Le oui et le non de Böhme, les contraires d’Héraclite, Hegel et Marx, la négation, la négation de la négation, le dépassement, destruction-conservation, déséquilibre-dissymétrie motrice, transformation qualitative, la vie issue de la mort, la mort sans la disparition, la plante dans le fruit, la pensée neuve dans la pensée ancienne, le mouvement comme existence de la matière, la multiplicité et diversité infinie du mouvement résultante des mouvements, la pensée comme mouvement, l’activité humaine comme pensée, l’organisation sociale comme mouvement, la libération du salariat comme libération de la pensée…
Ainsi il existe dans le capitalisme, déjà, les éléments d’une société sans lutte de classe !
Le rapport de force entre salariat et capital contient donc aussi l’élément des prémisses de la société sans classe.
La guerre entre le salariat et le capital ce n’est donc pas la destruction du contraire mais le développement des éléments d’une société sans classe contenue dans la société de classe.
Cela ne veut pas dire que l’évolution possible vers une société sans classe se fasse sans luttes des classes, sans conflits, mais que la forme supérieure de la lutte des classes naît dans le développement de ce que cette lutte contient déjà de prémisses d’une société sans classe. La qualité du conflit dépend de cette capacité de développement déterminée par les choix humains....
......Suite sur ce lien, un recueil petit de "poèmes-philo." :
http://pierreassante.fr/dossier/La_forme_la_plus_feconde.pdf
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