle s’ajoutait une mesure du moment pour la renforcer tout en tentant de réduire les contradictions et les réactions revendicatives qu’elle induisait et induit de plus en plus.

 

En fait l’orientation du ministre Borloo qui sous-tendait l’effort du Premier ministre d’alors, Villepin,  consistait à « vouloir » répondre au chômage et à la déqualification en marche par une mise à disposition privée auprès des couches dites moyennes hautes et basses, du travail « d’aide à la personne », et de constituer pour cela des organismes privés destinés à une concentration capitaliste ultérieure (3).

 

Je ne crois pas me tromper en affirmant le courage de la plupart des experts, sinon de tous, du groupe de travail, pourtant forts divers d’origine sociale, dans leurs opinions, fonctions et conceptions, et leur détermination à poursuivre un travail de fond sur l’analyse et l’organisation du « travail non qualifié » qui a abouti à… la dissolution politique de la commission et à la non publication des trois intéressantes versions préparatoires d’un ouvrage issu de ce travail.

 

Pierre Assante, 22 novembre 2014

 

Notes


  (1) De fait je perdure dans mon appellation de travail « DIT » non qualifié, évidemment. De plus la tenue de ce groupe d’une vingtaine d’experts (dont trois issus de Confédérations et Fédérations syndicales, siégeant pour ma part au titre de la FSU et de l’UNATOS) avait pour but affiché, une réflexion et un ouvrage (Achevé mais non publié) sur le « TNQ ».

(2) Auquel j’ajoute de même un « dit » pour deux raisons : en quoi peut-on distinguer subtilement le travail matériel du travail immatériel, et, comme dit Isabelle GARO, comment ne pas confondre l’immatériel de l’intangible ? Ci-joint un extrait de « l’or des images » d’Isabelle GARO, extrait qui ne couvre qu’une toute petite partie de ses réflexions et recherches sur ce sujet et cet ouvrage.

(3) Une caricature de Wolinski des années 1970 montrait Giscard à la Télé disant à peu près (de mémoire) « J’appelle tous ceux qui ont un peu à s’allier avec ceux qui ont tout contre ceux qui n’ont rien ». Evidemment la technique Borloo ne pouvait qu’échouer à moyen terme en se heurtant à l’amplification de la suraccumulation du capital et sa crise actuelle, ses effets EN RAPPORTS DIALECTIQUES dans et sur la mondialisation, l’organisation et les techniques de production et d’échange, et les effets sur l’appauvrissement de ces « couches moyennes », leur prolétarisation accentuée, ses causes et ses conséquences. Une de mes préoccupations dans cette commission était de mettre en valeur le statut de fonction publique des agents Techniques Ouvriers et de Service de l’Education Nationale (et la possibilité d’extension de services nouveaux, entre autre à la personne dans les collectivité territoriales ou nationale avec statuts et formalisation des fonctions et missions) ainsi que ce qu’Yves Schwartz appelle « Valeurs sans dimension », en particulier dans le travail ouvrier, à rapprocher dialectiquement des concepts marxistes de « valeurs d’usage » et « valeur marchande » (composant double des marchandises dont le travail), « travail concret » et « travail abstrait » non dissociables dans l’activité du système d’échange A-M-A’ », malgré l’aliénation qu’une dichotomie réelle (contradictoire et conjointe, en unité) dans ce système induit.

 

Extrait de "l'Or des images" sur ce lien : ici

Présentation de l'ouvrage:  ici

 

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23 novembre 2014 7 23 /11 /novembre /2014 10:24

CONVENTION INDUSTRIE 22.11.2014 (1)La ComEco mène un travail permanent de recherche et d'action pour faire progresser la réflexion économique et politique ensemble, et pour ouvrir avec les chercheurs, les miliants et dans l'action populaire, une issue à la crise et construire localement, régionalement, nationalement, en Europe et dans le Monde une alternative au capitalisme et ses destructions, un processus de coopération et de paix.

La revue Economie et Politique (en lien sur ce blog) en fournit régulièrement un écho et un dialogue, de même que les assemblées de débats et de décisions à l'initiative de la ComEco, et dans les lieux "savants" comme populaires, à travers les luttes des salariés et des populations, auxquels elle apporte des contributions.

En prendre connaissance fait partie des relations sociales démocratiques riches de possibilités, je crois.

Lire ici en ce qui concerne la Convention en cours de réunion.

 

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 07:54

néolithiqueCULTIVER

Culture et barbarie

 

Qui croit être vierge de barbarie, et croit pouvoir ne jamais y sombrer, ne peut lutter efficacement contre elle.

 

Du premier outil, le galet aménagé,  à l’agri-culture (*), l’humain transforme la nature pour répondre à ses besoins, il travaille. Il dépasse la cueillette, il cultive.

Le travail n’est pas synonyme de douleur.

La douleur peut entrer dans toute activité humaine, dans le travail aussi.

Le plaisir peut entrer dans toute activité humaine, dans le travail aussi.

 

Transformer la nature en cultivant pour répondre à nos besoins en croissance et en complexification, travailler c’est ce que nous continuons à faire sous peine de stopper notre existence.

 

La part strictement contrainte du travail peut varier. C’est une question d’organisation sociale conjointe à un développement technique mis au service des besoins complexes. La privatisation des moyens nécessaires à la vie et au travail est incompatible avec une croissance en santé.

 

Rz 10Dans le « Transformer la nature en cultivant », le mot culture s’applique à toute l’activité humaine, infrastructures et superstructures en unité, modes de pensée, système complexes de concepts, y compris évidemment ce qui entre en tant que recherche nécessaire des perceptions, des sensations dans toute activité.

Dans la culture des perceptions entrent les rapports de construction, de destruction, avec les objectifs, l’horizon propre de l’individu dans les objectifs, l’horizon de l’espèce dans la nature.

 

Les rapports sociaux jouent un rôle essentiel dans ces rapports de construction, de destruction. Les dominations d’un groupe humain sur un autre groupe humain induisent des rapports de destructions violents, les douleurs d’alerte élémentaire et-ou complexes et sadomasochistes qui les accompagnent.

 

Cultiver la construction au-delà de la douleur est la tâche de notre temps de fin possible de l’exploitation capitaliste de l’échange A-M-A’ (Argent-Marchandise-Argent plus) , et cette tâche demande un effort de conscience indispensable dont chacun est comptable dans chaque entité humaine constituée, y compris les regroupements sur une base politique de transformation sociale, conjointement à l’ensemble des multiples, infinies et diverses activités humaines. S’instruire et cultiver.

 

Pour dire cela simplement, notre tâche est de cultiver des rapports humains vivables ; de cultiver la vision des humains en tant que nos semblables à respecter en étant « la base » ; de cultiver les perceptions, sensations, sentiments qui vont avec la manifestation de cette vision.

 

Certes cet effort côtoie la violence des apports de forces dans lequel il s’exerce. Les gouvernements de classe, le capital ne font pas de trêve, mais toute exigence de survie introduit cet effort dans cette violence.

 

Le besoin de coopération de survie peut prendre le dessus,  pas seulement par volonté de conscience, mais aussi par le processus conjoint de cette volonté dans le processus de croissance technique-sociale-culturelle.

 

La barbarie c’est la privation de culture. Les dominants y jouent un grand rôle où ils délèguent aux dominés le soin des basses œuvres.

 

Les dominants ne sont pas des barbares, ils possèdent la culture pour se préserver eux-mêmes et préserver leur entité de la barbarie jusqu’au point où la barbarie peut tout submerger ;  ou au contraire jusqu’au point où la contradiction dominants/dominés, celle de leur système social obsolète peut se résoudre dans la transformation sociale devenue indispensable et possible.

 

La démocratie du « que, quoi et comment produire », synonyme de cultiver, est la base du dépassement des dominations et de la poursuite du processus humain.

 

Qui croit être vierge de barbarie, et croit pouvoir ne jamais y sombrer, ne peut lutter efficacement contre elle.

 

Pierre Assante, 18 novembre 2014

 

(*) Et aujourd’hui à l’industrialisation et à l’agriculture industrielle informationnalisées, mondialisées, capital agricole, industriel et financier et leur substrat historique en « couches successives »…

 

Les premiers paysans du monde se sont développés dans le "croissant fertile", c'est à dire dans une partie du Moyen Orient aujourd'hui et depuis longtemps sous les feux de l'actualité.

 

Pour en venir aux concepts ergologiques, les cours du Professeur Yves Schwartz passent, entre autre,  par cette histoire du travail, de la préhistoire à la grande industrie (cf. Le capital) et à la réalité actuelle de l'homme producteur, l'analyse pluridisciplinaire des situations de travail.

 

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 07:08

stage COMECO 2012.lire

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 07:39

Article déjà publié sur ce blog le 25 septembre 2014

Convention

Convention "industrie" - Avant-projet et appel à contribution

Convention industrie du PCF
« Une nouvelle industrialisation de la France en Europe »

Samedi 22 et dimanche 23 novembre 2014 (attention, les dates ont changé !)

Espace Niemeyer, au siège du PCF

Pas de vie humaine sans production. Certainement un des momentS essentielS à venir à l'instar du C.N. de Février 1980 "Les Intellectuel, la Culture et la Révolution" lequel n'a pas eu les suites qu'il méritait.

Nous souhaitons que la convention et sa préparation soient animées par la volonté de réfléchir et de débattre de manière très large avec celles et ceux qui partagent les mêmes préoccupations et souhaitent que, dans un modèle productif profondément renouvelé, l’industrie française joue un rôle majeur au service de la réponse aux besoins et du développement humain durable : syndicalistes, élus, universitaires, dirigeants d’entreprises confrontés aux méfaits de la financiarisation, militants politiques de diverses sensibilités, citoyens…

 
Nous invitons tous les communistes à s’approprier au maximum cet effort de réflexion et d’élaboration, notamment ceux qui peuvent déployer leur activité à l'entreprise ou sur leur lieu de travail.

Le Comité du Projet a rédigé un avant-projet soumis à la réflexion de toutes et tous. Les contributions peuvent être envoyées à l’organisation de la Convention Industrie, PCF, 2 Place du Colonel Fabien, 75019, Paris

Lire l’avant projet :

 

http://www.pcf.fr/sites/default/files/20141010-11-convention_industrie-avant-projet-ld_1.pdf

 

 

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