PUISSANCE ET IMPUISSANCE

PUISSANCE ET IMPUISSANCE

Une vision et une action nationalo-nationale ne peut que tirer ses dernières cartouches.

Il ne s’agit pas de donner raison et développer une conception trotskyste de la mondialisation.

Il s’agit de donner à l’économie néomarxiste de régulation systémique une dimension inter-nationale.

Capital et travail en l’état, dans leur unité et identité de forces contraires sont dans l’impuissance de créer une alternative sociale globale, une organisation nouvelle en santé sociale de l’humanité et de l’humanisation.

La puissance de feu du capital, idéologique, institutionnelle, militaire et policière ne peut résoudre sa propre crise mais empêcher la naissance de cette alternative.

Libérer les forces productives, hommes, techniques, cultures, travail et production, des lois du capital est vital.

D’ailleurs la dissolution-rigidification institutionnelle et de ses capacités d’ordre et de cohérence se brisent sur la crise du capital, dans le domaine de « l’immigration » et de « la dette » aussi, résultat de l’appauvrissement mondial général, relatif ou absolu, par le système, ses dominations nationales et internationales intenses, internes et externes, non guérissables sans alternative sociale et de toute façon pas à court terme ; même si les remèdes que nous proposons et non entendus sont applicables dès aujourd’hui et en urgence

La Chine, par les moyens qu’elle a, ses forces productives et son parti communiste, sa propre histoire, ses tares et ses limites, et ses possibilités que tout le mouvement ouvrier n’a pas, ensemble,  peut apporter beaucoup dans cette internationalisation idéologique « ouvrière », et en ce sens ses responsabilités sont énormes et rien ne dit qu’elle a accumulé les capacités suffisantes en quantité-qualité pour y répondre.

La reconstruction ouvrière et des forces de transformation du salariat, de lui-même sur lui-même passe par la reconstruction idéologique.

Le système d’achat de la force de travail, dénoncé et expliqué dans le Manifeste marxiste de 1848 et « le capital » et ses suites, est pourtant bien ancré en 2024 dans les têtes car il reste le « mode de subsistance » individuel et collectif acquis. Sa négation inconsciente se développe, comme un refus de rester sur le front d’une guerre et le fuir sans objectif construit, ce qui n’est pas sans risque dans la cohérence vitale de la société ; mais tant qu’il ne craquera pas, rien ne changera.

Criticisme et néocriticisme ou négation de la négation… ? Fondamental !

Les « dernières cartouches » et la reconstruction sont à l’ordre du jour de ce siècle dans l’action quotidienne ouvrière, des salariés, et au cœur les « responsables ITC » syndicaux, politiques et démocrates (pas social et libéral démocrates) de production, de gestion et d’échange des subsistances humaines, leur complexification objective et subjective, leur condensification irrésolue.

P/Képhas-Salvien.01/10/2024 05:37:35.

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"HERESIE et ESPERANCE quand même" SUR CE LIEN :

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